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SCANDALE SEXUEL A PIKINE ICOTAF: Un prédateur sexuel doigte et viole à plusieurs reprises les trois filles mineures de son cousin guinéen



SCANDALE SEXUEL A PIKINE ICOTAF: Un prédateur sexuel doigte et viole à plusieurs reprises les trois filles mineures de son cousin guinéen
 
Les populations de Pikine Icotaf (banlieue dakaroise) sont plongées dans l’émoi et la consternation, suite à l’éclatement d’une rocambolesque histoire de viols multiples commis sur trois filles mineures de moins de 13 ans, dont les deux sont de mêmes père et mère. Ces dernières ont été victimes d’abus sexuels répétés de la part du cousin de leur papa. Qui a été interpellé, puis déféré au parquet, hier, du palais de justice de Pikine/Guédiawaye.
 
Amadou B. a détruit à jamais la vie des trois filles mineures de son cousin nommées A.B. M.B. et B.B. Âgées respectivement de 10 ans, 7 ans et 6 ans, les gamines vivent leurs parents sous le même toit que leur «bourreau» sexuel à Pikine Icotaf. Celui-ci exerce le métier de maçon et développe des rapports d’affinité avec les petites dans la maison. Les enfants sont en classe de CE2 et de CI. La plus âgée vit chez l’ex épouse de leur père, qui se trouve être aussi son homonyme. Ainsi, pendant ses activités commerciales dans la sous-région, la jeune femme conduit la petite au domicile de ses parents, mais elle la ramène chez elle dès son retour de voyage d’affaires.  
Comment les agissements lubriques du monstre ont été mis à nu par l’instituteur de la fille
Mardi dernier, à la descente de son homonyme, la bonne dame  part la chercher à son établissement scolaire pour la conduire à la maison. Mais, à l’arrivée, elle est interpellée par l’instituteur de l’enfant sur les incessantes douleurs suivies de vomissements de celle-ci. Ceci, à chaque fois que la gamine se rend dans les toilettes. Aussi, l’enseignant déclare avoir pourtant tout le temps demandé à la fille de lui faire venir un des membres de sa famille, aux fins de l’alerter. La tante se tourne vers son homonyme et la presse de questions sur ses intempestifs malaises devant l’instituteur. L’adolescente éclate en sanglot, tergiverse et déclare que le cousin à son papa Amadou la forçait tout le temps à entretenir des relations sexuelles dans sa chambre. Cette nouvelle provoque une onde de choc chez l’enseignant et la tante.
Le modus operandi du violeur en série pour piéger les trois gamines dans sa chambre
De retour chez elle, la tante cuisine à nouveau son homonyme, qui ne varie pas dans sa déclaration et soutient avoir été transformée en objet sexuel durant un des voyages d’affaires de sa tante par le cousin de leur papa. Elle est aussitôt conduite au centre de santé Dominique, où la sage-femme confirme les abus sexuels répétés lors d’une séance d’échographie et parle de déchirure hyménale. La fille relate avec force détails ses mésaventures lubriques et indique que ses deux petites-sœurs M. B, 7 et B. B, 6 ans ont été également la cible du prédateur sexuel. Celles-ci ont confirmé les allégations de la demoiselle et affirment avoir été doigtées et violées à plusieurs reprises par le mis en cause. Qui profite de ses commissions à la boutique par les filles, les entraîne dans sa chambre et s’acharne sexuellement sur elles, à l’insu des membres de la famille.  
La grosse déception du père des victimes ; Amadou utilisait sa salive comme lubrifiant sur les parties intimes des enfants  
Le papa des victimes affirme n’avoir jamais eu de soupçons sur les agissements lubriques de son cousin à l’endroit de ses trois filles mineures. Il dit que le mis en cause reste cependant presque tout le temps dans la maison et ne travaille plus depuis très longtemps. Il indique que la mère des enfants se trouve dans la maison, mais elle est malade et souffre de terribles maux de tête, d’où la suspension de ses activités commerciales à l’angle de la rue du quartier. Les filles ont défilé devant les enquêteurs et ont relaté les agissements du cousin de leur père dans la maison. D’abord, la nommée A. B, 11 ans et homonyme de sa tante commerçante, plonge en premier et déclare «Je ne me souviens plus de la première fois qu’il a abusé de moi. Mais, il l’a fait à plusieurs reprises dans sa chambre. De retour de sa commission à la boutique, il m’attire à l’intérieur, me déshabille et me viole. J’avais ressenti de très fortes douleurs au sexe. Mais, je n’osais pas crier ni le dénoncer à mes parents à cause de ses menaces de mort contre moi. Il me faisait allonger sur son lit et lubrifiait mon sexe avec sa salive avant de me pénétrer. Je n’ai cependant jamais vu du sang perler de mon sexe. Même s’il a été le premier homme que j’ai connu dans ma vie. Mes deux petites-sœurs m’ont dit avoir été abusées par lui-même», dit la fille.
Le silence coupable et troublant de la mère des enfants, qui a été une fois alertée par une des filles  
M. B. a enfoncé le cousin de leur papa et soutient avoir été une fois blessée au sexe par ce dernier au cours d’un de ses incessants rapports sexuels avec lui. Elle déclare avoir pourtant une fois informé sa mère des pratiques du mis en cause contre elle. «Il m’avait envoyé à la boutique. A mon retour, il m’a déshabillée et violée. Je n’avais pas crié. Il m’a fait ça une fois». Cette dernière a été confortée dans sa déposition par sa frangine cadette, qui porte les mêmes griefs et dit que le mis en cause appliquait de la salive sur son sexe pour le lubrifier et la doigter avant d’abuser d’elle. Elle dit avoir été blessée au vagin, mais lorsqu’elle a voulu hurler de douleur, le violeur en série a menacé de la tuer. «Il m’a pénétrée, mais je n’ai pas vu du sang sortir de mes parties intimes quand il m’a fait ça pour la première unique fois», déclare-t-elle.
Le mis en cause nie les faits, mouille le papa des filles, le taxe de psychopathe et ravale ses accusations
Le prédateur sexuel a nié dans un premier temps les faits et accuse le papa des victimes d’être psychopathe connu dans le quartier pour ses penchants sexuels envers les femmes et ses propres enfants. Mais, pressé de questions, Amadou ravale ses accusations contre son cousin et avoue avoir entraîné dans sa chambre la plus âgée des filles A. B, 11 ans, avant de lui ôter les habits et abuser d’elle. «J’ai introduit mon doigt à l’entrée de son sexe. Je l’ai fait une seule fois. Cela remonte à 7 mois. J’ai tenté récemment de l’attirer dans ma chambre pour lui faire ça. Mais, elle a refusé et pris la fuite avant d’aller en parler à sa mère. Je n’ai cependant pas touché aux deux autres filles  mineures. Qui ont l’habitude de jouer avec leur sexe et de se doigter. Je leur disais tout le temps de cesser ça au risque de se faire mal un jour. J’ai accusé leur papa pour juste lui causer des problèmes», a déclaré le mis en cause.
Vieux Père NDIAYE
 

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