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CHEIKH SARR, ENTRAINEUR DES LIONNES: «Nous continuons à chercher. On n’est pas satisfait totalement»



CHEIKH SARR, ENTRAINEUR DES LIONNES: «Nous continuons à chercher. On n’est pas satisfait totalement»
 
 
«C’est une montée en puissance. On est passé de 70 points, 88 à 100. Chaque match nous permet de nous améliorer, il y a eu des erreurs et des failles. On a joué contre une équipe qu’on craignait un peu, l’Égypte, qui a mis 82 points contre l’une des meilleures équipes d’Afrique, l’Angola», a avancé le technicien. Pour ce qui est du match contre l’Égypte, il soutient qu’il y a eu des erreurs, mais que ça a permis de rectifier certaines failles. «On a pris les devants et décidé de défendre très dur, les empêcher d’évoluer. En un moment donné, on a fait un pressing tout terrain et après, on a desserré. On a une amélioration dans tous les domaines, au niveau des statistiques. 24 passes décisives, c’est quand même quelque chose. On a tiré 28 fois à trois points, ça veut dire qu’on avait la possibilité de shooter, ensuite on a profité de beaucoup de fautes», explique-t-il. Il poursuit : «l’Égypte est une équipe qu’on va affronter en Coupe d’Afrique, il fallait s’imposer sur le plan mental pour qu’elles sachent qu’on n’est pas là pour rigoler».
 
«Il faut qu’on arrive à moduler l’expérience et la jeunesse»
 
«Jouer chez soi, c’est très difficile», selon Cheikh Sarr. Sur ce, il pense que «c’est un processus très long pour que les filles puissent  s’adapter à l’environnement, au lieu d’entrainement, de compétition et au trajet. On a voulu jouer ici pour faire un grand test avant la Coupe d’Afrique.  Même pour les organisateurs, c’est une occasion de rectifier certains couacs», dit-il. Pour ces trois matchs, le coach avoue ne pas être satisfait à 100%, mais que le travail doit continuer pour une meilleure amélioration avant l’Afrobasket . «A partir du 7, on va continuer à peaufiner les stratégies. On a joué deux systèmes, un long et un court sur 11. Personne ne veut révéler son jeu. Ils ont joué 6 systèmes et 4 défenses alors que nous avons fait deux défenses agressives et fille à fille. Nous continuons à chercher. On n’est pas satisfait totalement», lance-t-il en conférence de presse. Concernant le choix des 12, le sélectionneur national confie avoir l’embarras. «A la Coupe du monde passée, c’était pareil, même s’il y a eu des bémols. Là, c’est très difficile. On a 15 joueuses dont 5 jeunes de 22 ans qui viennent de sortir du collège. C’est des jeunes agressives, qui veulent participer à la fête. Mais, il faut qu’on arrive à moduler l’expérience et la jeunesse», déclare-t-il avant d’ajouter : «ça fait très mal de devoir faire un choix. Déjà, pour leur parler, ce sera très compliqué, parce que ce sont de véritables joueuses. Mais il faut toujours faire un choix. Au niveau des grandes aussi, ce sera difficile, car elles ont l’expérience et elles bossent et restent costaudes. Mais on fera en fonction de l’état actuel. Mais pas dans une projection de 2 ou 3 ans». 
 


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