Dans une missive écrite depuis la prison, Khalifa Sall s’est encore adressé à ses administrés pour sacrifier à un exercice qui, au-delà du rituel des vœux, lui permet de décliner les axes prioritaires de l’action municipale.
A ce sujet, il renseigne que «le budget 2018, qui vient d’être adopté par le Conseil municipal, vise à consolider les investissements structurants, notamment la modernisation du réseau d’éclairage public avec un objectif d’efficacité et d’économie énergétiques (passage des lampes sodium aux lampes Led), le pavage et la végétalisation de l’espace public, l’aménagement des stades et terrains en gazon synthétique». Mais, «également à former, protéger et valoriser le capital humain avec la réhabilitation des collèges, la réhabilitation des centres socioculturels, la construction de l’hôpital des Parcelles Assainies, le soutien à l’économie solidaire et la promotion de l’auto-emploi, notamment par le financement de projets par le Pafsep et le Fodem».
«Ma volonté de servir notre ville reste intacte»
Khalifa Sall qui ne semble outre mesure préoccupé par l’issue de son procès renvoyé au 23 janvier prochain, de dire que c’est aujourd’hui plus que jamais qu’il croit en ses capacités à changer les choses. «Ma volonté de servir notre ville reste intacte. Plus que jamais, je reste déterminé à transformer Dakar en une ville où chacun pourra se construire et s’épanouir», a déclaré Khalifa Sall.
Ce que le maire de Dakar attend des Sénégalais, cette année…
De la prison, Khalifa Sall qui précise dans sa lettre avoir une pensée pieuse pour tous ceux qui ont été arrachés à notre affection, en particulier nos illustres guides religieux qui nous ont quittés au cours de l’année écoulée, les malades, les détenus et tous ceux qui souffrent en silence, dit souhaiter que «2018 soit l’année où s’accomplira la prise de conscience collective de l’exacte mesure du désastre provoqué par la mal gouvernance du pouvoir en place». Car, malgré les épreuves et les injustices, a-t-il dit dans sa lettre, «il est possible de construire un autre avenir pour notre pays. Parce que les temps de crise sont aussi des temps d’opportunités». Aussi, il «reste optimiste sur la capacité de notre peuple à puiser dans son génie propre pour reprendre sa marche résolue vers la paix, la démocratie, la prospérité et pour installer notre Nation dans une trajectoire qui rassemble et élève ses filles et ses fils dans un destin commun».
C’est son espoir, l’espoir pour lequel il continuera, avec chacun et avec tous, à servir notre pays pour qu’enfin la République tienne sa promesse d’égalité, de liberté, de justice et de solidarité à l’endroit de tous ses citoyens, laisse entendre Khalifa Sall.
Madou MBODJ
A ce sujet, il renseigne que «le budget 2018, qui vient d’être adopté par le Conseil municipal, vise à consolider les investissements structurants, notamment la modernisation du réseau d’éclairage public avec un objectif d’efficacité et d’économie énergétiques (passage des lampes sodium aux lampes Led), le pavage et la végétalisation de l’espace public, l’aménagement des stades et terrains en gazon synthétique». Mais, «également à former, protéger et valoriser le capital humain avec la réhabilitation des collèges, la réhabilitation des centres socioculturels, la construction de l’hôpital des Parcelles Assainies, le soutien à l’économie solidaire et la promotion de l’auto-emploi, notamment par le financement de projets par le Pafsep et le Fodem».
«Ma volonté de servir notre ville reste intacte»
Khalifa Sall qui ne semble outre mesure préoccupé par l’issue de son procès renvoyé au 23 janvier prochain, de dire que c’est aujourd’hui plus que jamais qu’il croit en ses capacités à changer les choses. «Ma volonté de servir notre ville reste intacte. Plus que jamais, je reste déterminé à transformer Dakar en une ville où chacun pourra se construire et s’épanouir», a déclaré Khalifa Sall.
Ce que le maire de Dakar attend des Sénégalais, cette année…
De la prison, Khalifa Sall qui précise dans sa lettre avoir une pensée pieuse pour tous ceux qui ont été arrachés à notre affection, en particulier nos illustres guides religieux qui nous ont quittés au cours de l’année écoulée, les malades, les détenus et tous ceux qui souffrent en silence, dit souhaiter que «2018 soit l’année où s’accomplira la prise de conscience collective de l’exacte mesure du désastre provoqué par la mal gouvernance du pouvoir en place». Car, malgré les épreuves et les injustices, a-t-il dit dans sa lettre, «il est possible de construire un autre avenir pour notre pays. Parce que les temps de crise sont aussi des temps d’opportunités». Aussi, il «reste optimiste sur la capacité de notre peuple à puiser dans son génie propre pour reprendre sa marche résolue vers la paix, la démocratie, la prospérité et pour installer notre Nation dans une trajectoire qui rassemble et élève ses filles et ses fils dans un destin commun».
C’est son espoir, l’espoir pour lequel il continuera, avec chacun et avec tous, à servir notre pays pour qu’enfin la République tienne sa promesse d’égalité, de liberté, de justice et de solidarité à l’endroit de tous ses citoyens, laisse entendre Khalifa Sall.
Madou MBODJ