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PAPE THIALISS FAYE DIT TOUT: «Eumeu Sène et Bombardier ont chacun perçu 60 millions Cfa»



PAPE THIALISS FAYE DIT TOUT: «Eumeu Sène et Bombardier ont chacun perçu 60 millions Cfa»
 
 
Après une première saison de lutte faste marquée par 8 journées, la structure Leewtoo Production fait le bilan. Trouvé hier dans ses locaux à Sacré-Cœur, Pape Thialiss Faye s’est dit satisfait de sa première année dans l’arène, même s’il a reconnu quelques problèmes. Le patron de Leewtoo révèle au passage avoir payé 60 millions francs Cfa aux adversaires du combat royal soldé par une victoire d’Eumeu Sène sur Bombardier. Pour ses prochaines cibles, Thialiss Faye ne se cache pas et indique que les combats Boy Niang-Lac 2, Tapha Tine-Bombardier et Ama Baldé-Gris Bordeaux sont proches d’être montés.
 
 
Les Echos : Quel bilan tirez-vous de votre saison ?
Pape Thialiss Faye : Nous avons effectué 8 journées, dont 7 pour la lutte avec frappe et 1 pour celle sans frappe. Nous avons atteint nos objectifs, pour avoir dès le départ misé sur un projet à long terme, basé sur des objectifs périodiques. Pour la première année, il s’agissait de tout faire pour permettre à la lutte de retrouver son lustre d’antan. Ce que nous avons réussi. Il s’agissait aussi de tout faire pour que les jeunes lutteurs continuent d’avoir de l’espoir et surtout de croire en cette discipline. L’engouement populaire et notre combat pour le retour des sponsors ont été aussi atteints. Nous avons une satisfaction totale pour le combat royal qui a été marqué par le cachet culturel, mais aussi un verdict clair a été rendu. Nous l’avons voulu pour avoir mis en jeu une prime. Bombardier n’a pas démérité, mais on félicite Eumeu Sène.
 
 
Sur le plan financier, ça été une réussite ou une perte ?
 
C’est difficile d’investir aujourd’hui et s’en sortir. C’est un projet à long terme. Nous sommes là pour des années. Nous sommes des novices et c’est un milieu qu’on ne maitrisait pas. On a peut être payé des cachets qu’on n’aurait pas dû payer, cela peut arriver. Nous avons tiré beaucoup d’enseignements. La saison prochaine, on va changer, réduire les coûts pour atteindre nos objectifs.
 
Qu’est-ce qui a été le plus difficile ?
 
Pour moi, c’était de vivre dans un milieu qu’on ne maitrisait pas. Nous sommes venus étant novice dans le métier et nous avons rencontré beaucoup de difficultés, surtout avec notre problème avec Modou Lô, mais Dieu nous a permis de surmonter tous ces obstacles.
 
Est-ce que Modou Lo vous a restitué votre argent ?
 
Oui, il nous a rendu l’argent. Il avait encaissé 25 millions de francs qu’il nous a intégralement restitués. Nous sommes venus dans la lutte pas pour créer des problèmes, mais pour apporter notre pierre à l’édifice, avec un esprit d’apaisement et surtout participer au développement de ce sport. Nous n’avons commis aucune erreur. Nous avions porté plainte au niveau de la section de recherche de la Gendarmerie. Après, il a sollicité une discussion à l’amiable et nous l’avons acceptée. Il nous a rendu l’argent. Il faut avoir un esprit de dépassement et nous sommes passés à autre chose.
 
Combien de millions aviez-vous injecté cette année ?
 
Il est très tôt d’annoncer un chiffre. Le comptable est en train d’y travailler (il brandit une fiche). Il faut attendre qu’il termine.
 
Mais cela a atteint le milliard de francs Cfa…
 
Non, même pas. Le budget n’a même pas fait 300 millions francs Cfa. Les cachets sont importants, mais nous ne sommes pas venus pour faire des surenchères. Si on prend le combat royal, le promoteur, qui y était avant nous, avait casqué 80 ou 85 millions francs, nous avons par contre payé 60 millions à chaque lutteur. Vous voyez, les gens ne comprennent pas. Nous ne sommes pas là pour payer des cachets de 100 ou 200 millions francs Cfa. Non. Nous sommes là pour faire avancer ce sport. On n’est pas pour des surenchères, nous avons une façon de faire et si on cible un lutteur, on lui soumet nos propositions. S’il n’est pas d’accord, on passe à autre chose. On ne va courir derrière personne.
 
Avez-vous déjà ciblé des affiches pour la saison prochaine ?
 
Absolument. On ne se cache pas. Nous avons en ligne de mire Lac 2-Boy Niang, Ama Baldé-Gris Bordeaux et Tapha Tine-Bombardier.
 
Et le roi des arènes, Eumeu Sène ?
 
Oui, il est sur nos plans. Il faudra attendre l’issue du combat Modou Lo-Balla Gaye pour s’y avancer. Mais nous voulons son combat.
 
Est-ce qu’il y a du concret pour les affiches que vous avez énumérés ?
 
Tout à fait. Les négociations sont très avancées. Il ne reste que quelques détails à régler et d’ici vendredi ou samedi, on va ficeler certaines affiches. Notre souhait est d’ailleurs de présenter Boy Niang-Lac 2 samedi prochain, lors du dernier face à face Bombardier-Eumeu Sène, mais il y a des procédures à régler avec le Cng et si cela se concrétise, on le fera. Il faut le dire, cette affiche est très proche d’être ficelée, même s’ils  n’ont pas encore reçu une avance. Nous avons des accords de principe, mais il se peut que ce soir (mardi), on la concrétise.
 
Comment, comptez-vous organiser vos prochaines affiches ?
 
On fera comme on avait fait pour cette saison. On va essayer de démarrer le 26 novembre. Nous voulons organiser un combat le 1er décembre en Gambie et aussi le  1er  janvier ici à Dakar et le 8 mars aussi.
 
A condition que le combat Balla Gaye-Modou Lô ne soit pas organisé le 1er janvier…
On se conforme toujours aux textes du Cng. On ne fait rien au niveau de l’arène sans l’aval du Cng, parce que c’est une structure qui a été mise en place pour régulariser la lutte. On est toujours en conformité avec la Cng et s’il décide qu’un autre promoteur va organiser le 1er janvier, on ne va pas s’y opposer.
 
Peut-on s’attendre à voir Gris Bordeaux-Ama Baldé au mois de novembre ?
Non, ce sera trop juste. On aura un problème de timing pour faire la promotion et la communication qu’il faut pour ce combat. On va le programmer pour le mois d’avril ou juin 2019.
 
Et pour le dernier face-à-face entre Eumeu Sène et Bombardier…
 
Ce sera ce samedi 11 au Grand Théâtre national. Ce sera en collaboration avec la Rts qui fera le lancement de la troisième saison de la série «Mbettel» suivi du face-à-face et la soirée sera clôturée par un concert de Wally Seck, qui a invité les lutteurs à son concert de Genève.
 
Que pensez-vous de la divergence qui a opposé Gaston Mbengue à Luc Nicolaï à propos du combat Modou Lo-Balla Gaye ?
 
Je n’ai pas grand-chose à dire là-dessus. Ce sont mes ainés. Je leur demande juste d’arrêter ce tiraillement, car la lutte nous appartient et on n’a pas besoin de se déchirer. Que Gaston organise, c’est bien ou que Luc le fasse, on s’en réjouit, car des fois on peut ficeler des combats de moindre envergure et gagner plus qu’avec un grand combat. Nous les promoteurs, si nous voulons améliorer la lutte, nous devons nous battre pour l’assainir.
 
 
On a vu des échauffourées lors du face-à-face Modou Lo-Balla Gaye, en tant que promoteur, comment vous avez apprécié cet événement ?
 
Je n’ai pas apprécié ces comportements. La lutte n’a pas besoin de ça. La lutte a beaucoup progressé et chaque jour, on se bat pour éradiquer la violence dans l’arène, pour attirer les sponsors et faire de sorte que les engagements pris par les acteurs de la lutte soient honorés. Allez jusqu’au dernier moment et voir de telles scènes, c’est vraiment désolant. Les organisateurs doivent revoir les choses, car nous voulons vraiment que la lutte dépasse ce stade.
 
Entretien réalise par Marieme NDIAYE
PAPE THIALISS FAYE, PROMOTEUR, PATRON DE LEEWTOO PRODUCTION
«Eumeu Sène et Bombardier ont chacun perçu 60 millions Cfa»
 
 
Après une première saison de lutte faste marquée par 8 journées, la structure Leewtoo Production fait le bilan. Trouvé hier dans ses locaux à Sacré-Cœur, Pape Thialiss Faye s’est dit satisfait de sa première année dans l’arène, même s’il a reconnu quelques problèmes. Le patron de Leewtoo révèle au passage avoir payé 60 millions francs Cfa aux adversaires du combat royal soldé par une victoire d’Eumeu Sène sur Bombardier. Pour ses prochaines cibles, Thialiss Faye ne se cache pas et indique que les combats Boy Niang-Lac 2, Tapha Tine-Bombardier et Ama Baldé-Gris Bordeaux sont proches d’être montés.
 
 
Les Echos : Quel bilan tirez-vous de votre saison ?
Pape Thialiss Faye : Nous avons effectué 8 journées, dont 7 pour la lutte avec frappe et 1 pour celle sans frappe. Nous avons atteint nos objectifs, pour avoir dès le départ misé sur un projet à long terme, basé sur des objectifs périodiques. Pour la première année, il s’agissait de tout faire pour permettre à la lutte de retrouver son lustre d’antan. Ce que nous avons réussi. Il s’agissait aussi de tout faire pour que les jeunes lutteurs continuent d’avoir de l’espoir et surtout de croire en cette discipline. L’engouement populaire et notre combat pour le retour des sponsors ont été aussi atteints. Nous avons une satisfaction totale pour le combat royal qui a été marqué par le cachet culturel, mais aussi un verdict clair a été rendu. Nous l’avons voulu pour avoir mis en jeu une prime. Bombardier n’a pas démérité, mais on félicite Eumeu Sène.
 
 
Sur le plan financier, ça été une réussite ou une perte ?
 
C’est difficile d’investir aujourd’hui et s’en sortir. C’est un projet à long terme. Nous sommes là pour des années. Nous sommes des novices et c’est un milieu qu’on ne maitrisait pas. On a peut être payé des cachets qu’on n’aurait pas dû payer, cela peut arriver. Nous avons tiré beaucoup d’enseignements. La saison prochaine, on va changer, réduire les coûts pour atteindre nos objectifs.
 
Qu’est-ce qui a été le plus difficile ?
 
Pour moi, c’était de vivre dans un milieu qu’on ne maitrisait pas. Nous sommes venus étant novice dans le métier et nous avons rencontré beaucoup de difficultés, surtout avec notre problème avec Modou Lô, mais Dieu nous a permis de surmonter tous ces obstacles.
 
Est-ce que Modou Lo vous a restitué votre argent ?
 
Oui, il nous a rendu l’argent. Il avait encaissé 25 millions de francs qu’il nous a intégralement restitués. Nous sommes venus dans la lutte pas pour créer des problèmes, mais pour apporter notre pierre à l’édifice, avec un esprit d’apaisement et surtout participer au développement de ce sport. Nous n’avons commis aucune erreur. Nous avions porté plainte au niveau de la section de recherche de la Gendarmerie. Après, il a sollicité une discussion à l’amiable et nous l’avons acceptée. Il nous a rendu l’argent. Il faut avoir un esprit de dépassement et nous sommes passés à autre chose.
 
Combien de millions aviez-vous injecté cette année ?
 
Il est très tôt d’annoncer un chiffre. Le comptable est en train d’y travailler (il brandit une fiche). Il faut attendre qu’il termine.
 
Mais cela a atteint le milliard de francs Cfa…
 
Non, même pas. Le budget n’a même pas fait 300 millions francs Cfa. Les cachets sont importants, mais nous ne sommes pas venus pour faire des surenchères. Si on prend le combat royal, le promoteur, qui y était avant nous, avait casqué 80 ou 85 millions francs, nous avons par contre payé 60 millions à chaque lutteur. Vous voyez, les gens ne comprennent pas. Nous ne sommes pas là pour payer des cachets de 100 ou 200 millions francs Cfa. Non. Nous sommes là pour faire avancer ce sport. On n’est pas pour des surenchères, nous avons une façon de faire et si on cible un lutteur, on lui soumet nos propositions. S’il n’est pas d’accord, on passe à autre chose. On ne va courir derrière personne.
 
Avez-vous déjà ciblé des affiches pour la saison prochaine ?
 
Absolument. On ne se cache pas. Nous avons en ligne de mire Lac 2-Boy Niang, Ama Baldé-Gris Bordeaux et Tapha Tine-Bombardier.
 
Et le roi des arènes, Eumeu Sène ?
 
Oui, il est sur nos plans. Il faudra attendre l’issue du combat Modou Lo-Balla Gaye pour s’y avancer. Mais nous voulons son combat.
 
Est-ce qu’il y a du concret pour les affiches que vous avez énumérés ?
 
Tout à fait. Les négociations sont très avancées. Il ne reste que quelques détails à régler et d’ici vendredi ou samedi, on va ficeler certaines affiches. Notre souhait est d’ailleurs de présenter Boy Niang-Lac 2 samedi prochain, lors du dernier face à face Bombardier-Eumeu Sène, mais il y a des procédures à régler avec le Cng et si cela se concrétise, on le fera. Il faut le dire, cette affiche est très proche d’être ficelée, même s’ils  n’ont pas encore reçu une avance. Nous avons des accords de principe, mais il se peut que ce soir (mardi), on la concrétise.
 
Comment, comptez-vous organiser vos prochaines affiches ?
 
On fera comme on avait fait pour cette saison. On va essayer de démarrer le 26 novembre. Nous voulons organiser un combat le 1er décembre en Gambie et aussi le  1er  janvier ici à Dakar et le 8 mars aussi.
 
A condition que le combat Balla Gaye-Modou Lô ne soit pas organisé le 1er janvier…
On se conforme toujours aux textes du Cng. On ne fait rien au niveau de l’arène sans l’aval du Cng, parce que c’est une structure qui a été mise en place pour régulariser la lutte. On est toujours en conformité avec la Cng et s’il décide qu’un autre promoteur va organiser le 1er janvier, on ne va pas s’y opposer.
 
Peut-on s’attendre à voir Gris Bordeaux-Ama Baldé au mois de novembre ?
Non, ce sera trop juste. On aura un problème de timing pour faire la promotion et la communication qu’il faut pour ce combat. On va le programmer pour le mois d’avril ou juin 2019.
 
Et pour le dernier face-à-face entre Eumeu Sène et Bombardier…
 
Ce sera ce samedi 11 au Grand Théâtre national. Ce sera en collaboration avec la Rts qui fera le lancement de la troisième saison de la série «Mbettel» suivi du face-à-face et la soirée sera clôturée par un concert de Wally Seck, qui a invité les lutteurs à son concert de Genève.
 
Que pensez-vous de la divergence qui a opposé Gaston Mbengue à Luc Nicolaï à propos du combat Modou Lo-Balla Gaye ?
 
Je n’ai pas grand-chose à dire là-dessus. Ce sont mes ainés. Je leur demande juste d’arrêter ce tiraillement, car la lutte nous appartient et on n’a pas besoin de se déchirer. Que Gaston organise, c’est bien ou que Luc le fasse, on s’en réjouit, car des fois on peut ficeler des combats de moindre envergure et gagner plus qu’avec un grand combat. Nous les promoteurs, si nous voulons améliorer la lutte, nous devons nous battre pour l’assainir.
 
 
On a vu des échauffourées lors du face-à-face Modou Lo-Balla Gaye, en tant que promoteur, comment vous avez apprécié cet événement ?
 
Je n’ai pas apprécié ces comportements. La lutte n’a pas besoin de ça. La lutte a beaucoup progressé et chaque jour, on se bat pour éradiquer la violence dans l’arène, pour attirer les sponsors et faire de sorte que les engagements pris par les acteurs de la lutte soient honorés. Allez jusqu’au dernier moment et voir de telles scènes, c’est vraiment désolant. Les organisateurs doivent revoir les choses, car nous voulons vraiment que la lutte dépasse ce stade.
 
Entretien réalise par Marieme NDIAYE


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