Vraiment le président de la République doit se saisir de cette affaire. Il doit instruire son Premier ministre et son ministre de l’Enseignement supérieur d’intervenir auprès de la Direction de l’Office du Baccalauréat afin de pardonner à ces jeunes élèves et leur permettre de faire la session d’octobre. Ça ne sert à rien de leur créer des problèmes inutiles ou de les suspendre pour ce qui n’est pas, en réalité, une faute.
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