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OPINION Le Sénégal ne brûlera pas ! Il brille de plus en plus



OPINION  Le Sénégal ne brûlera pas ! Il brille de plus en plus
 
 
Les réformes apportées au Code Pénal et au Code de Procédure Pénaleouvrent un nouveau champ de bataille. Cela marque un tournant entre l’opposition la plus radicale et les dirigeants de la majorité présidentielle dans leur conception réciproque de la gestion des affaires publiques.Certes, il est de bon ton que l’on ne se fasse pas de cadeaux entre adversaires dans l’univers impitoyable de la politique. Tout de même diriger un Etat exige une posture faisant prévaloir la défense et la préservation des intérêts souverains du pays quelle que soit la rudesse des coups qui vous sont portés.
Pour autant, le procès fait au pouvoir actuel par certains défenseurs des libertés est-il juste ?
Le terrorisme est bel et bien une menace planétaire. A ce titre, il plane sur les cinq continents et ne devrait laisser insensible aucun Etat sérieux et responsable.Le savant et homme politique Cheikh Anta Diop a depuis longtemps établi que la sécurité est le préalable au développement. Un pays, comme le nôtre en période d’émergence et qui tend vers le développement avec le potentiel récent mis en exergue par la découverte de ses potentialités énergiques et minières, ne peut se croire à l’abri de tentations, de calculs, de luttes et de convoitises par toute sorte d’adversité ne reculant devant aucune tentative de déstabilisation pour parvenir à ses fins.
Plus que de l’ignorance ou de la bêtise, ce serait de la félonie ou de la haute trahison que de croire qu’une pandémie comme la Covid-19 ainsi que le terrorisme qui sont en passe de déstabiliser tous les Etats du Sahel en menaçant l’unité nationale, la cohésion sociale puissentlaisser intact un pays comme le nôtre. Pire ou mieux, c’est selon, le terrorisme verbal, le refus du dialogue, les postures extrémistes et radicales ainsi que la défiance de plus en plus grande à l’endroit des Institutions et de ses représentants sont les manifestations les plus évidentes que le terrorisme est bien installé chez nous. Les escarmouches des trois jours de mars dernier sont bien des manifestations de la présence terroriste sous nos cieux.
L’Etat a su bien réagir avec mesure et responsabilité en usant des instruments les plus adaptés à pareille situation pour faire face à cette tentative de déstabilisation du pays. Le grand mérite du Chef de l’Etat a été d’éviter, à cette occasion, la déchirure sociale et politique, piège dans lequel certains tentent d’enserrer le pays. Le Président Macky Sall a tenu à ne faire intervenir que l’Etat et ses démembrements tenant à distance les formations politiques, en premier, son propre parti, l’Apr. Sans oublier d’impliquer en les informant les notabilités civiles, religieuses et coutumières afin d’éviter les amalgames, manipulations et affabulations distillés au sein de l’opinion et dont les dérapages ne cherchaient qu’à distendre la cohésion nationale. En tirant des leçons de ces jours de tumulte, le Chef de l’Etat introduit les réformes et adaptation qu’exigent l’urgence et la délicatesse de la situation.
Il y a bel et bien chez nous, au sein de nos populations mais surtout au sein de nos élites des enfants perdus de la République animés par une folle ambition de pouvoir et qui semblent être prêts à n’importe quelle alliance.Les réformes apportées au Code Pénal et au Code de Procédure Pénale sont une première manifestation de la riposte à opposer aux ennemis du Sénégal.
D’autres initiatives, tout aussi fermes et efficaces, devraient suivre afin d’intensifier les capacités de riposte du pays face aux agressions et attaques pouvant surgir de l’intérieur comme de l’extérieur. L’arsenal ne saurait être adapté que sur les seules forces de défense et de sécurité, la législation et la réglementation devant être à la hauteur des enjeux.
Après le 11 septembre 2001, les Etats-Unis ont revu leur corpus législatif pour s’adapter aux nouvelles formes de terrorisme tout en augmentant les capacités d’investigation des services de renseignement ainsi que les capacités des armées américaines.
Après les attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan, la France a corsé son arsenal législatif, revisité son code de la nationalité et le droit d’asile et avant de se lancer à la traque aux terroristes jusque dans l’Orient lointain et mystérieux.
Le Sénégal ne procède pas autrement que ces deux pays en essayant d’adapter sa riposte face à ces nouveaux ennemis et déstabilisateurs attirés par nos richesses et voulant faire main basse sur le pays comme le subissent déjà des Etats africains comme la Libye, le Mozambique, le Congo Démocratique, la Centrafrique sous prétexte de guérilla ou de luttes de  libération nationale.
La Démocratie ne devant être ni le désordre social ni la chienlit d’une guérilla urbaine sous influence étrangère. Certes,la pauvreté, le chômage et le sans-emploisont des plaies béantes qui fragilisent notre tissu social et peuvent être, à ce titre, des accélérateurs de la colère et de la défiance à l’ordre social. Faut-il en faire pour autant le lit de toutes les outrances et transgressions uniquement pour assouvir des desseins politiques servant ainsi de mercenaires à des puissances capitalistes ou à des nouveaux pouvoirs impériaux voulant nous contrôler et s’accaparer de nos richesses ?
En cela, je suis en phase avec des dirigeants comme Vladimir Poutine, Recep Tayyip Erdogan et Paul Kagamé.
L’Occident et ses croisésne doivent pas nous dicter la marche à suivre tout comme les nouvelles puissances impériales émergentes qui cherchent à remplacer sous nos cieux les anciens colons ne sauraient devenir de nouveaux maîtres pour nous. Il n’y a rien à gagner en sortant d’un impérialisme pour en tomber sous un autre.
Il faut combattre avec la même énergie les croisés de l’Occident comme leslaquais des nouvelles puissances naissantes.
Si l’Armée nationale a dû déployer certaines de ses unités dans des zones urbaines en mars dernier pour servir de bouclier et défendre les édifices publiques c’est bien parce que l’on s’est rendu à une évidence. A savoir que la Police et la Gendarmerie nationale,jusque-là, ne sont préparées et équipées que pour faire du maintien de l’ordre en encadrant des manifs, mais ne sont point outillées pour faire face à des émeutes et à des insurrections et encore moins à contenir des foules à l’assaut des casernes, des cantonnements, des sanctuaires des forces de l’ordre ou des bâtiments publics.
Les errances d’un officier de la Gendarmerie, beaucoup plus fasciné par les réseaux sociaux et tourmenté par l’affect mélangeant les allégeances,ont révélé les faiblesses et insuffisances contenues dans le recrutement d’officiers supérieurs des Forces de défense et de sécurité n’ayant pas subi au préalable une formation militaire.
La Police et la Gendarmerie ont, ces dernières décennies,  procédé à des recrutements d’universitaires pour renforcer les corps d’encadrement de leurs effectifs. Cela fait cohabiter en leur sein deux types d’officiers : les uns ayant une formation militaire et sécuritaire et les autres n’ayant qu’une formation sécuritaire obtenue au sein de leur école de formation spécialisée. Une mise à niveau pour plus de cohérence et de cohésion s’impose à la hiérarchie de ces forces de défense et de sécurité au sortir des évènements du mois de mars dernier.
Le pays n’est pas en danger, mais il fait face à des dangers. Le principal d’entre eux est le statut du pays qui est en train de changer. Le Sénégal était un petit pays du Sahel sans grandes richesses. Depuis l’alternance du 1er mars 2000 et durant la dernière décennie (2010-2020), il est devenu un pays prometteur avec ses richesses minières et énergétiques.
Nous avons tort de croire que cela ne va que nous apporter des richesses et du « natangué ». Quand la probabilité devient des perspectives en économie, cela suscite des convoitises et aiguise les appétits des prédateurs impérialistes.
Les poursuites de l’exploitation du pétrole en Libye, des diamants et du coltan en Centrafrique et au Congo Démocratique en sont des révélateurs. L’exploitation des ressources dans ces pays ne s’opère qu’au seul profit des politiciens véreux et des capitalistes sans foi, ni loi au détriment des populations de ces territoires.
Notre pays doit se prémunir d’un tel sort tout en restant un pays de démocratie et de liberté mais avec organisation et méthode et doit sans faiblir poursuivre sa marche vers le développement. Les élections étant, alors, les seuls instruments de résolution des ambitions pour le contrôle de l’Etat et de la République.
Seulement, en ces temps si difficiles, un pays se doit d’être fort dans toutes ses composantes et être en mesure d’assurer son existence. Savoir se défendre s’opère sur le champ militaire mais aussi sur le plan de sa sécurité intérieure. Les autorités actuelles seraient défaillantes et incapables si elles ne prenaient pas la mesure des dangers et des enjeux.
Abdoulaye Bamba DIALLO
Les réformes apportées au Code Pénal et au Code de Procédure Pénaleouvrent un nouveau champ de bataille. Cela marque un tournant entre l’opposition la plus radicale et les dirigeants de la majorité présidentielle dans leur conception réciproque de la gestion des affaires publiques.Certes, il est de bon ton que l’on ne se fasse pas de cadeaux entre adversaires dans l’univers impitoyable de la politique. Tout de même diriger un Etat exige une posture faisant prévaloir la défense et la préservation des intérêts souverains du pays quelle que soit la rudesse des coups qui vous sont portés.
Pour autant, le procès fait au pouvoir actuel par certains défenseurs des libertés est-il juste ?
Le terrorisme est bel et bien une menace planétaire. A ce titre, il plane sur les cinq continents et ne devrait laisser insensible aucun Etat sérieux et responsable.Le savant et homme politique Cheikh Anta Diop a depuis longtemps établi que la sécurité est le préalable au développement. Un pays, comme le nôtre en période d’émergence et qui tend vers le développement avec le potentiel récent mis en exergue par la découverte de ses potentialités énergiques et minières, ne peut se croire à l’abri de tentations, de calculs, de luttes et de convoitises par toute sorte d’adversité ne reculant devant aucune tentative de déstabilisation pour parvenir à ses fins.
Plus que de l’ignorance ou de la bêtise, ce serait de la félonie ou de la haute trahison que de croire qu’une pandémie comme la Covid-19 ainsi que le terrorisme qui sont en passe de déstabiliser tous les Etats du Sahel en menaçant l’unité nationale, la cohésion sociale puissentlaisser intact un pays comme le nôtre. Pire ou mieux, c’est selon, le terrorisme verbal, le refus du dialogue, les postures extrémistes et radicales ainsi que la défiance de plus en plus grande à l’endroit des Institutions et de ses représentants sont les manifestations les plus évidentes que le terrorisme est bien installé chez nous. Les escarmouches des trois jours de mars dernier sont bien des manifestations de la présence terroriste sous nos cieux.
L’Etat a su bien réagir avec mesure et responsabilité en usant des instruments les plus adaptés à pareille situation pour faire face à cette tentative de déstabilisation du pays. Le grand mérite du Chef de l’Etat a été d’éviter, à cette occasion, la déchirure sociale et politique, piège dans lequel certains tentent d’enserrer le pays. Le Président Macky Sall a tenu à ne faire intervenir que l’Etat et ses démembrements tenant à distance les formations politiques, en premier, son propre parti, l’Apr. Sans oublier d’impliquer en les informant les notabilités civiles, religieuses et coutumières afin d’éviter les amalgames, manipulations et affabulations distillés au sein de l’opinion et dont les dérapages ne cherchaient qu’à distendre la cohésion nationale. En tirant des leçons de ces jours de tumulte, le Chef de l’Etat introduit les réformes et adaptation qu’exigent l’urgence et la délicatesse de la situation.
Il y a bel et bien chez nous, au sein de nos populations mais surtout au sein de nos élites des enfants perdus de la République animés par une folle ambition de pouvoir et qui semblent être prêts à n’importe quelle alliance.Les réformes apportées au Code Pénal et au Code de Procédure Pénale sont une première manifestation de la riposte à opposer aux ennemis du Sénégal.
D’autres initiatives, tout aussi fermes et efficaces, devraient suivre afin d’intensifier les capacités de riposte du pays face aux agressions et attaques pouvant surgir de l’intérieur comme de l’extérieur. L’arsenal ne saurait être adapté que sur les seules forces de défense et de sécurité, la législation et la réglementation devant être à la hauteur des enjeux.
Après le 11 septembre 2001, les Etats-Unis ont revu leur corpus législatif pour s’adapter aux nouvelles formes de terrorisme tout en augmentant les capacités d’investigation des services de renseignement ainsi que les capacités des armées américaines.
Après les attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan, la France a corsé son arsenal législatif, revisité son code de la nationalité et le droit d’asile et avant de se lancer à la traque aux terroristes jusque dans l’Orient lointain et mystérieux.
Le Sénégal ne procède pas autrement que ces deux pays en essayant d’adapter sa riposte face à ces nouveaux ennemis et déstabilisateurs attirés par nos richesses et voulant faire main basse sur le pays comme le subissent déjà des Etats africains comme la Libye, le Mozambique, le Congo Démocratique, la Centrafrique sous prétexte de guérilla ou de luttes de  libération nationale.
La Démocratie ne devant être ni le désordre social ni la chienlit d’une guérilla urbaine sous influence étrangère. Certes,la pauvreté, le chômage et le sans-emploisont des plaies béantes qui fragilisent notre tissu social et peuvent être, à ce titre, des accélérateurs de la colère et de la défiance à l’ordre social. Faut-il en faire pour autant le lit de toutes les outrances et transgressions uniquement pour assouvir des desseins politiques servant ainsi de mercenaires à des puissances capitalistes ou à des nouveaux pouvoirs impériaux voulant nous contrôler et s’accaparer de nos richesses ?
En cela, je suis en phase avec des dirigeants comme Vladimir Poutine, Recep Tayyip Erdogan et Paul Kagamé.
L’Occident et ses croisésne doivent pas nous dicter la marche à suivre tout comme les nouvelles puissances impériales émergentes qui cherchent à remplacer sous nos cieux les anciens colons ne sauraient devenir de nouveaux maîtres pour nous. Il n’y a rien à gagner en sortant d’un impérialisme pour en tomber sous un autre.
Il faut combattre avec la même énergie les croisés de l’Occident comme leslaquais des nouvelles puissances naissantes.
Si l’Armée nationale a dû déployer certaines de ses unités dans des zones urbaines en mars dernier pour servir de bouclier et défendre les édifices publiques c’est bien parce que l’on s’est rendu à une évidence. A savoir que la Police et la Gendarmerie nationale,jusque-là, ne sont préparées et équipées que pour faire du maintien de l’ordre en encadrant des manifs, mais ne sont point outillées pour faire face à des émeutes et à des insurrections et encore moins à contenir des foules à l’assaut des casernes, des cantonnements, des sanctuaires des forces de l’ordre ou des bâtiments publics.
Les errances d’un officier de la Gendarmerie, beaucoup plus fasciné par les réseaux sociaux et tourmenté par l’affect mélangeant les allégeances,ont révélé les faiblesses et insuffisances contenues dans le recrutement d’officiers supérieurs des Forces de défense et de sécurité n’ayant pas subi au préalable une formation militaire.
La Police et la Gendarmerie ont, ces dernières décennies,  procédé à des recrutements d’universitaires pour renforcer les corps d’encadrement de leurs effectifs. Cela fait cohabiter en leur sein deux types d’officiers : les uns ayant une formation militaire et sécuritaire et les autres n’ayant qu’une formation sécuritaire obtenue au sein de leur école de formation spécialisée. Une mise à niveau pour plus de cohérence et de cohésion s’impose à la hiérarchie de ces forces de défense et de sécurité au sortir des évènements du mois de mars dernier.
Le pays n’est pas en danger, mais il fait face à des dangers. Le principal d’entre eux est le statut du pays qui est en train de changer. Le Sénégal était un petit pays du Sahel sans grandes richesses. Depuis l’alternance du 1er mars 2000 et durant la dernière décennie (2010-2020), il est devenu un pays prometteur avec ses richesses minières et énergétiques.
Nous avons tort de croire que cela ne va que nous apporter des richesses et du « natangué ». Quand la probabilité devient des perspectives en économie, cela suscite des convoitises et aiguise les appétits des prédateurs impérialistes.
Les poursuites de l’exploitation du pétrole en Libye, des diamants et du coltan en Centrafrique et au Congo Démocratique en sont des révélateurs. L’exploitation des ressources dans ces pays ne s’opère qu’au seul profit des politiciens véreux et des capitalistes sans foi, ni loi au détriment des populations de ces territoires.
Notre pays doit se prémunir d’un tel sort tout en restant un pays de démocratie et de liberté mais avec organisation et méthode et doit sans faiblir poursuivre sa marche vers le développement. Les élections étant, alors, les seuls instruments de résolution des ambitions pour le contrôle de l’Etat et de la République.
Seulement, en ces temps si difficiles, un pays se doit d’être fort dans toutes ses composantes et être en mesure d’assurer son existence. Savoir se défendre s’opère sur le champ militaire mais aussi sur le plan de sa sécurité intérieure. Les autorités actuelles seraient défaillantes et incapables si elles ne prenaient pas la mesure des dangers et des enjeux.
Abdoulaye Bamba DIALLO
 
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