L’Alliance des forces de progrès (Afp) n’est pas en reste. Elle dénonce « des mesures inadmissibles dans un pays démocratique » et « des actes de barbarie » commis dans les locaux des médias.
« La mission d’informer juste et vraie est garantie par la Constitution, rappelle l’Afp. Les journalistes ont le droit d’exercer leur métier quelles que soient les circonstances. »
Dans un renversement symbolique, même l’Alliance Pour la République (Apr), ancien parti au pouvoir, dénonce avec vigueur l’attitude des forces de l’ordre. « Après le harcèlement fiscal et la privation de publicité, le régime verse désormais dans la violence barbare, digne des pires dictatures de l’histoire », écrit le parti fondé par Macky Sall.
L’Apr exige la libération des journalistes et appelle toutes les forces vives à « faire face à la volonté d’instauration d’une dictature au Sénégal ».













