Restons avec cette rencontre, pour dire aussi que certains ont manqué de peu d’y laisser des larmes, tellement le message de reconnaissance de Serigne Mbaye Thiam à feu Ousmane Tanor Dieng les a fait frissonner. « Depuis 2012 que j’y suis entré comme ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche puis de l’Education nationale, mon histoire avec le gouvernement a été une marche sans répit, sans discontinuité. Lorsque je revois le film de cette trajectoire au cœur de l’Etat, la voix de ma mémoire d’humble serviteur de l’intérêt général délivre des mots simples en apparence, mais qui renferment une très lourde charge éthique au point d’avoir été mes viatiques : confiance, reconnaissance, dévouement, rigueur et résultats. Confiance parce que la mort et l’oubli ne couvriront jamais d’ombre mon compagnonnage politique, affectif et étatique avec le défunt Secrétaire général du Parti socialiste Ousmane Tanor Dieng. Un homme d’Etat connu pour sa rigueur, son urbanité et son élégance en toutes circonstances et sa discrétion légendaire. (…) La douleur de l’avoir perdu ne vaincra jamais le bonheur de vivre avec ses viatiques défiant le temps. Tanor, comme nous l’appelions affectueusement, vit en moi comme un monument d’exemplarité ».
Serigne Mbaye Thiam et Tanor ‘’qui vit en lui comme…’’
Restons avec cette rencontre, pour dire aussi que certains ont manqué de peu d’y laisser des larmes, tellement le message de reconnaissance de Serigne Mbaye Thiam à feu Ousmane Tanor Dieng les a fait frissonner. « Depuis 2012 que j’y suis entré comme ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche puis de l’Education nationale, mon histoire avec le gouvernement a été une marche sans répit, sans discontinuité. Lorsque je revois le film de cette trajectoire au cœur de l’Etat, la voix de ma mémoire d’humble serviteur de l’intérêt général délivre des mots simples en apparence, mais qui renferment une très lourde charge éthique au point d’avoir été mes viatiques : confiance, reconnaissance, dévouement, rigueur et résultats. Confiance parce que la mort et l’oubli ne couvriront jamais d’ombre mon compagnonnage politique, affectif et étatique avec le défunt Secrétaire général du Parti socialiste Ousmane Tanor Dieng. Un homme d’Etat connu pour sa rigueur, son urbanité et son élégance en toutes circonstances et sa discrétion légendaire. (…) La douleur de l’avoir perdu ne vaincra jamais le bonheur de vivre avec ses viatiques défiant le temps. Tanor, comme nous l’appelions affectueusement, vit en moi comme un monument d’exemplarité ».
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