Thierno Alassane Sall rappelle qu’il avait prédit cette confrontation latente au sommet de l’État. « Quand le Premier ministre avait reconnu qu’il y avait une crise d’autorité au Sénégal, j’avais dit que nous étions déjà en guerre froide. Ce que nous vivons aujourd’hui n’en est que la conséquence directe. Et après cette dualité, une nouvelle guerre froide s’installera». Pour lui, ce face-à-face politique détourne les deux hommes des urgences nationales. «Au lieu de s’atteler aux difficultés des Sénégalais, ils se livrent à une rivalité toxique qui plonge le pays dans l’incertitude. Le Sénégal ne peut se permettre cette lutte d’ego au moment où sa note financière continue de se dégrader. Il faut arrêter immédiatement cette confrontation et travailler pour le peuple», conclut-il.
Thierno Alassane Sall et la guerre froide
Thierno Alassane Sall rappelle qu’il avait prédit cette confrontation latente au sommet de l’État. « Quand le Premier ministre avait reconnu qu’il y avait une crise d’autorité au Sénégal, j’avais dit que nous étions déjà en guerre froide. Ce que nous vivons aujourd’hui n’en est que la conséquence directe. Et après cette dualité, une nouvelle guerre froide s’installera». Pour lui, ce face-à-face politique détourne les deux hommes des urgences nationales. «Au lieu de s’atteler aux difficultés des Sénégalais, ils se livrent à une rivalité toxique qui plonge le pays dans l’incertitude. Le Sénégal ne peut se permettre cette lutte d’ego au moment où sa note financière continue de se dégrader. Il faut arrêter immédiatement cette confrontation et travailler pour le peuple», conclut-il.
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