jotaay
jotaay

https://www.facebook.com/flyairsenegal
Le meilleur de l'info au sénégal

Inauguration de l’arène nationale: les lutteurs reagissent



MOHAMED NDAO TYSON
«Il faut réfléchir par rapport au contenu qu’on doit donner à ce bijou»
 
Presque invisible depuis son retrait de l’arène, Mohamed Ndao Tyson était présent ce dimanche à la cérémonie de remise de clés de l’arène nationale. «Je suis entre Djily Mbaye, Kaolack et Pikine à cause de mes activités», lance-t-il avec le sourire. «C’est vrai que je me fais rare, mais j’ai toujours été constant avec moi. Je suis dans mon coin tranquille. Et voilà», ajoute l’ancien roi des arènes, qui a magnifié la création de ce complexe sportif. «Il faut remercier le Président par rapport à cette vision. La vie n’est que vision. Bul Falé n’est pas une écurie, mais une philosophie. C’était pour montrer aux jeunes qu’on peut partir de rien pour aller au sommet. Tyson est un pur produit sénégalais. Ils m’ont vu et m’ont accompagné. Nous sommes partis avec des combats de 50.000 pour aller à des combats de 100 millions francs Cfa. Il fallait une vision, la communication, le marketing, l’image en fait. Et nous avons travaillé pour que la lutte soit à ce niveau», explique le natif de Kaolack, qui invite la nouvelle génération à travailler davantage pour hisser encore au sommet cette discipline. «Aujourd’hui, notre rêve s’est réalisé à travers ce bijou. Il faut réfléchir par rapport au contenu qu’on doit donner à ce bijou. On a fait ce que nous devions faire, la vie continue, il faut que la nouvelle génération fasse de même pour hisser ce sport encore au sommet», dit-il.
 
ALIOUNE SARR, PRESIDENT CNG
«Faisons en sorte que ce bijou soit bien entretenu»
 
«Faisons en sorte que ce joyau, qui n’existe qu’au Sénégal, soit bien entretenu le plus longtemps possible. Nous sommes fiers et honorés par la réalisation de l’arène nationale qu’il a présentée comme un joyau. Tout a été prévu pour les combats de lutte. Tout est ok, on peut dire. La balle est maintenant dans notre camp pour la sauvegarde de cet édifice sportif. Il faut veiller sur l’arène nationale».
 
MODOU LO
«L’arène est venue à son heure»
Parmi les ténors présents hier dimanche lors de la cérémonie de remise du drapeau, Modou Lô, accompagné de Papa Sow et Yekini Jr, estime que ce stade permettra aux lutteurs d’avoir leur propre infrastructure. Le Roc des Parcelles Assainies trouve aussi qu’il n’existe aucun danger à habiter aux Parcelles Assainies et Guédiawaye pour venir lutter à Pikine. «C’est une satisfaction d’avoir cette arène nationale. La lutte en avait besoin et je pense qu’il est venu à son heure», a déclaré Modou Lô.
 
LAC DE GUIERS 2
«Un cadeau pour les sportifs»
Lac de Guiers 2 a d’abord remercié l’Etat du Sénégal pour la construction de cet édifice sportif. «Je suis très heureux et fier à la fois de voir que ce stade est devenu une réalité. C’est un cadeau pour tous les sportifs sénégalais. Il appartient donc à tout le monde de le préserver pour le bien du sport national», explique le lutteur walo-walo.


ACTUALITE | POLITIQUE | SPORTS | SOCIETE | SERIE | RELIGION | REVUE DE PRESSE | ECONOMIE | CHRONIQUE | CULTURE | BOOMRANG | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV-DIRECT | SANTE | World Cub Russie 2018 | SERIE TV SENEGAL | LES ECHOS | pub | Radios d’Ici et d’Ailleurs | Santé | Contribution


Révolution

Mamelles

Remake

Tong-tong

Communiquer

Ubiquité

Tout baigne

La chèvre et le chou

Cafards

Les trois « J »



LIVE RADIO




SANTE

TABAGISME : LES FUMEURS QUI ARRÊTENT LA CIGARETTE AVANT 40 ANS PEUVENT ESPÉRER VIVRE AUSSI LONGTEMPS QUE LES NON-FUMEURS

LUTTE CONTRE LE CANCER DU COL DE L’UTÉRUS À ZIGUINCHOR : 8 thermoablations et 802 coloscopies pratiquées avec 6 cas de suspension de cancers…

RÉUSSITE DEUX TRANSPLANTATIONS RÉNALES : UNE PREMIÈRE AU SÉNÉGAL : Macky Sall, satisfait, félicite le professeur et annonce le projet de transplantation oculaire

Envie de suicide avec les crises d'hémorroïdes : symptômes, causes, traitements et prévention

RAPPORT « THE PATH THAT ENDS AIDS»: Onusida montre la possibilité de mettre fin au sida d’ici 2030