Guerre psychologique dans une bataille de procédure. C’est ce à quoi nous assistons présentement, dans cette affaire aux multiples tiroirs qui concerne le leader de l’ex Pastef. Nous avions évoqué en son temps une double détente utilisée par le pouvoir pour freiner les velléités d’un homme adulé par les masses. Le coup Sweet Beauté finissant en eau de boudin, apparemment, c’est l’autre fer qui est remis au feu. La diffamation de MMN, encore agitée, mais sans grande conviction. Car si ce dossier était plus efficace dans la manœuvre, on l’aurait ressorti depuis longtemps. Pour le camp du requérant, rien ne se passera le 4 janvier pour exception d’inconstitutionnalité. Bien vrai que la forme ait voulu que l’on traite ces dossiers beaucoup plus anciens. Raison pour laquelle celui du nervi de Barth a été programmé auparavant. Un jeu de cache-cache qui finira bien par connaitre son épilogue. Dans quel sens ? Difficile de le prédire. En tout cas, Oscar compte bien déposer un dossier au Conseil constitutionnel. Qui sera bien différent des autres. Pas de fiche de la Dge, quittance de la Cdc sans attestation, mais constat d’huissier du refus des administrations dédiées. Au juge électoral de trancher.
Waa Ji