Une violente scène de ménage entre deux conjoints (dont nous tairons les noms) a viré à une horrible tentative de suicide dans la commune de Wakhinane-Nimzatt du département de Guédiawaye. L’épouse a eu une prise de bec avec son mari et a sauté du balcon de leur appartement, sis au 2ème étage, pour tenter de se donner la mort. Elle s’en est sortie avec une fracture au niveau de la cheville.
Une jeune femme mariée a tenté de mettre fin à ses jours, en se jetant dans le vide, du haut du balcon au 2ème étage de l’appartement conjugal à Wakhinane-Nimzatt. Le drame est survenu au début de la semaine passée, entre 11h et 12h. Une vive dispute a éclaté durant cette matinée-là, entre les deux conjoints, qui étaient seuls dans leur maison. Ils se hurlaient dessus et échangeaient sans cesse de propos violents.
La dame s’assoit sur une murette du balcon et dit à son mari : «ce sera la dernière fois que tu me voies»
Mais, d’après des témoins, tout est parti de la dame qui, à peine son mari est entré dans la chambre, a commencé à l’acculer de questions embarrassantes et d’insinuations mal placées. Se sentant meurtri, le bonhomme interpelle son épouse et tente de la recadrer. Mais celle-ci refuse de se calmer, fait toute une scène de ménage et continue de pester. Elle se lève subitement de son lit, se dirige vers la murette du balcon de leur appartement et lance ceci à l’endroit de son mari : «ce sera la dernière fois que tu me voies !» Mais, avant l’intervention de l’époux, elle tergiverse sur ladite murette, se prépare et saute du 2ème étage.
Elle se fracture la cheville, disculpe son époux et lui présente des excuses
Après sa chute, renseignent nos sources, l’épouse suicidaire atterrit avec force sur une rue goudronnée et se retrouve avec une fracture de la cheville. Mais, au cours de son évacuation par les sapeurs-pompiers, elle s’est mise à pleurer à chaudes larmes sur son sort, a disculpé son mari par rapport à sa mésaventure et s’est confiée sur la civière aux soldats du feu. «Mon mari n’a rien à voir dans cette affaire. Il ne m’a ni poussée ni projetée du haut du balcon de l’appartement. C’est moi-même qui ai décidé de me jeter dans le vide pour tenter d’abréger ma vie». Ce sont les premiers mots de la dame, prononcés dans l’ambulance devant les sapeurs-pompiers. Une manière implicite de prévenir d’éventuelles poursuites judiciaires de ses proches parents contre son mari, au cas où elle décéderait des suites de ses blessures corporelles.
Des proches expliquent le geste de la dame par l’influence d’une force maléfique invisible
En attendant de sortir de l’hôpital pour faire sa déposition à la police, des voisins du couple indiquent que des membres de la famille de la dame se perdent en conjectures sur la tentative de suicide de celle-ci et expliquent son geste désespéré par l’influence négative d’une force maléfique invisible contre sa personne. D’autres embouchent la même trompette de justifications et avancent comme autre excuse l’accès de colère noire, de susceptibilité et du caractère impulsif de la jeune femme.
La famille veut poursuivre le mari ; la vie de la femme, internée toujours à l’hôpital Principal, est hors de danger
Malgré les confidences de la suicidaire dans l’ambulance, pour disculper son mari, rapportent nos sources, ses proches n’y accordent pas du crédit, soupçonnent leur gendre de tentative de meurtre et veulent déposer une plainte contre lui. L’époux suspect devrait d’ailleurs être auditionné sur procès-verbal (Pv) dans les prochains jours, pour donner sa version des faits. Il sera suivi de son épouse, internée toujours à l’hôpital Principal de Dakar. Sa vie est hors de danger.
Le dossier évoqué aujourd’hui lors de la réunion du conseil de sécurité à la Préfecture de Guédiawaye
On souffle que l’affaire de la tentative de suicide sera inscrite à l’ordre du jour de la réunion du conseil de sécurité des autorités administratives préfectorales et policières locales, prévue ce matin, dans les locaux de la Préfecture de Guédiawaye.
Vieux Père NDIAYE
Une jeune femme mariée a tenté de mettre fin à ses jours, en se jetant dans le vide, du haut du balcon au 2ème étage de l’appartement conjugal à Wakhinane-Nimzatt. Le drame est survenu au début de la semaine passée, entre 11h et 12h. Une vive dispute a éclaté durant cette matinée-là, entre les deux conjoints, qui étaient seuls dans leur maison. Ils se hurlaient dessus et échangeaient sans cesse de propos violents.
La dame s’assoit sur une murette du balcon et dit à son mari : «ce sera la dernière fois que tu me voies»
Mais, d’après des témoins, tout est parti de la dame qui, à peine son mari est entré dans la chambre, a commencé à l’acculer de questions embarrassantes et d’insinuations mal placées. Se sentant meurtri, le bonhomme interpelle son épouse et tente de la recadrer. Mais celle-ci refuse de se calmer, fait toute une scène de ménage et continue de pester. Elle se lève subitement de son lit, se dirige vers la murette du balcon de leur appartement et lance ceci à l’endroit de son mari : «ce sera la dernière fois que tu me voies !» Mais, avant l’intervention de l’époux, elle tergiverse sur ladite murette, se prépare et saute du 2ème étage.
Elle se fracture la cheville, disculpe son époux et lui présente des excuses
Après sa chute, renseignent nos sources, l’épouse suicidaire atterrit avec force sur une rue goudronnée et se retrouve avec une fracture de la cheville. Mais, au cours de son évacuation par les sapeurs-pompiers, elle s’est mise à pleurer à chaudes larmes sur son sort, a disculpé son mari par rapport à sa mésaventure et s’est confiée sur la civière aux soldats du feu. «Mon mari n’a rien à voir dans cette affaire. Il ne m’a ni poussée ni projetée du haut du balcon de l’appartement. C’est moi-même qui ai décidé de me jeter dans le vide pour tenter d’abréger ma vie». Ce sont les premiers mots de la dame, prononcés dans l’ambulance devant les sapeurs-pompiers. Une manière implicite de prévenir d’éventuelles poursuites judiciaires de ses proches parents contre son mari, au cas où elle décéderait des suites de ses blessures corporelles.
Des proches expliquent le geste de la dame par l’influence d’une force maléfique invisible
En attendant de sortir de l’hôpital pour faire sa déposition à la police, des voisins du couple indiquent que des membres de la famille de la dame se perdent en conjectures sur la tentative de suicide de celle-ci et expliquent son geste désespéré par l’influence négative d’une force maléfique invisible contre sa personne. D’autres embouchent la même trompette de justifications et avancent comme autre excuse l’accès de colère noire, de susceptibilité et du caractère impulsif de la jeune femme.
La famille veut poursuivre le mari ; la vie de la femme, internée toujours à l’hôpital Principal, est hors de danger
Malgré les confidences de la suicidaire dans l’ambulance, pour disculper son mari, rapportent nos sources, ses proches n’y accordent pas du crédit, soupçonnent leur gendre de tentative de meurtre et veulent déposer une plainte contre lui. L’époux suspect devrait d’ailleurs être auditionné sur procès-verbal (Pv) dans les prochains jours, pour donner sa version des faits. Il sera suivi de son épouse, internée toujours à l’hôpital Principal de Dakar. Sa vie est hors de danger.
Le dossier évoqué aujourd’hui lors de la réunion du conseil de sécurité à la Préfecture de Guédiawaye
On souffle que l’affaire de la tentative de suicide sera inscrite à l’ordre du jour de la réunion du conseil de sécurité des autorités administratives préfectorales et policières locales, prévue ce matin, dans les locaux de la Préfecture de Guédiawaye.
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