Dans un de nos numéros, nous écrivions, en rendant des termes d’un communiqué de l’assemblée (universitaire), que le Recteur avait été autorisé à faire solliciter la force publique aux fins de ramener la paix et de mettre fin à la grève des étudiants qui commence à trop durer. Eh bien, cela a été fait. Les forces de l’ordre sont entrées hier. Et vous savez quoi, nombreux sont les étudiants qui ont été violentés, dit-on, par les policiers, des gaz lacrymogènes ont été jetés au sein de l’université. Des étudiants ont aussi été cueillis jusque dans leurs logements. Les étudiants dénoncent cette «violence» et fustigent le mépris des autorités. En sus de renforcer la police locale d’hommes et de moyens, ils ont laissé ces derniers les mâter. Aux dernières nouvelles, certains d’entre eux avaient commencé à quitter le campus.
Université Alioune Diop de Bambey
Dans un de nos numéros, nous écrivions, en rendant des termes d’un communiqué de l’assemblée (universitaire), que le Recteur avait été autorisé à faire solliciter la force publique aux fins de ramener la paix et de mettre fin à la grève des étudiants qui commence à trop durer. Eh bien, cela a été fait. Les forces de l’ordre sont entrées hier. Et vous savez quoi, nombreux sont les étudiants qui ont été violentés, dit-on, par les policiers, des gaz lacrymogènes ont été jetés au sein de l’université. Des étudiants ont aussi été cueillis jusque dans leurs logements. Les étudiants dénoncent cette «violence» et fustigent le mépris des autorités. En sus de renforcer la police locale d’hommes et de moyens, ils ont laissé ces derniers les mâter. Aux dernières nouvelles, certains d’entre eux avaient commencé à quitter le campus.
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