MOUSTAPHA GAYE, SUR LE QUART-FINALE DU SENEGAL (13H GMT) «Il faudra tout faire pour gagner le Mozambique»



 
Il s’était déjà préparé à toute éventualité avant de connaitre l’adversaire du Sénégal en quart de finale de l’Afrobasket Yaoundé 2022, qui se trouve être le Mozambique. Le sélectionneur national Moustapha Gaye est prêt à aller en «guerre» pour passer en demi-finale. Ce sera à 13h Gmt.
 
 
«Nous sommes conscients que c’est un quart de finale qu’il faudra gagner»
 
«La mentalité pour moi, c’est le plus important, la mentalité de conquérant, de gagneur. Dans une compétition, quand on reçoit le drapeau national, c’est presque comme si on va en guerre. Il faut tout faire pour gagner et on va tout faire. L’esprit d’équipe est vraiment bien, nous sommes conscients que c’est un quart de finale qu’il faudra gagner. Parce que nous sommes à l’Afrobasket et on a des objectifs. Il faudra tout faire pour gagner le Mozambique. Sincèrement, ce sont des genres de matchs où il faut élever le niveau de l’équipe. Nous en sommes conscients et nous sommes préparés pour ça.»
 
«On a préparé les deux schémas, en attendant de savoir qui du Mozambique ou du Kenya nous allions  affronter»
 
«Les enseignements du premier toursont nombreux. Contre l’Égypte, on leur a laissé 18 rebonds offensifs ; ce qui est inacceptable. Aux lancers francs aussi, on leur a laissé 6 Lay up sur mauvais repli. On a rectifié tout cela. Je pense qu’on est sur la bonne voie. On a préparé les deux schémas, avant de savoir qui du Mozambique ou du Kenya nous allions affronter. Mais on a mis plus l’accent sur notre jeu. Corriger nos imperfections, en attendant le résultat de ce match.»
 
«Nos meneuses sont préparées à la pression que met le Mozambique»
 
«C’était ça la difficulté dans le choix des 12 : trouver de la complémentarité dans le jeu. Nos meneuses sont préparées à la pression que met le Mozambique. Une joueuse comme Irma Diémé ou Couna Ndao devrait davantage nous apporter dans ce cas de figure. On a travaillé là-dessus. Les deux jours de pause nous ont permis de régénérer,  de soigner les petits bobos. On est prêt, quelles que soient les difficultés.»
 
 
 
 
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