Avant la réception du PSG en huitième de finale aller de la Ligue des champions, ce mardi 12 février (à 21h), Ole Gunnar Solskjaer s'attend à un match difficile. L'entraîneur de Manchester United a mis en avant le talent de l'équipe parisienne, bien que diminuée, et de son homologue Thomas Tuchel.
Ole Gunnar Solskjaer n'a pas pour habitude de sous-estimer son adversaire. Impatient à l'idée de disputer son premier match de Ligue des champions (mardi à 21h), le Norvégien, qui a redonné la flamme aux Red Devils, se méfie du PSG. Présent en conférence de presse ce lundi après-midi, l'ancien entraîneur de Molde a certes convenu que c'était «le bon moment pour jouer» ce huitième de finale aller, son équipe restant sur une série de onze matches sans défaite (dix victoires et un nul). Mais il a aussi rappelé qu'il ne fallait pas prendre de haut l'équipe parisienne, affaiblie par les absences de Neymar et Cavani. «Bien sûr, n'importe quelle équipe devant se priver de Neymar ou Cavani en ressentirait l'effet. Mais ça donne l'opportunité à d'autres joueurs de se montrer. Cela rend les choses un peu plus imprévisibles pour nous», a-t-il confié devant une salle de presse bondée avant le huitième de finale aller. On va devoir deviner comment ils joueront. Même si on a une bonne idée de leur approche. Je suis allé à Lyon (défaite 2-1 du PSG, ndlr) le week-end dernier. Il est difficile de faire des comparaisons. Quand ils jouent en championnat, ils savent qu'ils vont être champion, donc, ils abordent les matches peut-être différemment. Mais c'est toujours intéressant d'aller voir les joueurs sur place. On apprécie mieux la vitesse de Mbappé, par exemple...
Ici.fr
Ole Gunnar Solskjaer n'a pas pour habitude de sous-estimer son adversaire. Impatient à l'idée de disputer son premier match de Ligue des champions (mardi à 21h), le Norvégien, qui a redonné la flamme aux Red Devils, se méfie du PSG. Présent en conférence de presse ce lundi après-midi, l'ancien entraîneur de Molde a certes convenu que c'était «le bon moment pour jouer» ce huitième de finale aller, son équipe restant sur une série de onze matches sans défaite (dix victoires et un nul). Mais il a aussi rappelé qu'il ne fallait pas prendre de haut l'équipe parisienne, affaiblie par les absences de Neymar et Cavani. «Bien sûr, n'importe quelle équipe devant se priver de Neymar ou Cavani en ressentirait l'effet. Mais ça donne l'opportunité à d'autres joueurs de se montrer. Cela rend les choses un peu plus imprévisibles pour nous», a-t-il confié devant une salle de presse bondée avant le huitième de finale aller. On va devoir deviner comment ils joueront. Même si on a une bonne idée de leur approche. Je suis allé à Lyon (défaite 2-1 du PSG, ndlr) le week-end dernier. Il est difficile de faire des comparaisons. Quand ils jouent en championnat, ils savent qu'ils vont être champion, donc, ils abordent les matches peut-être différemment. Mais c'est toujours intéressant d'aller voir les joueurs sur place. On apprécie mieux la vitesse de Mbappé, par exemple...
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