jotaay
jotaay

https://www.facebook.com/flyairsenegal
Le meilleur de l'info au sénégal

HOMME TROUVÉ MORT À L'AUBERGE «CHEZ KHADY» DE MALIKA : L’autopsie révèle une «mort naturelle à la suite d’une crise cardiaque…»



Le voile a été levé sur la mystérieuse découverte, samedi dernier, du corps sans vie de l’enseignant M. T. Sy à l’auberge «Chez Khady» sise à Malika dans la banlieue dakaroise. Après une expertise médico-légale, les conclusions de l’autopsie révèlent que le nommé Sy a été foudroyé par une «mort naturelle à la suite d’une crise cardiaque par infarctus du myocarde récent».

La sulfureuse affaire de la mort suspecte de l’enseignant M. T. Sy, dont le cadavre a été trouvé au sol, torse nu et avec une serviette nouée aux hanches dans une chambre à l’auberge «Chez Khady» de Malika, a été tirée, hier, au clair par le Docteur Ibou Thiam de l’hôpital Aristide Le Dantec. Qui a écarté dans ses conclusions médico-légales toute thèse de meurtre crapuleux ou de mort violente ou accidentelle sous quelque forme que ce soit. D’autant qu’aucune trace de blessure apparente n’a été signalée sur le corps sans vie au cours des constatations par la police.

Les deux amants passent ensemble la nuit du vendredi à l’auberge

C’est samedi dernier, vers 9h, que la police de Malika a été informée de la découverte de corps sans vie à l’auberge en question par la petite amie du défunt et la gérante du lieu de détente. Le couple a auparavant débarqué vendredi dernier à l’auberge, où ils ont passé ensemble la nuit. Ainsi, au lendemain, c’est-à-dire samedi, ils se réveillent, se prélassent un moment au lit et décident d’aller acheter de quoi manger dans les boutiques du coin, histoire de reprendre des forces.

La fille part seule acheter de quoi manger, Sy la prévient de ses bobos, pique un infarctus et meurt avant son retour

La copine se charge d’y aller. Elle laisse dans la pièce son prince charmant, qui se plaint de quelques bobos au niveau du corps et autres douleurs musculaires. Il en fait la remarque à sa dulcinée et décide de l’attendre dans la chambre. Ainsi, torse nu, Sy garde toujours sa serviette autour de la taille et reste allongé dans le lit. Mais, il pique entre-temps un brusque malaise, s’écroule brusquement au sol et meurt sans assistance.

La copine croit à un malaise, tente de le réanimer et court alerter la gérante

De retour de la boutique, la jeune femme entre dans la pièce, trouve son homme allongé au sol et l’appelle par son nom. Sans succès. Celui-ci avait encore la serviette nouée autour des reins, les yeux révulsés, et était couché sur le dos. Face à cette posture inquiétante de son petit-ami, elle s’approche tout de même davantage, se penche sur lui et le secoue pour tenter le réanimer. Elle essaie ensuite de le soulever pour le porter dans ses bras, mais le corps de l’enseignant devient lourd et ballant. Tous les membres et organes de son corps se lâchent. Elle redoute le pire, jette les provisions qu’elle détient à la main et hurle au secours de toutes ses forces. Elle déboule de la pièce, court vers la gérante de l’auberge et l’informe.

Elles informent la police, qui constate le décès et active les sapeurs-pompiers

La gérante s’engouffre avec la compagne dans la chambre et tente de réanimer l’enseignant inerte. Sans succès. Elles paniquent et alertent par téléphone les limiers du commissariat de police de l’arrondissement de Malika. Qui se rendent illico-presto à l’auberge, constatent le décès du jeune homme et l’identifient sous le nom de M. T. Sy grâce à sa carte d’identité nationale trouvée par-devers lui. Ils alertent les sapeurs-pompiers, le médecin-chef du district sanitaire de Keur Massar et le service d’hygiène de la localité. Qui entrent en action et désinfectent les lieux par souci d’annihiler éventuellement tout germe de contamination lié au Covid-19. Les soldats du feu de Guédiawaye prennent ensuite le relais, embarquent le corps sans vie et l’acheminent à la morgue de l’hôpital Aristide Le Dantec pour une autopsie.

L’amante gardée à vue pour nécessité d’enquête et libérée, hier, après les conclusions de l’autopsie

La compagne du défunt est alors mise aux arrêts et placée en garde à vue au commissariat de police pour nécessité d’enquête préliminaire. Mais, après autopsie sur le corps sans vie de son amant, elle a été remise en liberté, hier, par les limiers de la commune qui n’ont rien à lui reprocher. Ceci, à la faveur des conclusions de l’expertise médico-légale, qui révèlent «une mort naturelle à la suite d’une crise cardiaque par infarctus du myocarde récent». Un certificat aux fins d’inhumation a été délivré aux parents du défunt. Qui est né le 18 août 1977 à Yeumbeul. Il est domicile à Yeumbeul Hamdallaye 3 et exerçait le métier d’enseignant.

Vieux Père NDIAYE
LES ECHOS

ACTUALITE | POLITIQUE | SPORTS | SOCIETE | SERIE | RELIGION | REVUE DE PRESSE | ECONOMIE | CHRONIQUE | CULTURE | BOOMRANG | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV-DIRECT | SANTE | World Cub Russie 2018 | SERIE TV SENEGAL | LES ECHOS | pub | Radios d’Ici et d’Ailleurs | Santé | Contribution


Révolution

Mamelles

Remake

Tong-tong

Communiquer

Ubiquité

Tout baigne

La chèvre et le chou

Cafards

Les trois « J »



LIVE RADIO




SANTE

TABAGISME : LES FUMEURS QUI ARRÊTENT LA CIGARETTE AVANT 40 ANS PEUVENT ESPÉRER VIVRE AUSSI LONGTEMPS QUE LES NON-FUMEURS

LUTTE CONTRE LE CANCER DU COL DE L’UTÉRUS À ZIGUINCHOR : 8 thermoablations et 802 coloscopies pratiquées avec 6 cas de suspension de cancers…

RÉUSSITE DEUX TRANSPLANTATIONS RÉNALES : UNE PREMIÈRE AU SÉNÉGAL : Macky Sall, satisfait, félicite le professeur et annonce le projet de transplantation oculaire

Envie de suicide avec les crises d'hémorroïdes : symptômes, causes, traitements et prévention

RAPPORT « THE PATH THAT ENDS AIDS»: Onusida montre la possibilité de mettre fin au sida d’ici 2030