Discret depuis le montage du combat Garga Mbossé-Moussa Ndoye, Pape Abdou Fall prépare du lourd. Le président des promoteurs, que nous avons accroché dernièrement, a révélé qu’il va monter une grosse affiche pour le reste de la saison.
Cahier de charges de l’arène nationale
«Pour le moment, nous n’avons pas encore reçu le cahier de charges. Chose compréhensible, car le ministre des Sports n’a pas encore nommé le Directeur général du stade pour pouvoir peaufiner le cahier de charges, mais je pense que cela se fera avec les acteurs de la lutte, pour trouver le juste milieu. N’empêche, une meilleure formule a été trouvée par la tutelle, qui a donné aux promoteurs le feu vert pour organiser des combats à l’arène nationale, en attendant qu’un gérant soit nommé. Il faut reconnaitre toutefois que la location de l’arène nationale est trop chère. C’est presque le quintuple d’Iba Mar Diop que nous payons à l’arène nationale. Alors que cette infrastructure nous appartient. Les autorités ont brandi la thèse de l’entretien et des charges supplémentaires, pour expliquer une telle mesure. Nous sommes certes d’accord, mais il faudra en discuter autour d’une table pour trouver la bonne formule. Et je suis très optimiste».
Montant de la location
«Elle tourne autour de 500.000 francs Cfa. Alors qu’au stade Iba Mar, on payait 100.000 francs Cfa. Les gens diront peut-être que toute la logistique est déjà en place, mais cela ne doit pas rendre la location aussi salée. Mais je suis convaincu que tout va se régler autour d’un échange avec les autorités étatiques pour le bien de tout le monde. Le ministre des Sports est très ouvert, tout comme le Cng et une solution ne saurait tarder».
Grosses affiches avec Paf
«Les grandes affiches ne voient pas le jour sur un claquement de doigts. Il faut toujours prendre en compte certains paramètres, comme le contexte social économique et autre pour le réaliser. Pour le moment, le Sénégal est dans des élections, tout est en stand-by. Comme j’ai déjà monté Garga Mbossé-Moussa Ndoye, juste pour démarrer, sachez que le meilleur va venir prochainement. Il me reste une seconde affiche et d’ici mars, nous verrons ce qui va arriver pour passer à la vitesse supérieure. Le second combat que je vais monter sera une grosse affiche. Je le prépare, mais mon statut de président des promoteurs ne me permet plus de disputer une affiche. Mes collègues promoteurs sont en train d’organiser. Que chacun prenne ce qu’il veut ! Je verrai comment organiser une grande affiche avec le reste. Organiser un combat de Balla Gaye 2 ou d’Ama Baldé, je dirai que rien n’est impossible. Nous les promoteurs, nous sommes un et indivisibles. Il n’y a plus de rivalité ou une bataille autour d’une affiche. Les gros sponsors sont partis, mais la lutte continue toujours. Impossible n’est pas Pape Abdou Fall. Je suis un homme de défi. Et s’il plait à Dieu, les gens en sauront quelque chose. La lutte c’est notre passion, que ceux qui sont contre arrêtent de la dénigrer».
Propos d’abdou Lahat Ndiaye
«Cela ne m’intéresse pas ! Moi, Pape Abdou Fall, je ne regarde jamais dans le rétroviseur. J’ai toujours servi mon pays et je n’ai pas de sens interdit au Sénégal. Je n’ai pas suivi son émission et cela ne m’intéresse pas. Dieu est le seul juge».
Mansour SAMB
Cahier de charges de l’arène nationale
«Pour le moment, nous n’avons pas encore reçu le cahier de charges. Chose compréhensible, car le ministre des Sports n’a pas encore nommé le Directeur général du stade pour pouvoir peaufiner le cahier de charges, mais je pense que cela se fera avec les acteurs de la lutte, pour trouver le juste milieu. N’empêche, une meilleure formule a été trouvée par la tutelle, qui a donné aux promoteurs le feu vert pour organiser des combats à l’arène nationale, en attendant qu’un gérant soit nommé. Il faut reconnaitre toutefois que la location de l’arène nationale est trop chère. C’est presque le quintuple d’Iba Mar Diop que nous payons à l’arène nationale. Alors que cette infrastructure nous appartient. Les autorités ont brandi la thèse de l’entretien et des charges supplémentaires, pour expliquer une telle mesure. Nous sommes certes d’accord, mais il faudra en discuter autour d’une table pour trouver la bonne formule. Et je suis très optimiste».
Montant de la location
«Elle tourne autour de 500.000 francs Cfa. Alors qu’au stade Iba Mar, on payait 100.000 francs Cfa. Les gens diront peut-être que toute la logistique est déjà en place, mais cela ne doit pas rendre la location aussi salée. Mais je suis convaincu que tout va se régler autour d’un échange avec les autorités étatiques pour le bien de tout le monde. Le ministre des Sports est très ouvert, tout comme le Cng et une solution ne saurait tarder».
Grosses affiches avec Paf
«Les grandes affiches ne voient pas le jour sur un claquement de doigts. Il faut toujours prendre en compte certains paramètres, comme le contexte social économique et autre pour le réaliser. Pour le moment, le Sénégal est dans des élections, tout est en stand-by. Comme j’ai déjà monté Garga Mbossé-Moussa Ndoye, juste pour démarrer, sachez que le meilleur va venir prochainement. Il me reste une seconde affiche et d’ici mars, nous verrons ce qui va arriver pour passer à la vitesse supérieure. Le second combat que je vais monter sera une grosse affiche. Je le prépare, mais mon statut de président des promoteurs ne me permet plus de disputer une affiche. Mes collègues promoteurs sont en train d’organiser. Que chacun prenne ce qu’il veut ! Je verrai comment organiser une grande affiche avec le reste. Organiser un combat de Balla Gaye 2 ou d’Ama Baldé, je dirai que rien n’est impossible. Nous les promoteurs, nous sommes un et indivisibles. Il n’y a plus de rivalité ou une bataille autour d’une affiche. Les gros sponsors sont partis, mais la lutte continue toujours. Impossible n’est pas Pape Abdou Fall. Je suis un homme de défi. Et s’il plait à Dieu, les gens en sauront quelque chose. La lutte c’est notre passion, que ceux qui sont contre arrêtent de la dénigrer».
Propos d’abdou Lahat Ndiaye
«Cela ne m’intéresse pas ! Moi, Pape Abdou Fall, je ne regarde jamais dans le rétroviseur. J’ai toujours servi mon pays et je n’ai pas de sens interdit au Sénégal. Je n’ai pas suivi son émission et cela ne m’intéresse pas. Dieu est le seul juge».
Mansour SAMB