Le patron de la Convergence libérale démocratique Bokk Gis-Gis ne faisait pas la mouche du coche quand il disait qu’il n’a pas peur des ce qu’en dira-t-on et de ceux «qui se cachent derrière leur clavier pour insulter à tout va». Sans blague, hier, il était ce qu’il y a de plus serein. Des gens parmi son proche entourage qui l’ont vu, disent que rien n’a changé. Il était tranquille chez lui en famille en train de s’occuper de ses affaires. Ce, malgré la volée de bois vert à son encontre.