Dans le document, à la Page 19, il est écrit textuellement ceci : « Poursuivant sur la dette publique, le ministre a informé qu’elle était estimée à plus de 15.500 milliards de F Cfa, mais à la suite de l’audit sur la situation des finances publiques effectué par l’Inspection générale des Finances, l’encours serait à plus de 17.700 milliards de F Cfa. En effet, cet audit a révélé l’existence de tirages sur ressources extérieures non comptabilisés dans les statistiques nationales des finances publiques. Les auditeurs ont en outre décelé une dette bancaire locale assez substantielle pilotée parallèlement aux appareils requis en matière de comptabilisation budgétaire. Il a aussi indiqué que nonobstant la finalisation en cours de cet audit par la Cour des comptes en application du Code de Transparence dans la gestion des finances publiques, un expert indépendant a été commis pour procéder à un nouvel audit de la dette ». Vous avez bien lu la dernière phrase : « un nouvel audit de la dette publique ». Maintenant, s’il y a contrevérités, c’est Cheikh Diba qui a dit des contrevérités. Ce, d’autant qu’il n’a fait aucune observation après lecture du texte aux députés.
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