PÉDOPHILIE A YEUMBEUL SUD: Un responsable d’école privée et dignitaire d’un Dahira «Moustarchidine wal Moustarchidati» arrêté pour viols répétés d’une fille de 13 ans



 
 
Les hommes du commissaire Diouf «Bauer» de Yeumbeul ont extirpé la gamine Fatou L. des griffes du dignitaire d’un Dahira «Moustarchidine Wal Moustarchidati» du nom de B.D. à Yeumbeul Sud. Élève en classe de Cm2, la fille a été victime d’abus sexuels durant 7 mois de la part du mis en cause, qui est responsable d’une école privée élémentaire baptisée du nom d’un défunt érudit religieux de la même confrérie. Il était aussi répétiteur et profitait des moments de récréation durant ses cours de renforcement pour les élèves en classe d’examen et d’autres de l’établissement scolaire, pour retenir l’adolescente et la violer dans son bureau.
 
 
 
Une candidate aux épreuves du Cfee et de l’entrée en 6ème nommée Fatou L. a subi des viols répétés durant une longue période, à la place des cours de renforcement de la part de son répétiteur et responsable de leur école privée élémentaire. Ce dernier, très respecté, fait également partie des dignitaires religieux d’un Dahira «Moustarchidine wal Moustarchidati» à Yeumbeul Sud.  
 
 
C’est pendant la récréation qu’il abusait d’elle
 
Vu que la fille traîne beaucoup de lacunes, elle craint pour son sort et s’attache les services du responsable de leur établissement scolaire nommé B. D, qui planifie un programme choc de capacitation et lui dispense des cours payants, en même temps que d’autres élèves en classe d’examen, ainsi que d’autres de classes différentes. Mais, au fil du temps, le répétiteur, âgé de 55 ans, éprouve des sentiments pour la gamine Fatou L, mais redoute la réaction de l’écolière si jamais il lui déclare sa flamme. Voulant réussir son lubrique coup de séduction, il use de subterfuges, prétexte le statut de cas social de la gamine et décide de l’épargner du paiement des mensualités des cours de renforcement. Mais, à chaque fois que les élèves observent la pause-récréation, il se retire avec la gamine dans son bureau et se livre à des pratiques répréhensibles. Tantôt, il lui fait des attouchements sexuels tantôt, il introduit son doigt dans ses parties intimes, tantôt, il la déshabille, l’allonge au sol et la pénètre.
 
 
Le supplice sexuel dure 7 mois 
 
 
Au cours de la première pénétration, l’élève a beaucoup saigné. Ce qui a poussé le répétiteur à lui demander d’utiliser des morceaux de tissu et de nettoyer les traces de sang dans son bureau. Quoique blessée, la fille se relève avec beaucoup de peine, se rhabille et s’efforce de soigner sa démarche. Il ravale aussi sa souffrance, craint des représailles de la part de sa famille et de son encadreur et décide de garde le silence. Le répétiteur prend goût à ses agissements impunis, utilise le même procédé et continue de violer la mineure. Le supplice sexuel dure 7 mois. Mais, un jour, la fille échange avec sa mère sur la rocambolesque affaire du recherché maître coranique présumé violeur à Keur Massar. Elle prend alors son courage à deux mains et lui affirme être victime de viols répétés de la part de leur répétiteur-responsable de leur école.  
 
 
Il avoue face à la fille et éclate en sanglots 
 
La mère suffoque de stupeur et affiche de gros yeux terrifiés. Elle reprend ses esprits un tant soit peu et l’accable de questions. Celle-ci maintient ses accusations d’abus sexuel et livre les détails des escapades lubriques de l’enseignant-encadreur. Les parents de la fille déposent une lettre-plainte à la police de Yeumbeul, qui convoque le détraqué sexuel. Ce dernier feint de s’indigner des allégations de la fille et botte en touche les accusations. Mais, en bon flic, le commissaire Diouf-Bauer ordonne une séance de confrontation. Un exercice fatidique pour le présumé violeur. Qui fait le dos rond et refuse catégoriquement de fixer des yeux la gamine. Acculé, il disjoncte, pleure comme une madeleine, se confond dans des plates excuses et peine à expliquer ses actes. Il avoue et déclare profiter tout le temps de la récréation des cours de renforcement du soir pour commettre son forfait. Il reconnait être le responsable de l’établissement scolaire et dignitaire d’un Dahiratoul «Moustarchidine wal Moustarchidati» à Yeumbeul Sud. Il a été déféré au parquet par la police de Yeumbeul pour viols répétés sur une mineure de moins de 13 ans et pédophilie.
 
Vieux Père NDIAYE
 
 

Dans la même rubrique :