Révélées par «Les Échos», les accusations de viols et de menaces de mort de la masseuse A. Sarr contre Ousmane Sonko défraient la chronique depuis hier. Et comme à son habitude, le leader de Pastef s’est fendu d’un communiqué posté sur sa page Facebook pour démentir en bloc les accusations. Sonko parle d’une énième tentative de déstabilisation du pouvoir et invite ses militants à rester mobilisés comme à l’accoutumée et à continuer le travail de massification.
Comme évoqué hier, c’est une jeune masseuse du nom de A. Sarr qui a porté plainte à la Section de recherches contre Ousmane Sonko pour viols répétitifs et menaces de mort. L’affaire qui alimente les réseaux sociaux n’est qu’un tissu de mensonges, selon l’accusé, pour le discréditer afin de se débarrasser de lui avant l’élection présidentielle de 2024. Listant dans son post tous les coups fomentés par ses adversaires pour le nuire, Ousmane Sonko déclare qu’après Khalifa Sall et Karim Wade, il est le prochain dans le viseur du régime. Sonko de souligner qu’après les financements russes, les liens avec le Mfdc, les financements par l'État islamique, la plainte pour diffamation portant sur les 94 milliards, la plainte fantoche de Frank Timis et tutti quanti, les dizaines de millions de Tullow oil et les mallettes de Karim Wade et Yaya Diamé, ses détracteurs lui collent une affaire de mœurs. «Voici venue l'affaire des viols "répétitifs" sous la menace de deux pistolets, en présence de témoins et avec envoi préalable de Sms par le violeur pour annoncer son arrivée à sa victime», renseigne le leader de Pastef. D’après ce dernier, aucun homme politique n'a subi autant de calomnies en si peu de temps. «Aucun homme politique n'a jamais été autant diffamé, calomnié et persécuté en si peu de temps. Et c'est révélateur de leurs tentatives de déstabilisation, aussi inlassables que vaines».
«Depuis des mois, des amis, y compris de l'intérieur, n'ont cessé de m'alerter sur un complot à venir portant sur des questions de mœurs»
Toutes ces manœuvres n’ont qu'un seul but, selon Ousmane Sonko, le liquider comme ils l’ont fait avec Khalifa Sall et Karim Wade. «Nous savions qu'après les liquidations de Khalifa Sall et Karim Wade, le nouvel attelage de Macky n'avait qu'une mission : liquider Sonko à tout prix avant 2024, y compris en manipulant des individus pour une besogne aussi abjecte», déclare-t-il avant d’assurer qu’on l’avait prévenu. «Depuis des mois des amis, y compris de l'intérieur, n'ont cessé de m'alerter sur un complot à venir portant sur des questions de mœurs, puisque tous les autres avaient lamentablement échoué», tonne Sonko qui rassure ses militants et sympathisants : «je n'ai rien à voir avec ces mensonges crapuleux». Pour finir, le leader de Pastef invite ses partisans à rester mobilisés comme à l’accoutumée, à continuer de travailler pour la massification, l’enrôlement des primo votants et l’installation de cellules dans tous les coins et recoins du Sénégal, en attendant la notification officielle d’une plainte ou d’une convocation.
Ndèye Khady DIOUF
Comme évoqué hier, c’est une jeune masseuse du nom de A. Sarr qui a porté plainte à la Section de recherches contre Ousmane Sonko pour viols répétitifs et menaces de mort. L’affaire qui alimente les réseaux sociaux n’est qu’un tissu de mensonges, selon l’accusé, pour le discréditer afin de se débarrasser de lui avant l’élection présidentielle de 2024. Listant dans son post tous les coups fomentés par ses adversaires pour le nuire, Ousmane Sonko déclare qu’après Khalifa Sall et Karim Wade, il est le prochain dans le viseur du régime. Sonko de souligner qu’après les financements russes, les liens avec le Mfdc, les financements par l'État islamique, la plainte pour diffamation portant sur les 94 milliards, la plainte fantoche de Frank Timis et tutti quanti, les dizaines de millions de Tullow oil et les mallettes de Karim Wade et Yaya Diamé, ses détracteurs lui collent une affaire de mœurs. «Voici venue l'affaire des viols "répétitifs" sous la menace de deux pistolets, en présence de témoins et avec envoi préalable de Sms par le violeur pour annoncer son arrivée à sa victime», renseigne le leader de Pastef. D’après ce dernier, aucun homme politique n'a subi autant de calomnies en si peu de temps. «Aucun homme politique n'a jamais été autant diffamé, calomnié et persécuté en si peu de temps. Et c'est révélateur de leurs tentatives de déstabilisation, aussi inlassables que vaines».
«Depuis des mois, des amis, y compris de l'intérieur, n'ont cessé de m'alerter sur un complot à venir portant sur des questions de mœurs»
Toutes ces manœuvres n’ont qu'un seul but, selon Ousmane Sonko, le liquider comme ils l’ont fait avec Khalifa Sall et Karim Wade. «Nous savions qu'après les liquidations de Khalifa Sall et Karim Wade, le nouvel attelage de Macky n'avait qu'une mission : liquider Sonko à tout prix avant 2024, y compris en manipulant des individus pour une besogne aussi abjecte», déclare-t-il avant d’assurer qu’on l’avait prévenu. «Depuis des mois des amis, y compris de l'intérieur, n'ont cessé de m'alerter sur un complot à venir portant sur des questions de mœurs, puisque tous les autres avaient lamentablement échoué», tonne Sonko qui rassure ses militants et sympathisants : «je n'ai rien à voir avec ces mensonges crapuleux». Pour finir, le leader de Pastef invite ses partisans à rester mobilisés comme à l’accoutumée, à continuer de travailler pour la massification, l’enrôlement des primo votants et l’installation de cellules dans tous les coins et recoins du Sénégal, en attendant la notification officielle d’une plainte ou d’une convocation.
Ndèye Khady DIOUF
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