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JOURNALISTE ET SOUTIEN DE MACKY: THIERNO AMADOU SY asséne ses verités et régle ses comptes



JOURNALISTE ET SOUTIEN DE MACKY: THIERNO AMADOU SY asséne ses verités et régle ses comptes
 
 
Le mouvement politique «Ha Yeeso» qui soutient le Président Macky Sall est et restera avant tout un mouvement de développement tourné vers le futur de la commune de Nabadji Siwol et de ses populations. La précision est de Thierno Amadou Sy qui, malgré son soutien indéfectible au chef de l’Etat, dont il loue le bilan et croit fermement en sa victoire au premier tour en 2016, refuse d’être, lui et ses camarades, des porteurs de tee-shirts et des applaudisseurs à tout bout de champ. Evoquant ses rapports avec les apéristes, le journaliste de la Rts entré en politique note qu’à commencer par ceux de sa commune, les responsables du parti présidentiel brillent par leur manque d’ouverture, voire leur hostilité. Une démarche contraire à celle de leur patron Macky Sall, qui se veut rassembleur. Thierno Amadou Sy n’a pas aussi raté les opposants, qu’il qualifie d’aventuriers et de touristes en mal de crédibilité.
 
 
 
 
Les Echos : Vous avez décidé, Thierno Amadou Sy, de vous engager en politique et de soutenir le président de la République. Qu’est-ce qui vous a poussé à prendre une telle décision ?
 
 
Thierno Amadou Sy : Je veux préciser d’abord que ce soutien au Président Macky Sall est à l’étape d’officialisation. C’est depuis le mois de mars que j’ai décidé d’officialiser ce soutien, tout en sachant que, depuis le lycée, à Fatick, il était à l’époque ministre, puis Premier ministre, je travaillais avec des gens qui le soutenaient. Je n’avais pas pu l’officialiser avant, parce que j’attendais encore d’y voir plus clair. Quelles sont mes ambitions ? Quand j’entre en politique, c’est pour faire quoi ? C’est pour devenir quoi ? C’est pour aider à faire quoi ? Parce qu’il y a tout  cela dans la politique. Au fil du temps, je me suis engagé. Dans mon métier d’abord de journaliste, je me suis dit que j’étais un journaliste de développement. Un journaliste qui allait au fond du pays recueillir ce que voulaient et faisaient les Sénégalais ; bref, savoir la marche du pays. Et comprenant la marche du pays, je me suis dit : quand je m’engage en politique, c’est peut-être pour aider à porter la voix des sans-voix. Parce que quand on est en politique, on côtoie des autorités, des gens qui ont des pouvoirs de décisions. Alors je me suis dit, il faut le faire maintenant. Mais, il fallait choisir un nom et dans ma tête, c’était très clair. Quand il faut s’engager en politique, il faut choisir Macky Sall, cheminer avec Macky Sall, parce qu’il est de ma zone d’intervention et parce qu’en politique aussi, il faut impérativement avoir une base. Et ma base naturelle c’est Nabadji Siwol. C’est une grande commune, la plus grande du département de Matam. En sachant aussi qu’en tant que journaliste, j’ai traversé le monde, retrouvé la diaspora sénégalaise où j’ai également beaucoup de soutiens. A Dakar, aussi, j’interviens souvent dans la banlieue. Je suis presque tous les jours dans la banlieue. Mais ma base naturelle, c’est Nabadji Siwol.
Donc, pour revenir à votre question, j’ai décidé de m’engager pour être aux côtés de ces populations, recueillir leurs préoccupations et essayer de les transmettre aux décideurs, au Président Macky Sall et à ses gens-là qui le soutiennent et qui sont autour de lui.
 
 
Est-ce que ce ne sera pas juste un mouvement de plus. Qu’est-ce qui différencie votre mouvement des autres qu’on voit naître et mourir de leur belle mort du jour au lendemain?
 
 
Oui, là aussi, il y a un très grand souci. Je pense que les Sénégalais devraient apprendre à décrypter et à comprendre les situations. Ce que j’ai créé, peut-être au Sénégal on l’appelle mouvement de soutien, mais moi, je ne l’appelle pas mouvement de soutien. Ce que j’ai créé s’appelle «Ha Yeeso». C’est un mouvement qui décide d’aller de l’avant. C’est un mouvement politique, oui, mais avec une autre manière de faire de la politique. Je me suis dit que dans ma commune à Nabadji, il n’y avait pas de point de convergence, un milieu de rendez-vous, où les gens se retrouveraient pour se dire la vérité et penser à construire ensemble cette localité. J’ai appelé les populations de Nabadji à  rejoindre «Ha Yeeso», qui est d’abord un mouvement de développement. Et ensuite,  j’ai dit au gens : nous voulons aller de l’avant et on a dans ce pays, quelqu’un qui cherche à rendre ce pays émergent, qui cherche à développer ce pays. Il s’appelle Macky Sall. Il est le président de la République ; il a besoin qu’on soit à ses côtés. Donc, on a apporté «Ha Yeeso» aux côtés du Président Macky Sall. C’est ce que les gens appellent mouvement de soutien, mais moi je ne définis pas «Ha Yeeso» comme ces mouvements de soutien qui fleurissent, qui naissent aujourd’hui pour mourir demain. «Ha Yeeso» est un mouvement de l’avenir. C’est pourquoi notre slogan est : «Avec Macky, pour le futur». Aujourd’hui, nous accompagnons Macky, mais c’est pour le futur du Fouta, de Nabadji, notre futur. Donc «Ha Yeeso»  n’est pas un mouvement  qui va dire oui à tout bout de champ. Nous ne sommes pas là pour applaudir, porter des tee-shirts et faire des meetings. D’ailleurs, à son lancement, «Ha Yeeso» n’a pas organisé de meeting. C’est ce que tout le monde attendait. Nous, nous avons décidé à Nabadji Siwol d’organiser une journée de consultation gratuite. Et ce jour-là, on a consulté près de 600 personnes. On a donné en médicaments près de 3 millions de F Cfa. On a cherché des soutiens un peu partout, des gens qui ne font pas forcément de la politique. Et aujourd’hui, à Nabadji, ceux qui nous accompagnent ne sont pas forcément des gens qui sont dans le milieu politique. Et j’appelle ces gens-là à venir soutenir Macky Sall, à venir voter pour Macky Sall, parce que j’y crois. Je crois qu’il a fait énormément de choses entre 2012 et maintenant.  Ça je le dis en tant que journaliste. J’ai fréquenté beaucoup de villages. J’ai vu ce qu’il a fait et je suis persuadé qu’il fera encore beaucoup de choses après 2019. Et Nabadji l’attend après 2019. «Ha Yeeso» va poser des revendications sur la table. Il va poser sur la table les préoccupations des populations. C’est à cause de tout cela que je ne veux pas appeler «Ha Yeeso» mouvement de soutien, mais un mouvement qui accompagne, qui réclame le droit des populations à avoir accès à ce qu’elles veulent réellement.
 
 
Ce n’est pas tous les jours qu’on voit un journaliste créer un mouvement de soutien au président de la République. D’ailleurs, vous aviez été très critiqué dernièrement…
 
 
Etre un journaliste et entrer en politique, moi je pense que c’est la continuité, dans l’action politique, de ce que je faisais. C’est quoi l’action politique ? Pour moi, l’action politique est différente de ce que les gens pensent aujourd’hui. Actuellement, quand quelqu’un décide d’aller avec le pouvoir, les gens pensent que c’est pour des postes, privilèges et prébendes. Moi je pense que le Sénégal doit se construire autrement. J’ai dit à des confrères : si j’avais décidé d’accompagner quelqu’un de l’opposition, vous alliez applaudir. Vous alliez dire que cet agent de la Rts, c’est un révolutionnaire. Mais vous n’alliez pas décrier mon engagement ; il s’agit d’un engagement, d’une détermination. Je me suis engagé en politique avec Macky Sall. Et pour moi, on doit m’attendre maintenant aux faits. C’est-à-dire est-ce que Thierno Ahmadou Sy va continuer à présenter le journal de 20h de la Rts ? Est-ce que  Thierno Amadou Sy va continuer à animer des débats politiques ? Comment il va faire….? Jusqu’à présent, on ne m’a pas vu faire un débat politique. Ça je ne le ferai plus. Un confrère avait écrit que dans mon édition de 20h, j’ai mis un extrait de ma manifestation politique. C’est archifaux. Ça ne s’est jamais passé à la Rts. la Rts n’a pas couvert mon événement. Pas une seule seconde de mon événement n’est passée sur les ondes ou les antennes de la Rts. Il faut que les gens soient plus tolérants et surtout, acceptent la décision de l’autre. Ma décision de m’engager en politique est personnelle.  Je m’engage pour le futur de toute une localité ; je m’engage pour le futur de toute une population. Je m’engage pour ces Sénégalais de Libreville et de partout de la diaspora, qui pensent que Macky Sall peut faire quelque chose pour eux. Je m’engage pour ce jeune qui est à Nabadji, qui a son Bac, qui ne comprend pas comment il va venir et comment il va vivre à Dakar, parce que  son maire ne le soutient pas. Je m‘engage parce que ma commune est la commune la plus peuplée du département de Matam et n’a rien. Pourtant, c’est la commune du Président Macky Sall. Je m’engage parce qu’il y a de l’arrogance quelque part. Les gens qui faisaient de la politique jusque-là, ils étaient arrogants. Ils s’attendaient à ce qu’ils viennent avec des tee-shirts, des sacs de riz et qu’ils soient applaudis à tout bout de champ. Moi j’ai dit non à tout cela. Et depuis que je me suis engagé en politique, les gens ne m’ont pas vu dans ces activités. Je ne dis pas que faire des concerts ou des meetings n’est pas une chose appréciable. Non ! Je ne le dis pas, mais ça ne fait pas partie de mes convictions. Ma première activité a été une consultation gratuite, ma seconde rencontre a été une conférence religieuse, où j’ai convié tous les oulémas, au nombre de 45 à Nabadji Siwol. C’était pour expliquer aux gens comment être musulman et un homme politique ; comment être un homme politique et ne pas être menteur. Est-ce qu’être homme politique signifie être menteur, être opportuniste ? La religion ne le dicte pas comme ça. Nos prochaines activités vont tourner autour de l’assainissement, de la sensibilisation.  Moi je suis sûr qu’il y a une autre manière de faire de la politique, et j’y suis.
 
 
Les mouvements de soutien et les partis alliés se plaignent souvent du comportement à la limite hostile et repoussante des membres du parti présidentiel à leur égard. Est-ce votre cas ? Quels sont vos rapports avec Macky Sall, son parti et ses proches collaborateurs ?
 
 
 
La seule personne que je soutiens, aujourd’hui, s’appelle Macky Sall. C’est Macky Sall qui m’a valu mon engagement politique. Je ne compte sur personne, parce que j’ai vu en face de moi un parti qui n’a rien compris. J’ai vu en face de moi des hommes politiques qui n’ont rien compris ; des hommes politiques qui n’ont pas forcément la philosophie de leur patron. La philosophie de Macky Sall est contre celle de beaucoup d’acteurs qui sont dans l’Apr. En commençant par ma commune, mon maire. J’arrive avec mes activités politiques, avec mes ambitions, mais le bonhomme n’a même pas daigné m’accueillir. Ce n’est pas un problème pour moi. Mais, s’il avait compris la philosophie de Macky Sall,  qui veut rassembler, qui veut regrouper les forces, il allait faire autrement. Il y a aussi d’autres acteurs politiques qui ne vous ouvrent pas les portes. Or, on demande juste qu’on discute avec nous, qu’on nous réoriente… Moi par exemple, je viens d’entrer en politique ; forcément je n’ai pas encore toute l’expérience requise. Je n’ai pas toutes les clefs nécessaires. On a besoin d’être orienté, mais ça, on ne l’a pas avec les gens de l’Apr, du moins pour la grande majorité d’entre eux. Heureusement qu’il y en a quelques-uns, qu’on peut citer du bout des doigts, qui acceptent de vous recevoir, de discuter, d’échanger. Depuis que j’ai commencé à faire de la politique, les rares personnalités politiques que j’ai rencontrées sont Me Oumar Youm (Ministre-Directeur de Cabinet du Président), Aliou Sall (Maire de Guédiéwaye et Dg de la Caisse des dépôts et consignations), Yaya Abdoul Kane (ministre des Collectivités locales), Mimi Touré (ancienne Premier ministre, Envoyée spéciale du président de la République). Voilà des gens qui peut-être comprennent. Mais pour le reste, on ne te souhaite pas la bienvenue.  Et ça, le jour du lancement de mon mouvement, je l’avais dit. Le Président Sall doit, et je sais qu’il le fait, demander à ces gens d’être plus ouverts, d’éviter l’arrogance qui a tué auparavant d’autres partis au pouvoir.
 
 
Vous n’êtes pas du tout tendre avec vos amis de l’Apr…
 
Quand on fait de la politique, c’est dans l’ouverture, mais malheureusement, les gens que je croise à l’Apr ne le sont pas. Ils ne sont pas ouverts. Et des gens avec qui tu étais ami, hier, tu arrives dans la politique, ils ne sont plus tes amis, croyant que tu vas leur chiper quelque chose. Ça c’est un autre problème, un autre débat qu’on doit poser. Au Sénégal, ce que les gens retiennent, c’est que quand on entre en politique, c’est pour chercher un poste.  Automatiquement, quand ils te voient venir, sachant que tu as une base, et pas venu pour trouver une base à la Tfm, à SenTv ou dans un autre média, ils ne t’ouvrent pas les portes. Mais cela n’enlève en rien à notre engagement et notre détermination, parce qu’on a vu que le président de la République en personne. Lui, il a compris notre engagement et nous soutient. C’est ce qui nous motive.
 
 
Aujourd’hui, le maître mot dans la mouvance présidentielle, c’est la victoire au premier tour. Macky Sall en a-t-il les moyens ? Etes-vous dans cette dynamique ? Et comment cela pourrait être possible à votre avis ?
 
Un jour j’ai publié un texte sur mon compte Facebook en disant qu’heureusement, le rendez-vous de 2019 est un rendez-vous entre le président de la République et son peuple. Et puisque c’est un rendez-vous entre Macky Sall et son peuple, on peut être confiant. Mais si c’était entre le peuple et beaucoup de gens qui aujourd’hui entourent Macky Sall, ça devrait être une catastrophe. Comme c’est un rendez-vous entre Macky Sall et son peuple, moi je calcule très vite son passage au premier tour. Dans ce rendez-vous entre lui et son peuple, je pense à cette dame qui est à 30 km de Thilogne, dans un village appelé Sarré liw. Cette dame, il y a trois ou quatre ans, pour trouver de l’eau, devait faire presque 8 km de marche. Cette dame n’a pas connu un autre homme politique plus pertinent que Macky Sall. Je pense à ce cultivateur qui est à Dandé, qui ne vivait que de ce que le fonio lui apportait. Celui-là voit aujourd’hui sa vie changer, parce que, pour se soigner, il reste à Dandé, au moins pour les premiers soins. Il y a les bourses familiales, le soutien que lui apporte le ministère de l’Agriculture… Moi, ce sont ces Sénégalais-là que je rencontre. Et je comprends que ces Sénégalais sont forcément avec Macky Sall.
 A Dakar, pour moi aussi, le combat est gagné d’avance, parce que ce qui se passe aujourd’hui dans la banlieue est rassurant. C’était le point le plus difficile pour un pouvoir. Aujourd’hui, Macky Sall a su mettre la main sur Guédiawaye et sur Pikine. Pour moi, si on gagne la banlieue et qu’on gagne la quasi-totalité des régions de l’intérieur, on passe facilement au premier tour. Maintenant, il y a des choses qu’il faut régler. Ce qu’il faut régler, c’est parler à ces hommes politiques qui sont à la base. Qu’ils s’ouvrent d’avantage ; qu’ils discutent avec les populations, avant que la sanction ne passe par eux, qui ne sont souvent là que pour leurs propres intérêts. Si on continue sur cette lancée avec ces réalisations, cette nouvelle ville à Diamniadio, avec la gouvernance sobre…on va y arriver.
 
 
Mais aujourd’hui, on a en face du Président Sall une opposition très déterminée, voire radicale et des déclarations de candidature qui se multiplient…
 
 
Ma conviction est que pour 2019 et pour l’instant, on a un candidat et des aventuriers. Le seul candidat crédible pour l’instant, c’est Macky Sall. Les aventuriers, on peut les citer, mais je me garderai de le faire. Ils se reconnaitront. Il y a des aventuriers ; il y en a qui font du tourisme, avec des écarts de langage parfois, il y en a qui ne comprennent pas que le Sénégal ne peut pas se gagner à travers les réseaux sociaux et les médias.  Ils doivent d’abord se crédibiliser. Ces gens de l’opposition quand j’écoute certains d’entre eux, je suis choqué par les arguments au rabais qu’ils développent. D’ailleurs, rares sont ces opposants qui attaquent le Président Sall sur son bilan. Ils ont essayé avec l’eau, ça n’a pas prospéré. Je crois que la seule chose qu’il faut déplorer sur cette question de l’eau, c’est que l’Etat n’a pas suffisamment communiqué en amont. Je pense que le ministère de l’Hydraulique devrait organiser une campagne de communication pertinente avant les coupures et tous ces problèmes.
 
 
 
Entretien réalisé par Mbaye THIANDOUM
 
 
 
«C’est archifaux. La Rts n’a pas couvert mon événement. Pas une seule seconde de mon événement n’est passée sur les ondes ou les antennes de la Rts».
 
 
 
«Nous accompagnons Macky Sall, mais c’est pour le futur du Fouta, de Nabadji,... Donc Ha Yeeso  n’est pas un mouvement  qui va dire oui à tout bout de champ. Nous ne sommes pas là pour applaudir, porter des tee-shirts...»
 
«Heureusement, le rendez-vous de 2019 est un rendez-vous entre le président de la République et son peuple. Mais si c’était entre le peuple et beaucoup de gens qui aujourd’hui entourent Macky Sall, ça devrait être une catastrophe»
 
 
«Ma conviction est que pour 2019 et pour l’instant, on a un candidat et des aventuriers. Le seul candidat crédible pour l’instant, c’est Macky Sall»
 
                                                                                    


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