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CHEIKH SECK, SECRETAIRE GENERAL DU SYNDICAT DEMOCRATIQUE DES TRAVAILLEURS DE LA SANTE ET DU SECTEUR SOCIAL (SDT3S) «Le système de pointage peut être très complexe pour le secteur de la santé, en raison des horaires différents et surtout des urgences»



CHEIKH SECK, SECRETAIRE GENERAL DU SYNDICAT DEMOCRATIQUE DES TRAVAILLEURS DE LA SANTE ET DU SECTEUR SOCIAL (SDT3S) «Le système de pointage peut être très complexe pour le secteur de la santé, en raison des horaires différents et surtout des urgences»

 
Ppour Cheikh Seck, il n’y a rien de nouveau sous le soleil, l’administration a déjà mis en place toutes les dispositions pour régler le cas des retards et des absentéismes. «La lettre du président de la République n’est qu’un rappel. Les textes qui régissent l’administration sont clairs et nets. Maintenant, on peut noter un écart dans la conduite de certains, mais j’estime que chaque fonctionnaire doit être assez responsable pour s’acquitter correctement de sa tâche», affirme-t-il.
Le secrétaire général du Syndicat démocratique des travailleurs de la santé et du secteur social (SDT3S) croit surtout que pour le secteur de la santé, il revient à chaque chef de service de réguler son équipe. «Le système de pointage qu’on agite peut se révéler très complexe pour les hôpitaux. Bien vrai que les horaires de travail dans l’administration sont bien définis, 8 heures/17 heures ; mais pour la santé, avec tous les aléas liés aux horaires, mais aussi et surtout aux urgences, l’application de cette formule serait quasi impossible», explique-t-il avant de poursuivre : «ce n’est pas parce que l’on reste tout une journée à l’hôpital que l’on travaille. Supposons qu’un médecin soit de garde la journée et qu’au moment de la descente, une urgence se présente dans son service, est-ce qu’il va démarrer son véhicule et rentrer parce que c’est officiellement son heure de descente ? Non, nous ne sommes pas tenus par les mêmes obligations que tous les fonctionnaires», dit-il.
 
«Rien n’interdit à un medecin qui termine son service dans un hôpital d’aller exercer dans une clinique»
 
A la question de savoir si ce n’est pas plutôt l’engagement de certains d’entre eux auprès des cliniques privées qui pose réellement problème, Cheikh Seck, qui précise d’emblée qu’il n’en fait pas partie, souligne : «pour tout contractuel, l’important est de remplir correctement ses tâches. Alors, si un médecin termine son service dans un hôpital, il est libre de faire ce qu’il veut de son temps libre ; donc s’engager avec une clinique privée à ses heures libres ne doit poser aucun problème. Ce système existe partout dans le monde, il faut juste remplir ses charges avant».
 
Nd. Kh. D. F
 
 
 
LES ECHOS


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