On n’a pas fini de pleurer les cinq morts du crash de l’hélicoptère militaire, tous originaires de Brin, voila qu’un autre drame s’abat sur les populations de Kaguit, un village situé non loin de celui de Robert Sagna. En effet, le policier Maxime Sagna, en service au commissariat central de Ziguinchor, s’est donné la mort dans la nuit du samedi dans sa chambre. Selon les témoignages reçus, c’est au petit matin que ses frères ont découvert Maxime pendu à l’aide d’une table et d’un câble attaché au toit de sa chambre.
D’abord, au niveau du commissariat central de Ziguinchor où travaillait Maxime Sagna, c’est l’émoi et la consternation. D’après certains de ses collègues, «le défunt n’avait manifesté aucun signe particulier quand il s’apprêtait à aller en congé au village, comme il a l’habitude de le faire».
«Il a l’habitude de passer le week-end chez ses parents à Kaguit. Et chaque fois qu’il partait, il avertissait ses supérieurs, et ses collègues», souligne un de ses collègues qui a gardé l’anonymat, très attristé par ce drame. Et d’ajouter : «il était très jovial, et toujours prêt à rendre service à ses supérieurs et même à ses collègues du commissariat, avec qui il entretenait de très bonnes relations».
La mort de Maxime Sagna, âgé de trente-cinq ans, monogame et père de deux enfants, a plongé le village de Kaguit dans une grande consternation. Suite à la découverte de son corps sans vie, les populations n’en revenaient pas. «Il a surpris tout le monde. Car, il ne manifestait aucun signe qui montrait qu’il préparait un tel coup», indique un de ses amis d’enfance, sous le choc. Ses parents, très consternés et dépassés par ce qui leur est arrivé, peinent à trouver les mots pour s’exprimer. «On ne s’attendait pas de voir mourir notre neveu de telle manière. Chaque weekend, il vient rendre visite à ses parents. C’est un garçon très correct qui n’a jamais montré un signe de maladie, ou autre chose qui peut attirer notre attention sur son état de santé», explique un ses neveux.
Pour rappel, dés l’annonce de la mauvaise nouvelle, la brigade de gendarmerie et ses collègues du commissariat central se sont déployés sur les lieux pour les premiers constats. Avant que les sapeurs-pompiers transfèrent le corps sans vie du policer à la morgue de l’hôpital régional de Ziguinchor pour les besoins d’une autopsie. Mais, pour le moment, une enquête a été ouverte pour élucider les véritables circonstances de la mort de Maxime Sagna.
Ahmet COLY
D’abord, au niveau du commissariat central de Ziguinchor où travaillait Maxime Sagna, c’est l’émoi et la consternation. D’après certains de ses collègues, «le défunt n’avait manifesté aucun signe particulier quand il s’apprêtait à aller en congé au village, comme il a l’habitude de le faire».
«Il a l’habitude de passer le week-end chez ses parents à Kaguit. Et chaque fois qu’il partait, il avertissait ses supérieurs, et ses collègues», souligne un de ses collègues qui a gardé l’anonymat, très attristé par ce drame. Et d’ajouter : «il était très jovial, et toujours prêt à rendre service à ses supérieurs et même à ses collègues du commissariat, avec qui il entretenait de très bonnes relations».
La mort de Maxime Sagna, âgé de trente-cinq ans, monogame et père de deux enfants, a plongé le village de Kaguit dans une grande consternation. Suite à la découverte de son corps sans vie, les populations n’en revenaient pas. «Il a surpris tout le monde. Car, il ne manifestait aucun signe qui montrait qu’il préparait un tel coup», indique un de ses amis d’enfance, sous le choc. Ses parents, très consternés et dépassés par ce qui leur est arrivé, peinent à trouver les mots pour s’exprimer. «On ne s’attendait pas de voir mourir notre neveu de telle manière. Chaque weekend, il vient rendre visite à ses parents. C’est un garçon très correct qui n’a jamais montré un signe de maladie, ou autre chose qui peut attirer notre attention sur son état de santé», explique un ses neveux.
Pour rappel, dés l’annonce de la mauvaise nouvelle, la brigade de gendarmerie et ses collègues du commissariat central se sont déployés sur les lieux pour les premiers constats. Avant que les sapeurs-pompiers transfèrent le corps sans vie du policer à la morgue de l’hôpital régional de Ziguinchor pour les besoins d’une autopsie. Mais, pour le moment, une enquête a été ouverte pour élucider les véritables circonstances de la mort de Maxime Sagna.
Ahmet COLY