Exit Moustapha Niasse, Idrissa Seck et Aminata Mbengue Ndiaye. Mbaye Ndiaye aussi s’est retroussé les manches ; pour ne pas dire son grand boubou. Il était au siège de l’Apr pour prêter main forte à Mimi Touré et Cie, contre Ousmane Sonko et certains qui veulent plonger ce pays dans le chaos. Mbaye Ndiaye qui se dit affecté par tout ce qu’il entend être débité sur les institutions de la République et le chef de l’Etat, d’expérience d’ancien ministre de l’Intérieur qu’il a été, assure que l’Etat veillera à ce que les normes républicaines fonctionnent car sans loi, la République n’existe pas. «Nous sommes des hommes de paix. Le Sénégal tend à être divisé en deux camps : le camp de la paix, de la vérité et de la sécurité et le camp adverse. La mouvance présidentielle incarne cette dimension de l’unité de la paix et de la sécurité. La décision du Conseil constitutionnel n’est pas attaquable devant une autre juridiction. Ou on n’accepte cette disposition, ou on crée sa propre loi, sa propre justice pour contrer tout ce que les normes de la République ont arrêté pour que le peuple accepte de travailler sous ce registre. La justice a parlé, il faut l’accepter. Maintenant s’ils pensent qu’il faut créer une structure parallèle à la gestion des élections autre que le ministère de l’Intérieur, la Cena et les institutions juridictionnelles qu’ils nous disent comment il faut procéder. En tout cas, l’Etat veillera à ce que les normes républicaines fonctionnent. Soit, ils sont démocrates et acceptent les règles édictées par la législation ou ils disent comment vont-ils s’y prendre. Car sans loi, la République n’existe pas » conclut-il.












