La 9e édition du Tournoi de lutte traditionnel des pays de la Cedeao a baissé ses rideaux ce samedi à l’Arène nationale samedi dernier avec la participation de dix nations. L’équipe sénégalaise sortie premièreavec une médaille d’or, et 4 aux combats individuels, a satisfait le président du Cng Bira Sène, accroché à la fin des joutes.
Les Échos : Quel bilan tirez-vous du Tournoi Cedeaoorganise à Dakar ?
Bira Sène : Je peux dire que c'est un bilan positif. On peut dire que c'est un bilan de satisfaction parce que le taux de participation est favorable avec tous les pays qui ont fait le déplacement. On a vu également le déplacement massif du public qui est venu crescendo. Les gens sont venus de plus en plus nombreux au fil des jours. Nous profitons de l'occasion pour remercier tous les membres du Cng, nos techniciens et les lutteurs qui n'ont ménagé aucun effort pour la réussite de l'événement. C'est cet engagement qui est le fruit de cette honorable participation de notre pays. Le ministre des Sports Matar Ba aussi nous a bien accompagnés et assistés. Sans oublier la Cedeao et toute la presse sénégalaise qui nous a permis de faire cette forte mobilisation. Cette collaboration nous va droit au cœur. Le Sénégal a été honoré en organisant ce tournoi de la fraternité, de la paix et de l'union. C'est très important parce que quand on construisait l'Arène nationale, c'est vrai qu'on ne pensait pas encore abriter ce tournoi. Mais aujourd'hui, tout le monde a apprécié et les autres pays veulent copier sur nous. C'est notre première édition en tant que nouvelle équipe et on est vraiment satisfait du déroulement. La prochaine fois, sans nul doute, on aura à faire beaucoup plus d'innovations.
Êtes-vous satisfaits des résultats du Sénégal en équipe et en individuel ?
L'enseignement qu'on peut tirer, c'est que tous les pays étaient venus pour remporter des médailles. Pour le Sénégal, nos Lions ont fait près d'un mois de regroupement. Les consignes qu'ils avaient, c'est qu'au départ, on s'était dit que c'est nous qui organisons et qu'il fallait rafler toutes les médailles d'or à 100%. En individuel,on a misé sur un 100% or et par équipe 100%or aussi. Le destin en a décidé autrement le jeune qui a perdu une médaille n'a pas démérité parce qu'il s'est battu jusqu’au bout. Ce n'est quand même pas grave. Parce qu'il en a tiré des enseignements et est revenu en force dans les combats par équipe. En face, ils avaient des adversaires de taille. Par exemple, le Niger qui est un grand pays de lutte. Leurs dirigeants ont bien accompagné leurs lutteurs. La preuve le Nigérien qui a terrassé notre 120kg a reçu une récompense d'un million cinq centsà la minute qui suit d'un de leurs dirigeants qui est resté au pays. Il n'ont quand même pas le potentiel de champions que nous avons chez nous au Sénégal. Les autres pays ne font pas comme nous qui organisons tous les week-ends. Mais ils sont restés des adversaires considérables. A chaque fois, la plupart du temps, c'est eux qu’on croise en finale. On avait à cœur de remporter toutes les médailles mises en jeu, mais ce n'est que partie remise. Ce serait très égoïste de minimiser les médailles que ces jeunes ont remportées. Nous les félicitons.
A combien chiffrez-vous l’organisation de la 9eédition du tournoi de la Cedeao ?
Le budget a été pris en charge par la Cedeao. Ils ont donné les récompenses par exemple pour le Sénégal qui a empoché en équipe 10.000dollars. Ils ont aussi payé le transport et l'hébergement des délégations. Nous avons pris en charge uniquement l'organisation au niveau local et quelques détails. On ne maîtrise pas encore le budget global du tournoi. On va y travailler pour avoir un budget global du tournoi de Dakar, la 9e édition.
Les Échos : Quel bilan tirez-vous du Tournoi Cedeaoorganise à Dakar ?
Bira Sène : Je peux dire que c'est un bilan positif. On peut dire que c'est un bilan de satisfaction parce que le taux de participation est favorable avec tous les pays qui ont fait le déplacement. On a vu également le déplacement massif du public qui est venu crescendo. Les gens sont venus de plus en plus nombreux au fil des jours. Nous profitons de l'occasion pour remercier tous les membres du Cng, nos techniciens et les lutteurs qui n'ont ménagé aucun effort pour la réussite de l'événement. C'est cet engagement qui est le fruit de cette honorable participation de notre pays. Le ministre des Sports Matar Ba aussi nous a bien accompagnés et assistés. Sans oublier la Cedeao et toute la presse sénégalaise qui nous a permis de faire cette forte mobilisation. Cette collaboration nous va droit au cœur. Le Sénégal a été honoré en organisant ce tournoi de la fraternité, de la paix et de l'union. C'est très important parce que quand on construisait l'Arène nationale, c'est vrai qu'on ne pensait pas encore abriter ce tournoi. Mais aujourd'hui, tout le monde a apprécié et les autres pays veulent copier sur nous. C'est notre première édition en tant que nouvelle équipe et on est vraiment satisfait du déroulement. La prochaine fois, sans nul doute, on aura à faire beaucoup plus d'innovations.
Êtes-vous satisfaits des résultats du Sénégal en équipe et en individuel ?
L'enseignement qu'on peut tirer, c'est que tous les pays étaient venus pour remporter des médailles. Pour le Sénégal, nos Lions ont fait près d'un mois de regroupement. Les consignes qu'ils avaient, c'est qu'au départ, on s'était dit que c'est nous qui organisons et qu'il fallait rafler toutes les médailles d'or à 100%. En individuel,on a misé sur un 100% or et par équipe 100%or aussi. Le destin en a décidé autrement le jeune qui a perdu une médaille n'a pas démérité parce qu'il s'est battu jusqu’au bout. Ce n'est quand même pas grave. Parce qu'il en a tiré des enseignements et est revenu en force dans les combats par équipe. En face, ils avaient des adversaires de taille. Par exemple, le Niger qui est un grand pays de lutte. Leurs dirigeants ont bien accompagné leurs lutteurs. La preuve le Nigérien qui a terrassé notre 120kg a reçu une récompense d'un million cinq centsà la minute qui suit d'un de leurs dirigeants qui est resté au pays. Il n'ont quand même pas le potentiel de champions que nous avons chez nous au Sénégal. Les autres pays ne font pas comme nous qui organisons tous les week-ends. Mais ils sont restés des adversaires considérables. A chaque fois, la plupart du temps, c'est eux qu’on croise en finale. On avait à cœur de remporter toutes les médailles mises en jeu, mais ce n'est que partie remise. Ce serait très égoïste de minimiser les médailles que ces jeunes ont remportées. Nous les félicitons.
A combien chiffrez-vous l’organisation de la 9eédition du tournoi de la Cedeao ?
Le budget a été pris en charge par la Cedeao. Ils ont donné les récompenses par exemple pour le Sénégal qui a empoché en équipe 10.000dollars. Ils ont aussi payé le transport et l'hébergement des délégations. Nous avons pris en charge uniquement l'organisation au niveau local et quelques détails. On ne maîtrise pas encore le budget global du tournoi. On va y travailler pour avoir un budget global du tournoi de Dakar, la 9e édition.