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ALIOU CISSE, APRES L’ELIMINATION DU SENEGAL: «Il faut passer un cap»



ALIOU CISSE, APRES L’ELIMINATION DU SENEGAL: «Il faut passer un cap»
 
Le sélectionneur du Sénégal, écarté cruellement de la course aux huitièmes de finale, se projette déjà dans l’avenir.
 
Le triste spectacle d’une formation japonaise pariant sur l’incapacité du Sénégal à égaliser face à la Colombie (0-1) et refusant le jeu face à la Pologne, alors qu’elle était elle-même menée au score (0-1), restera comme l’une des images fortes de cette Coupe du monde. Ce sont pourtant bien les Lions de la Teranga qui furent éliminés au classement du fair-play, alors qu’ils étaient à égalité parfaite avec les Nippons (deux cartons jaunes de plus). Aliou Cissé, l’un des visages de ce Mondial russe, belle gueule et dreadlocks par-dessus le costume, revient sur cette élimination et pense à la suite : il veut rester à son poste pour tenter de remporter la Can 2019.
 
 Comment s’est passé votre retour au Sénégal ?
 Il y a surtout un sentiment d’amertume. On aurait évidemment aimé continuer l’aventure le plus longtemps possible. C’était à notre portée. La réglementation Fifa a décidé que c’était le Japon qui méritait de passer sur les critères que vous connaissez. C’est une première. C’est tombé sur nous. Alors on encaisse, et on avance, pour mieux rebondir.
 
C’est dur d’encaisser ?
Oui, c’est dur. Mais je suis surtout fier du comportement de mes joueurs. Et le plus important, désormais, c’est l’avenir.
 
Le soir de l’élimination, vous n’avez exprimé aucun agacement, face au comportement du Japon. Avec le recul, votre discours est-il différent ? Etes-vous fâché ?
Non, je ne suis pas du tout fâché. C’est ainsi, c’est le football, aussi cruel que cela puisse être. Même chose concernant l’attitude des Japonais. C’est comme ça. Un jour, cela va dans votre sens. Un autre jour, c’est l’inverse.
 
Avez-vous été beaucoup critiqué au Sénégal ?
Tu es forcément critiqué. Mais c’est normal. C’est le boulot de la presse, je ne peux pas empêcher les gens de faire leur travail. Et puis je suis moi-même d’une nature très perfectionniste.
 
A vos yeux, ce parcours est-il un échec ou une réussite ?
Ni l’un ni l’autre. Tout n’a pas été parfait, mais l’équipe a aussi montré de très belles choses, dans le jeu et dans l’état d’esprit. On a montré que l’on était capable de rivaliser avec n’importe quelle équipe. Mais cela ne suffit pas. Ces matchs, il faut les gagner, désormais, si l’on veut devenir une très grande équipe.
 
Vous êtes un jeune entraîneur (42 ans). Avez-vous commis des erreurs ?
Je ne crois pas. Nous avons fait des choix mûrement réfléchis. Je n’ai pas de regret.
 
Avez-vous le sentiment d’être passé tout près d’une grande aventure, comme en 2002, lorsque vous étiez joueur (élimination en quart de finale) ?
(Il rit) Je ne sais pas. On avait mis tous les atouts de notre côté, en tout cas, notre jeu progressait de match en match. Tout le monde a vu que le Sénégal avait dominé la Colombie (0-1). Malheureusement, on n’a pas été efficaces.
 
Vous êtes sous contrat jusqu’en 2019. Vous allez rester ?
(Il sourit) Mon rêve, c’est de gagner un trophée avec cette génération. Ces joueurs ont une envie débordante d’écrire leur propre histoire et j’ai envie de rester à leurs côtés. Je crois vraiment en cette équipe, qui a en plus de belles valeurs, je crois en l’avenir, et je crois en notre capacité à gagner ce trophée que le peuple sénégalais attend depuis si longtemps (le palmarès du Sénégal est vierge).
Mais êtes-vous sûr de pouvoir poursuivre votre mission ?
 Je l’espère. Je suis sous contrat jusqu’en 2019. J’en ai envie, je suis déterminé. Après, dans le football, on ne sait jamais de quoi demain sera fait. Mais à l’heure où je vous parle, je suis encore là.
 
Le grand objectif, c’est de gagner la Can en 2019 ?
 Le grand objectif est de gagner un trophée majeur. En 2019 ou après. Mais avec ce que l’on réalise depuis trois ans, le Sénégal aura son mot à dire en 2019.
 
Aucune équipe africaine ne s’est qualifiée en huitième de finale. Que cela vous inspire-t-il ?
On est déçus, forcément. Mais de grandes équipes, qui ont déjà gagné la Coupe du monde, ont aussi été éliminées. Je suis persuadé qu’une équipe africaine gagnera la Coupe du monde un jour. Avant, on venait pour apprendre. Aujourd’hui, on peut rivaliser avec n’importe quelle nation. Mais rivaliser ne suffit pas. Il faut passer un cap.
 
En France, vous êtes aussi considéré comme un enfant du pays. Entraînerez-vous un jour ici ou en Europe ?
 C’est une possibilité, oui. Des opportunités, il y en a, il y en aura. Mais aujourd’hui, tout mon esprit est au Sénégal. Je ne me projette pas au-delà. Cette aventure n’est pas finie. On n’est pas loin, j’en suis persuadé».
L’équipe.fr
 
 
Coach Cissé... la presse sénégalaise avant tout
Encore un pied de nez à la presse sénégalaise, plus particulièrement la presse sportive sénégalaise. Pour sa première sortie après l’élimination des Lions de la Teranga au premier tour de la Coupe du monde 2018, Aliou Cissé a choisi le journal l’Equipe. Une attitude pas du tout appréciée par la presse sénégalaise qui s’est déplacée en masse en Russie pour suivre les faits et gestes de l’équipe nationale. A la limite, c’est méprisant pour les médias. D’habitude, ce sont les chefs de l’Etat qui nous ont habitués à des sorties dans la presse étrangère et cette fois-ci, c’est le coach d’une équipe nationale de football qui déroge à la règle. Est-ce un signe d’infériorité ? Est-ce que Aliou Cissé remet en cause la crédibilité de la presse sportive ? Ou serait-ce les critiques de la presse sportive qui ont motivé le choix de Aliou Cissé de «sélectionner» l’Equipe. Dans tous les cas,  cela démontre une fois de plus la mentalité de Yaya Jammeh Cissé qui visiblement n’aime pas être critiqué, à l’image de Idrissa Gana Guèye qui a préféré snober la presse sénégalaise, soutenant avoir essuyé trop de critiques. L’on se rappelle des boycotts de Bruno Metsu en 2000, de Aimé Jacquet en 1998…ces derniers en voulaient à la presse qui pourtant ne rapporte que les dires des professionnels et des amateurs de football.  Ce qui est normal est que la primeur des sorties après un Mondial soit consacrée aux médias sénégalais. Didier Deschamps n’ose même pas faire le bilan de son Mondial à la presse étrangère et c’est valable pour ses collègues. Seul coach africain, Aliou Cissé aurait dû faire preuve de grandeur en accordant l’exclusivité de sa sortie à «sa» presse. Cette presse qui l’a suivi depuis sa nomination à la tête de l’équipe nationale en 2015 est plus que jamais mieux outillée pour poser  à Aliou Cissé les questions que se posent bon nombre de Sénégalais. Ce à quoi la presse a eu droit c'est juste des conférences de presse d'avant match, chose qui est obligatoire. Est-ce une fuite en avant ? L’avenir nous le dira… 
 Mansour SAMB


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