Le parti Réew Mi d’Idrissa Seck parle d’«atteinte grave à la liberté d’expression » et d’un « dangereux tournant » pour le pays. « Ces arrestations marquent un moment de bascule dans notre gouvernance. Les médias, piliers de la démocratie, se retrouvent sous pression pour avoir donné la parole à des voix jugées dérangeantes », alerte le communiqué.












