Restons avec cette sordide affaire pour dire que les plus grandes organisations des droits de l’homme condamnent vigoureusement cet acte qui porte atteinte à la dignité du défunt et de sa famille. Amnesty International Sénégal, la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (Raddho) et la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (Lsdh) exhortent les autorités judiciaires, qui se sont déjà auto saisies, à rechercher les auteurs et à les traduire en justice dans le cadre d’un procès équitable. organisations des droits de l’homme rappellent qu’au Sénégal, la création, la désaffection, ou l’agrandissement des cimetières relèvent des compétences des maires des communes et des villes (article 81 alinéa 11 et article 169 alinéa 8 du code général des collectivités territoriales). «Les maires ont l’obligation de délivrer un permis d’inhumer les proches de toute personne décédée et de veiller à la sécurité des cimetières», avertissent-ils.
Les droits de l’hommiste condamnent
Restons avec cette sordide affaire pour dire que les plus grandes organisations des droits de l’homme condamnent vigoureusement cet acte qui porte atteinte à la dignité du défunt et de sa famille. Amnesty International Sénégal, la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (Raddho) et la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (Lsdh) exhortent les autorités judiciaires, qui se sont déjà auto saisies, à rechercher les auteurs et à les traduire en justice dans le cadre d’un procès équitable. organisations des droits de l’homme rappellent qu’au Sénégal, la création, la désaffection, ou l’agrandissement des cimetières relèvent des compétences des maires des communes et des villes (article 81 alinéa 11 et article 169 alinéa 8 du code général des collectivités territoriales). «Les maires ont l’obligation de délivrer un permis d’inhumer les proches de toute personne décédée et de veiller à la sécurité des cimetières», avertissent-ils.
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