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CRIME ODIEUX A SAHM NOTAIRE/GUÉDIAWAYE : Un enfant de 5 ans tué et abandonné sur la terrasse de la maison




 
 
Le réveil fut brutal, samedi dernier, au quartier Sahm Notaire de Guédiawaye en banlieue dakaroise. Fallou Nd, âgé de 5 ans, a été retrouvé mort sur la terrasse de leur domicile à étages. Il aurait été poignardé sur les côtes, au niveau de la gorge, puis abandonné sur les lieux.
 
 
 
Il y a eu un horrible meurtre à Guédiawaye. Où l’affaire fait encore jaser et suscite de l’indignation et de la stupéfaction au quartier Sahm Notaire (lieu du crime) et ses environs.
 
Fallou et ses deux frères aînés chez leur papa
 
Alertés, les habitants accourent et se massent devant la maison R+1 du défunt marmot, qui vivait dans un appartement en location avec sa petite famille composée de ses deux frères aînés, de son papa-chauffeur de taxi, et de l’épouse de celui-ci. D’autant que le taximan – qui se réveille chaque jour au petit matin pour aller au travail - ne vit plus avec la maman du bambin depuis deux ans pour cause de divorce.  
 
La description de la scène d’horreur sur la terrasse de la maison
 
Le garçon et ses deux autres frangins étaient venus chez leur papa, à la veille de la Tabaski, pour y célébrer la fête, et passer les grandes vacances scolaires. Le corps sans vie de l’enfant, baignant dans son sang, fut alors découvert sur la terrasse de la bâtisse à appartements en location. L’image est insupportable. Et la scène d’horreur ressemble plus à une boucherie d’une bestialité sans commune mesure. Du sang coule à flots sur les lieux et autour du corps de l’enfant. Saignant des flancs et au niveau de la gorge.
 
Les flics de Guédiawaye et leurs collègues de la police scientifique au front
 
Informés, les flics du nouveau commissaire central de Guédiawaye, Aliou Bodian, débarquent sur les lieux et dégagent la foule de curieux. Leurs collègues de la police scientifique arrivent, délimitent la scène de crime par un cordon de sécurité et sacrifient au rituel de prélèvement d’indices et autres objets susceptibles de faire la lumière sur la tragédie.
 
Fallou poignardé au niveau des côtes et de la gorge
 
A l’examen visuel du corps du garçon, tout laisse croire à un ignoble meurtre par arme blanche. Des traces de graves blessures corporelles sont apparentes et visibles sur les côtes et au niveau de la gorge du petit Fallou. «Il s’agit d’un meurtre», martèlent nos contacts. Qui poursuivent que le gamin a dû être piégé, conduit sur la terrasse, avant d’être poignardé au niveau du flanc.
 
 
La maison mortuaire fermée et placée sous scellé
 
Après les constatations d’usage, les flics embarquent les membres de la famille du garçon ainsi que les autres occupants de la maison - placée sous scellés - et les conduisent au commissariat central de police de la localité pour les besoins de l’enquête préliminaire. Ils en feront de même pour les proches voisins, histoire de passer au peigne fin les moindres indices sur les derniers instants de vie de bébé Fallou.
 
La thèse du meurtre de l’enfant par un intrus écartée
 
A la configuration de la maison, il est difficile, voire impossible, pour un intrus d’accéder à la terrasse, dont le portail se ferme à clé. Encore moins pénétrer dans les appartements en question. Car, chaque locataire détient sa propre clé. D’où les soupçons de nos interlocuteurs sur la thèse du meurtre par un membre de la maison. «Si tu ne détiens pas la clé d’un appartement ou si tu n'es pas de la maison, tu ne peux accéder à aucun des appartements, qui sont fermés à clé tout le temps. Encore moins ouvrir la porte, qui donne sur la terrasse, lieu du crime. Seuls les locataires détiennent la clé de la porte de la terrasse», indiquent-ils.
 
La marâtre, principale suspecte, retenue à la police
 
Aux dernières nouvelles, la tante de l’enfant – en instance de divorce avec le papa taximan du mouflet -  a été auditionnée, puis retenue dans les locaux du commissariat pour des raisons que nous ignorons. Même si les premiers éléments de l’enquête préliminaire considèrent celle-ci comme le suspect numéro 1 dans l’affaire. A-t-elle agi de la sorte par vengeance de son mari taximan ? Considère-t-elle la présence du pauvre enfant et ses deux frangins dans son foyer comme la source de ses bisbilles avec son époux ?
Plusieurs autres occupants de la maison mortuaire ont subi leurs auditions respectives sur procès-verbal devant les enquêteurs, et quitté les locaux de la police centrale, avant de regagner leurs maisons. A charge pour eux de déférer à toute convocation éventuelle.
 
Vieux Père NDIAYE  
 
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