Le bureau national du Moddap (Mouvement des Doomi Dara patriotes) a tenu hier une réunion élargie au siège du Parti à Dakar, en présence des 46 coordinateurs départementaux. Mais, ils disent que "depuis plus de quinze mois de gouvernance", ils "constatent avec regret que leur mouvement reste insuffisamment pris en compte dans les instances décisionnelles du parti et de l'État, notamment en ce qui concerne les affaires religieuses et les secteurs qui relèvent de leur expertise. "Cette situation, bien que discrète, traduit une forme de marginalisation qui ne saurait refléter la réalité de notre engagement ni la légitimité de notre contribution. Nous avons, à plusieurs reprises, adressé des correspondances officielles et sollicité des audiences par les voies appropriées, dans l'espoir d'un règlement constructif et respectueux. Ces démarches traduisent notre attachement à la discipline interne et à la concertation. Par ailleurs, nous poursuivons les consultations avec nos coordinateurs communaux et la base militante, dans un esprit d'unité et de responsabilité. Toutefois, si cette négligence institutionnelle devait persister, nous n'excluons pas l'organisation d'une conférence de presse nationale, afin d'informer les Sénégalais de notre position et de notre volonté de contribuer pleinement à la construction du pays.
Les "Doomi Dara" de Pastef en rogne
Le bureau national du Moddap (Mouvement des Doomi Dara patriotes) a tenu hier une réunion élargie au siège du Parti à Dakar, en présence des 46 coordinateurs départementaux. Mais, ils disent que "depuis plus de quinze mois de gouvernance", ils "constatent avec regret que leur mouvement reste insuffisamment pris en compte dans les instances décisionnelles du parti et de l'État, notamment en ce qui concerne les affaires religieuses et les secteurs qui relèvent de leur expertise. "Cette situation, bien que discrète, traduit une forme de marginalisation qui ne saurait refléter la réalité de notre engagement ni la légitimité de notre contribution. Nous avons, à plusieurs reprises, adressé des correspondances officielles et sollicité des audiences par les voies appropriées, dans l'espoir d'un règlement constructif et respectueux. Ces démarches traduisent notre attachement à la discipline interne et à la concertation. Par ailleurs, nous poursuivons les consultations avec nos coordinateurs communaux et la base militante, dans un esprit d'unité et de responsabilité. Toutefois, si cette négligence institutionnelle devait persister, nous n'excluons pas l'organisation d'une conférence de presse nationale, afin d'informer les Sénégalais de notre position et de notre volonté de contribuer pleinement à la construction du pays.
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