Le président de la Fédération sénégalaise de football a évoqué pour la première fois la demi-finale qui mettra aux prises le Sénégal et la Tunisie, demain au Caire. Me Augustin Senghor, qui a magnifié les retrouvailles avec son ancien entraineur, Alain Giresse, affirme qu’il n’y a pas de particularité à affronter la Tunisie et que c’est le terrain qui va départager les deux équipes.
«Alain a été le coach du Sénégal. Il nous a laissé de bons souvenirs. Après, c’est le meilleur qui gagne. On est le Sénégal, on joue pour se qualifier en finale», a déclaré Me Augustin Senghor, qui pense que le Sénégal possède les moyens pour se hisser en finale. «La Tunisie a ses atouts, mais on va jouer notre meilleur football et le meilleur gagnera. J’espère simplement que le meilleur sera le Sénégal», a ajouté le président de la Fédération sénégalaise de football. Si cette rencontre sonne pour certains comme des retrouvailles avec Alain Giresse, après son passage mitigé à la tête de la Tanière et des Aigles de Carthage battus en 2017 au Gabon et qui seront revanchards, Me Augustin Senghor est convaincu que c’est un match comme les autres. Sur les propos du technicien français, qui a confié connaitre la mentalité des Sénégalais, le président de la Fsf le renvoie sur le rectangle vert. «C’est le terrain qui va nous départager. L’avant-match, ce n’est pas le match. On aura 90mn voire 120mn pour savoir qui va gagner. Nous respectons tous nos adversaires. Il n’y a pas de particularité à jouer la Tunisie. C’est une très bonne équipe, bien placée au ranking Fifa comme nous. Nous pensons aujourd’hui que nous sommes capables de battre n’importe quelle équipe», explique-t-il.
«Quand on pousse jusqu’à arriver en demi-finale, ce n’est pas pour s’arrêter là»
Très satisfait de retrouver le carré d’as après 13 ans d’absence, Me Senghor pense qu’il était important de franchir ce palier et dans leurs têtes, les joueurs, l’encadrement et les dirigeants, s’étaient dit que leur Can ne commencerait qu’à partir du moment où ils auront fait plus que celle précédente (les Lions avaient été éliminés en quart de finale) en se hissant demi-finale. «Je suis satisfait, mais on garde la tête sur les épaules, car le plus difficile est à venir. Quand on pousse jusqu’à arriver en demi-finale, ce n’est pas pour s’arrêter là», dit-il. Avant de mettre en garde les Aigles de Carthage : «nous jouerons les coups à fond pour arriver à battre la Tunisie et, pourquoi pas, battre le finaliste qui se dressera sur notre chemin vendredi prochain». Parlant du parcours des Lions, le patron de la Fsf est convaincu que les Lions ont grandi et ont une meilleure maitrise de la compétition. Certes, selon ses propos, «on ne gagne plus avec de grands écarts, mais, sur l’ensemble de nos matchs, on a senti une certaine maitrise de l’équipe du Sénégal, sauf le match face à l’Algérie».
«L’équipe est arrivée à un niveau de maitrise de la haute compétition qui doit pouvoir nous rassurer»
Pour Me Augustin Senghor, même si le Sénégal ne gagne pas avec beaucoup de panache, avec beaucoup d’écart, le coach a trouvé un équilibre entre les lignes et surtout une certaine solidité défensive qui peut permettre au Sénégal de dire que cette équipe est en train d’arriver à maturation. «Elle n’est pas encore mature, mais elle est sur la bonne voie. Elle ne le sera que si nous gagnons la Can», assure-t-il. Pour la rencontre de demain, il s’attend à un match compliqué. Mais il invite son équipe à garder les pieds sur terre. «Tout le monde a envie de jouer la grande finale, il faut qu’on continue à respecter notre adversaire, il faut qu’on continue à garder la tête sur les épaules. Qu’on soit humble tout en gardant notre détermination, notre solidarité qui ont été les aspects déterminants de ce Sénégal de 2019 par rapport aux Can passées», déclare Me Augustin Senghor, qui souligne en outre qu’il est rentré dans ce tournoi en étant très fort mentalement, parce que c’est ce que les Lions lui ont transmis. «Et c’est ce qui fait que quand je vais au stade les jours du match, je ne suis pas stressé. J’ai confiance en eux et je leur dis d’en faire de même. Notre force est qu’on a une équipe qui est arrivée à un niveau de maitrise de la haute compétition qui doit pouvoir nous rassurer».
«Pape Alioune Ndiaye, Koulibaly et Mané sont sous le coup d’une suspension en cas de carton jaune»
Pour conclure, Me Augustin Senghor affirme que Kalidou Koulibaly, Pape Alioune Ndiaye, avertis en huitième de finale et Sadio Mané sont bel et bien sous le coup d’une suspension en cas de carton face à la Tunisie. «Quand on a deux cartons, peu importe que ça soit successif ou non, on est obligé le match suivant d’observer une suspension. Donc aujourd’hui, Sadio, Pan ou Kalidou ne devraient pas avoir un deuxième carton, cela les exposerait naturellement à une suspension. Il faut croiser les doigts pour qu’ils ne prennent pas ce deuxième carton», assène-t-il.
«Alain a été le coach du Sénégal. Il nous a laissé de bons souvenirs. Après, c’est le meilleur qui gagne. On est le Sénégal, on joue pour se qualifier en finale», a déclaré Me Augustin Senghor, qui pense que le Sénégal possède les moyens pour se hisser en finale. «La Tunisie a ses atouts, mais on va jouer notre meilleur football et le meilleur gagnera. J’espère simplement que le meilleur sera le Sénégal», a ajouté le président de la Fédération sénégalaise de football. Si cette rencontre sonne pour certains comme des retrouvailles avec Alain Giresse, après son passage mitigé à la tête de la Tanière et des Aigles de Carthage battus en 2017 au Gabon et qui seront revanchards, Me Augustin Senghor est convaincu que c’est un match comme les autres. Sur les propos du technicien français, qui a confié connaitre la mentalité des Sénégalais, le président de la Fsf le renvoie sur le rectangle vert. «C’est le terrain qui va nous départager. L’avant-match, ce n’est pas le match. On aura 90mn voire 120mn pour savoir qui va gagner. Nous respectons tous nos adversaires. Il n’y a pas de particularité à jouer la Tunisie. C’est une très bonne équipe, bien placée au ranking Fifa comme nous. Nous pensons aujourd’hui que nous sommes capables de battre n’importe quelle équipe», explique-t-il.
«Quand on pousse jusqu’à arriver en demi-finale, ce n’est pas pour s’arrêter là»
Très satisfait de retrouver le carré d’as après 13 ans d’absence, Me Senghor pense qu’il était important de franchir ce palier et dans leurs têtes, les joueurs, l’encadrement et les dirigeants, s’étaient dit que leur Can ne commencerait qu’à partir du moment où ils auront fait plus que celle précédente (les Lions avaient été éliminés en quart de finale) en se hissant demi-finale. «Je suis satisfait, mais on garde la tête sur les épaules, car le plus difficile est à venir. Quand on pousse jusqu’à arriver en demi-finale, ce n’est pas pour s’arrêter là», dit-il. Avant de mettre en garde les Aigles de Carthage : «nous jouerons les coups à fond pour arriver à battre la Tunisie et, pourquoi pas, battre le finaliste qui se dressera sur notre chemin vendredi prochain». Parlant du parcours des Lions, le patron de la Fsf est convaincu que les Lions ont grandi et ont une meilleure maitrise de la compétition. Certes, selon ses propos, «on ne gagne plus avec de grands écarts, mais, sur l’ensemble de nos matchs, on a senti une certaine maitrise de l’équipe du Sénégal, sauf le match face à l’Algérie».
«L’équipe est arrivée à un niveau de maitrise de la haute compétition qui doit pouvoir nous rassurer»
Pour Me Augustin Senghor, même si le Sénégal ne gagne pas avec beaucoup de panache, avec beaucoup d’écart, le coach a trouvé un équilibre entre les lignes et surtout une certaine solidité défensive qui peut permettre au Sénégal de dire que cette équipe est en train d’arriver à maturation. «Elle n’est pas encore mature, mais elle est sur la bonne voie. Elle ne le sera que si nous gagnons la Can», assure-t-il. Pour la rencontre de demain, il s’attend à un match compliqué. Mais il invite son équipe à garder les pieds sur terre. «Tout le monde a envie de jouer la grande finale, il faut qu’on continue à respecter notre adversaire, il faut qu’on continue à garder la tête sur les épaules. Qu’on soit humble tout en gardant notre détermination, notre solidarité qui ont été les aspects déterminants de ce Sénégal de 2019 par rapport aux Can passées», déclare Me Augustin Senghor, qui souligne en outre qu’il est rentré dans ce tournoi en étant très fort mentalement, parce que c’est ce que les Lions lui ont transmis. «Et c’est ce qui fait que quand je vais au stade les jours du match, je ne suis pas stressé. J’ai confiance en eux et je leur dis d’en faire de même. Notre force est qu’on a une équipe qui est arrivée à un niveau de maitrise de la haute compétition qui doit pouvoir nous rassurer».
«Pape Alioune Ndiaye, Koulibaly et Mané sont sous le coup d’une suspension en cas de carton jaune»
Pour conclure, Me Augustin Senghor affirme que Kalidou Koulibaly, Pape Alioune Ndiaye, avertis en huitième de finale et Sadio Mané sont bel et bien sous le coup d’une suspension en cas de carton face à la Tunisie. «Quand on a deux cartons, peu importe que ça soit successif ou non, on est obligé le match suivant d’observer une suspension. Donc aujourd’hui, Sadio, Pan ou Kalidou ne devraient pas avoir un deuxième carton, cela les exposerait naturellement à une suspension. Il faut croiser les doigts pour qu’ils ne prennent pas ce deuxième carton», assène-t-il.
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