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ANNIVERSAIRE DE SA DISPARITION CE LUNDI 7 MAI : Jules François Bertrand Bocandé, une icône rangée aux oubliettes



ANNIVERSAIRE DE SA DISPARITION CE LUNDI 7 MAI  :  Jules François Bertrand Bocandé, une icône rangée aux oubliettes
Le lundi 7 mai marquera la 6e année de la disparition de Jules François Bertrand Bocandé, à l'âge de 53 ans. Sans nul doute, il va encore passer inaperçu, mais le souvenir de Bocandé reviendra ce lundi pour titiller l'esprit de ses nombreux admirateurs au Sénégal et dirigeants du football, qui ont rangé aux oubliettes l’un des plus grands sportifs de toute l’histoire du Sénégal. Cela fera six ans, le lundi 7 mai, jour pour jour, que l’ancien meilleur buteur du championnat français en 1986 avec Metz, Jules François Bocandé est décédé, dans cette même ville. Comme les années passées, la date d’anniversaire de sa disparition risque encore de passer inaperçue.

Seuls sa famille et ses proches se souviennent de lui à Ziguinchor

Depuis son décès, en 2012, la date du 7 mai est presque une journée comme une autre, pour celui que les supporteurs du Casa Sport appelaient affectueusement «Essamay» ou «Fanfan». Seule Ziguinchor, sa ville natale, pleure son fils chaque année. Sa famille, ses amis et le monde sportif à Ziguinchor lui rendent un hommage. Par contre, à Dakar et dans le reste du pays, c’est le néant. Aucune commémoration prévue pour celui qui avait tout donné à sa nation. Hormis le centre Toubab Dialaw et le stade de football Néma de Ziguinchor rebaptisé du nom de Jules François Bocandé c’est le néant.

Les responsables du football, notamment le ministère des Sports, la Fédération sénégalaise de football, semblent n’accorder aucune importance à cette légende du football sénégalais. Combien de fois a-t-il sacrifié sa personne et sa carrière de footballeur professionnel pour répondre à l’appel des couleurs nationales ? Suspendu à vie du football national, il n’a pas hésité à revêtir fièrement le maillot national après avoir été amnistié. Depuis lors, Bocandé n’a eu de cesse de démontrer hardiment un patriotisme débordant à maintes occasions.

N’a-t-il pas hésité à injurier délibérément un arbitre de football en France pour écoper d’un carton rouge, histoire de pouvoir se libérer et venir jouer en équipe nationale ? Bocandé n’a jamais boudé l’équipe nationale, même si l’occasion lui en a été offerte à plusieurs reprises, par des dirigeants qui se défaussaient toujours sur lui, en plus d’un public sportif trop exigeant. Il a toujours répondu présent pour la nation.

Même après sa retraite, l'ancien sélectionneur de la Tanière a continué d'inspirer les jeunes. El Hadji Ousseynou Diouf et Khalilou Fadiga ont d'ailleurs insisté sur l'importance de Jules pendant la belle épopée de 2002, qui a hissé le football sénégalais à des sommets jamais atteints, avec une finale de Coupe d'Afrique des nations et un quart de finale de Mondial.

Le mémorial Bocandé annoncé en 2013 mais rangé dans les tiroirs

Le mémorial de Jules François Bocandé, annoncé en grande pompe et reporté sur la demande de certains clubs de football français dans lesquels a évolué l’ancien meilleur buteur du championnat de première division française, sera encore remis au goût du jour, à l’occasion de ce sixième anniversaire par les sportifs de Ziguinchor. Un mémorial pour lequel de grands noms du football africain comme Didier Drogba, Samuel Eto’o, Yaya Touré, Roger Milla, Abédi Pelé, George Weah, El Hadji Ousseynou Diouf, Emmanuel Adebayor, avaient été annoncés et avaient tous donné leur accord pour rendre un hommage à «Zanzan», autre surnom de Jules Bocandé, mais toujours rien.

Annoncé pour la première fois le 1er juin 2013, avant d’être reporté, l’événement était placé sous le parrainage du chef de l’État Macky Sall. Des sportifs dans cette partie sud du pays ne veulent pourtant que perpétuer la mémoire de Jules François Bocandé. Il est donc inadmissible que la grande famille du football sénégalais oublie ce grand homme qui n’a ménagé aucun effort de son vivant pour l’essor de notre sport roi. Les autorités sportives du Sénégal doivent même immortaliser cette icône afin que nul ne l’oublie.




 

RAPPEL DE L’HOMMAGE DE MACKY SALL :
«Jules Bocandé est un des plus grands sportifs de toute l’histoire du Sénégal»



Macky Sall, présent à la cérémonie d’hommage, le 16 mai 2012, au stade Demba Diop, avait rendu à sa manière un hommage à Bocandé. «Nous voici ensemble, dans la pure tradition des souffrances partagées, des peines endurées et des espérances portées, pour honorer la mémoire d’un des plus grands sportifs de toute l’histoire du Sénégal», disait le président de la République. Le chef de l’Etat de rappeler :

«Bocandé a écrit de belles pages, mémorables et inoubliables, pour la dignité des Lions du Sénégal, pour les immenses foules d’amateurs du Casa Sport, de Tournai, de Seraing, de Metz, de Paris Saint-Germain, de Nice, de Lens». M. Sall, accompagné d’une forte délégation dont le chef du gouvernement, à l’époque, Abdoul Mbaye, l’ancien ministre des Sports, Malick Gakou, entre autres, a fait part de ses condoléances les plus attristées à la famille du défunt.

«Je sais que Jules n’est plus là, mais je sais aussi que vous ne serez jamais seuls, car Jules François Bertrand Bocandé a déjà touché, au regard de la levée solidaire et unanime du peuple sénégalais autour de lui, l’instant sublime de la postérité», a-t-il poursuivi.

   

ANNIVERSAIRE DE SA DISPARITION CE LUNDI 7 MAI  :  Jules François Bertrand Bocandé, une icône rangée aux oubliettes

MOUSSA NDIAYE, ATTAQUANT DES LIONS EN 2012 : 
"C'est dommage que ce soit seulement sa famille et ses proches qui s'en souviennent"



L’ancien attaquant des Lions du Sénégal, Moussa Ndiaye, trouve anormal que l’anniversaire de Jules François Bocandé passe inaperçu. «Il était mon ami, on s’appelait même ‘’copain’’ du temps où on partageait la Tanière, lui comme dirigeant et moi comme joueur. Tout le Sénégal en particulier le monde sportif, a l’obligation de commémorer Jules François Bocandé, parce qu’il s’est battu pour sa nation.

Je pense qu’il faut remettre ses images à la télé pour montrer ses exploits. Moi, personnellement, j’ai aimé le football grâce à lui et Roger Mendy. Bocandé était un homme intègre, simple, rigoureux et d’une gentillesse inestimable. Quand on a eu à le côtoyer, mes coéquipiers et moi, en sélection nationale, nous avions pu bénéficier de son expérience, de son talent et de sa bonté. Si on clame l’équipe nationale de 2002, c’est parce qu’il a eu à jouer un grand rôle pour nos exploits à la Can et à la Coupe du monde de 2002», se rappelle l’ancien Monégasque.

Ndiaye de poursuivre : «au Sénégal, on oublie vite les gens à leur mort, même quand ils nous ont donné beaucoup de satisfaction de leur vivant. C’est dommage que ce soit seulement sa famille, ses amis et proches qui s’en souviennent. Un hommage devait être organisé chaque année pour Bocandé, que ce soit par nous les anciens joueurs ou les dirigeants de notre football. Nous sommes tous autant fautifs de ne pas le faire. Je pense que nous devons nous organiser et faire quelque chose ensemble, se souvenir et prier pour Bocandé». 


ROGER MENDY ANCIEN INTERNATIONAL: 
«Nous avons le devoir de nous souvenir de Bocandé, on ne l’a pas fait, nous sommes tous fautifs» 

 
C’est avec beaucoup de peine que Roger Mendy a accepté de parler de son ancien partenaire Jules François Bocandé. «De grands messieurs du football partent, ils sont morts et on les oublie. C’est ce que je déplore. Nous sommes vraiment nuls», a indiqué l’ancien capitaine des Lions. Avant de préciser sa pensée : «Je ne parle pas des autres, mais de nous, moi y compris. Nous sommes tous nuls, parce qu’on ne prépare rien pour les autres. Ils étaient là avec nous et ils sont partis et on les a oubliés. Ce n’est pas normal. Ce n’est pas beau. Le football rapproche mais pas le contraire». Pour l’ancien défenseur des Lions, il est temps d’organiser des mémorials pour se souvenir de ces joueurs.

«Nous les anciens, d’abord, il faudrait qu’on commence à nous réorganiser et à penser non seulement à nous, mais à aider les jeunes. On parle souvent de passage du flambeau, il faut bien le faire. Nous avons des valeurs que le football nous a léguées, mais on n’arrive pas à les conserver, parce que dans ce pays, on oublie vite nos morts», souligne Mendy qui indique :

«nous avons le devoir de nous souvenir de lui et de tous les autres qui nous ont quittés en servant la nation. On n’a rien gagné jusqu’à présent, mais le plus important est qu’ils ont participé en essayant. Peut-être, un jour, nos arrière-petits-enfants gagneront la Can ou le Mondial. On oublie vite. Il restera toujours mon ami et mon frère. Il n’y avait pas de secret entre nous. Je n’arrive pas à parler de lui, car cela me rappelle son décès. C’était une personne extraordinaire qui ne mérite pas ça».

 


AMEDINE SY ADMINISTRATTEUR DU SITE SPORT 221 :
«Au Sénégal, les gens oublient très vite»


Le bouillant journaliste Amedine Sy, gérant du site Sport221, trouve regrettable qu’une légende comme Bocandé soit rangée au placard aussi vite, après sa disparition. «Au Sénégal, les gens oublient vite. Pour la postérité et par rapport à tout ce qu’il a fait, on devait se rappeler comme il se doit de sa disparition, en organisant des journées de prières et autres. Mais, au Sénégal, on ne fait que verser dans l’évènementiel.

Et c’est dommage», martèle le chargé de l’organisateur de l’Anps au bout du fil. Qui reconnaît tout de même : «le centre de Toubab Dialaw porte son nom, mais c’est très peu par rapport à la dimension de l’homme et par rapport à tout ce qu’il a apporté au pays sur le plan sportif. Il mérite qu’une infrastructure sportive d’envergure porte son nom, même si on n’en a pas beaucoup. Il faut aussi lui rendre un hommage chaque année», souligne Amedine Sy.

Le brillant journaliste sportif d’ajouter : «nous sommes dans une année de Coupe du monde, il fallait organiser des journées de réflexion et le donner en exemple à la jeunesse sénégalaise, car il fut un attaquant pas comme les autres. Je l’ai connu alors que j’étais très jeune et je me rappelle du match Sénégal-Zimbabwe lors duquel Bocandé avait réalisé un triplé.

Il faut rappeler que Bocandé avait pris un carton rouge en club pour venir avec la sélection nationale, car la libération des joueurs était compliquée à l’époque. Il est venu pour qualifier le Sénégal à la Can. Il a encadré ses jeunes frères en 2002. Il était simple, un grand sportif, humble et un exemple pour la jeunesse».

ABDOULAYE DIAW JOURNALISTE :
 «C’est au Casa Sports et à sa famille d’enclencher le mémorial»


«Jules François Bocandé va rester éternel pour sa prestance et ses exploits sportifs, autant sous les couleurs du Casa Sports que sous le maillot de l’équipe nationale du Sénégal. Je me souviens de ses exploits un à un, sa détermination était toujours au rendez-vous et sa qualité maitresse était son tempérament de gagneur. Pour tout ça, nous lui devons reconnaissance et quand il s’agit d’évoquer le souvenir de Bocandé, il y a toujours une dose de tristesse qui s’empare de nous. D’abord parce qu’il nous a quittés tôt, ensuite il méritait une bien meilleure place dans le paysage du football avant son départ».

Pour la commémoration de Jules Bocandé, Abdoulaye Diaw apporte des éclaircissements et situe les responsabilités. «Il a été question de son jubilé. Ses enfants voulaient le réaliser et même le Président Macky Sall a eu la volonté de les recevoir. Nous nous sommes réunis chez moi, avec notamment le beau-frère de Bocandé, mais on ne peut pas devancer la famille pour des événements comme celui-là.

Les amis du défunt attendent l’implication de la famille. Il faut aussi rappeler que Jules François Bocandé a appartenu à une structure, c’est pourquoi le Casa Sports doit enclencher ce programme. Souvent, quand un sportif manque d’assistance, les gens oublient de retourner à la case départ qui est le club ; et si le club ne fait rien personne ne peut faire quoi que ce soit pour ce membre. S’ils s’engagent à organiser un événement, tout le Sénégal va les accompagner à coup sûr, car il a des amis sur qui sa famille peut compter. La famille et le club doivent se réunir pour faire quelque chose et ça va se réaliser très vite».

ANNIVERSAIRE DE SA DISPARITION CE LUNDI 7 MAI  :  Jules François Bertrand Bocandé, une icône rangée aux oubliettes
MALICK GAKOU ANCIEN MINISTRE DES SPORTS:
«J’ai dépensé 6 millions Cfa pour la sépulture de Jules Bocandé»


«Parler de Bocandé Essamay n’est pas une chose aisée pour moi. C’était un ami, un frère et je me rappelle, lorsque j’étais nommé ministre des Sports, il m’a appelé pour me dire : ‘’grand, le monde sportif vient d’avoir son ministre et je vais rentrer travailler avec toi’’», a déclaré Malick Gakou. Malheureusement, deux jours plus tard, l’ancien buteur des Lions rendit l’âme.

«Il représentait beaucoup pour moi. On ne peut pas l’oublier, car il a écrit l’une des plus balles de l’histoire du football sénégalais. C’était un grand homme qui a beaucoup fait pour le Sénégal. C’est impossible de l’oublier», ajoute le président du Grand Parti et candidat déclaré à la Présidentielle de 2019.

Ancien entraîneur national, de 1993 à 1994, à la fin de sa carrière de joueur, Jules Bocandé avait été en retrait de la sélection jusqu’en 2001, avec l’avènement d’El Hadj Malick Souris à la présidence de la Fsf. Celui-ci l’a rappelé comme coordonnateur de la sélection de 2001 à 2004, avant de quitter la sélection à cause des différences d’approche avec l’ancien sélectionneur des Lions Guy Stéphan. Jules Bocandé a repris sa place en 2006, avec la nomination d’Henri Kasperczak, avant de disparaître avec l’élimination des Lions de la Can 2010.

«Le Sénégal et les dirigeants du football doivent se souvenir de lui»

Entre-temps, Lamine Ndiaye avait pris le relais de Kasperczak, à la suite de l’élimination du Sénégal dès le premier tour de la Can 2008. A la veille du 6e anniversaire de sa disparition, Malick Gakou souligne avoir décaissé 6 millions pour la sépulture de Bocandé. «En collaboration avec sa famille, j’ai mis 6 millions francs Cfa pour la sépulture. Il le mérite pour service rendu à la nation. Nous avions organisé des funérailles, le 16 mai, au stade Demba Diop, pour lui dire adieu devant plus de 30.000 personnes. Le Sénégal doit se souvenir de lui ainsi que les dirigeants du football. C’est un héros national et il mérite qu’on se souvienne de lui».

ANNIVERSAIRE DE SA DISPARITION CE LUNDI 7 MAI  :  Jules François Bertrand Bocandé, une icône rangée aux oubliettes
 
NICOLAS SONKO, JOURNALISTE WALF TV :
«Bocande ne doit pas être oublié, il a tout donné au Sénégal, sans rien attendre en retour»


Nicolas Sonko n’oubliera jamais Jules François Bocandé. «Même sur mon profil whatsApp, il y a sa photo et c’est par rapport à sa rage de vaincre. Bocandé a marqué toute une génération de footballeurs casamançais comme exemple, je peux citer Stéphane Badji, qui m’a raconté qu’il était dans l’équipe réserve du Casa Sport et c’est quand Bocandé l’a découvert qu’il l’a fait intégrer l’équipe première où il a même eu à bénéficier du brassard de capitaine. Pour dire que, comme pour ce jeune, Jules a participé à parfaire les carrières de beaucoup de jeunes footballeurs issus de la région du sud», déclare le journaliste de Walf Tv. A Ziguinchor, Kolda et Sédhiou, Jules François Bocandé était l’idole de tous les jeunes, à l’époque.

«C’était une légende du football, il s’est beaucoup sacrifié. On se rappelle qu’il a pris un carton rouge lors du match contre JA pour l’amour du Casa Sports, il a été suspendu à vie pour le football sénégalais et il est revenu ensuite pour qualifier son pays à la Can 86, après 16 ans d’absence. Il se débrouillait toujours pour venir en sélection nationale, en plus des maillots qu’il offrait à l’équipe nationale par amour pour sa patrie», souligne l’animateur de l’émission «Aire de jeu» sur Walf tv.

«Avec le public ‘’Allez Casa’’, il avait une relation exceptionnelle. La preuve, à chaque fois qu’il marquait un but, il dansait le ‘’Bougarabou’’ (danse casamançaise). Il dégageait l’énergie du Casamançais comme ces jeunes qui revenaient des champs et qui dansaient sur le chemin, c’est dire qu’il avait des forces positives. Bocandé ne doit pas être oublié, car il a servi son pays sans rien attendre en retour».

Reportage réalisé par Mansour SAMB et Marième NDIAYE 
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