Presse,Allez Oust



 
On croyait qu’après le coup de gueule de la presse qui dénonçait au premier jour ce qui s’était passé au tribunal de Guédiawaye, les autorités allaient prendre des mesures pour permettre aux journalistes de travailler dans de bonnes conditions, mais…non, tuss, nada. C’est depuis l’extérieur que les confrères suivaient encore les débats d’audience. Ils n’étaient pas admis à la salle, alors que ce sont eux qui doivent dire au peuple ce qui s’est passé. Ils ont quand même pu glaner des informations capitales pour les mettre à la disposition du public.
 
 
LES ECHOS

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