Les travailleurs de la justice (Sytjust) ont décidé de décréter un mot d’ordre de grève de trois jours, à compter d’aujourd’hui. Entre autres raisons de ce radicalisme en ce début d’année 2024, le bureau exécutif national du Sytjust explique : « Monsieur Gallo Ba, ministre de la Fonction publique essaye visiblement de prendre le dessus sur les travailleurs de la justice au prix de détruire la carrière des greffiers et du personnel administratif du ministère de la Justice. Il s’obstine à vouloir faire subir à tous ces agents une formation inadéquate, contraire aux engagements du gouvernement, qui leur a fait perdre déjà cinq ans de leur carrière ». Alors que, disent-ils, « aucune disposition de la loi n°61-33 du 15 juin 1961 portant Statut général des fonctionnaires ne subordonne à une quelconque formation préalable le passage de fonctionnaires à une hiérarchie supérieure lorsque le corps auquel ils appartiennent passe à une hiérarchie supérieure ». Conséquences, ils vont continuer disent-ils la lutte, en déroulant leur 7ème plan d’action et décrète 72 heures de grève ce mercredi 3, jeudi 4 et vendredi 5 janvier 2024.
Sytjust en grève pour trois jours encore
Les travailleurs de la justice (Sytjust) ont décidé de décréter un mot d’ordre de grève de trois jours, à compter d’aujourd’hui. Entre autres raisons de ce radicalisme en ce début d’année 2024, le bureau exécutif national du Sytjust explique : « Monsieur Gallo Ba, ministre de la Fonction publique essaye visiblement de prendre le dessus sur les travailleurs de la justice au prix de détruire la carrière des greffiers et du personnel administratif du ministère de la Justice. Il s’obstine à vouloir faire subir à tous ces agents une formation inadéquate, contraire aux engagements du gouvernement, qui leur a fait perdre déjà cinq ans de leur carrière ». Alors que, disent-ils, « aucune disposition de la loi n°61-33 du 15 juin 1961 portant Statut général des fonctionnaires ne subordonne à une quelconque formation préalable le passage de fonctionnaires à une hiérarchie supérieure lorsque le corps auquel ils appartiennent passe à une hiérarchie supérieure ». Conséquences, ils vont continuer disent-ils la lutte, en déroulant leur 7ème plan d’action et décrète 72 heures de grève ce mercredi 3, jeudi 4 et vendredi 5 janvier 2024.
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