Le président de la République a proposé des réformes dans la justice. Diomaye Faye souhaite ainsi une modernisation du système qui doit désormais se conformer au digital. La Cour suprême commence à s’adapter. La haute juridiction s’inscrit désormais dans la « digitalisation du traitement des pourvois ». Fini maintenant les paperasses ; tout peut se faire sur le net. Ainsi, la haute juridiction veut « s’accompagner avec la stratégie de transformation digitale » et ainsi s’aligner avec les nouveaux modes de travail. La Cour estime que le digital permet de « gagner du temps », « d’augmenter la qualité et la sécurité », les parties peuvent être informés « en temps réel » et cela permet également « d’augmenter l’efficacité, la productivité, la qualité et la flexibilité des processus ». Heureusement, il y a des greffiers et des agents très calés sur l’outil informatique, sinon on en connait des magistrats et des avocats, mais vraiment archi nuls sur tout ce qui est ordinateurs.












