«Le sens de la décision du Conseil constitutionnel. Le Conseil constitutionnel a annulé et rend illégal tout prolongement du mandat de Macky d’un jour. Il a constaté l’impossibilité de tenir l’élection présidentielle le 25 février. Certes il n’a pas accédé à notre demande de fixer lui-même la nouvelle date du scrutin, il a préféré laisser cette compétence à l’Etat qui doit préparer son administration à la nouvelle donne. Ce qui veut dire que Macky doit organiser l’élection présidentielle avant la fin de son mandat le 2 avril 2024 qui reste la date de passation entre son successeur et lui », indique Amadou Ba.










