Mbeubeuss subit une exploitation très traditionnelle. C’est du moins le constat du ministre de l’urbanisme, des collectivités territoriales et de l’aménagement des territoires. Moussa Balla Fofana dénonce ainsi la gestion de la plateforme de la décharge par le projet de promotion de la gestion intégrée et de l’économie des déchets solides au Sénégal (Promoged). Selon M. Fofana, «sur les 206 milliards décaissés, seuls 12 % ont été utilisés dans une période de trois ans par le Promoged ; ce qui est problématique», a soutenu le ministre. Qui effectuait, hier, une visite de travail sur la décharge de Mbeubeuss avec comme superficie 116 hectares et 3000 exploitants. Et de poursuivre, «Mbeubeuss est une bombe écologique». D’où l’urgence de mettre en place des unités techniques, mécaniques, qui vont traiter ces déchets et les valoriser, de manière sécuritaire. Et aussi réduire l’impact sur l’environnement. «Toutes les préoccupations que nous avions sur les papiers, se sont confirmées sur le terrain. Notre objectif consiste à inverser cette tendance et de focaliser notre action sur l’installation d’installation d’unités, qui vont traiter un volume assez important», indique l’autorité. Qui parle d’une nouvelle dynamique en marche avec la création de métiers modernes et des unités de gestion et de transformation de déchets. «Les récupérateurs ne constituent pas un problème car leur travail a un impact sur le volume. Mais, leurs conditions de travail nuisent à leur santé. On ne tolère plus la présence des enfants et des animaux dans la décharge», dixit le ministre.
Le ministre Moussa Balla Fofana tire sur le Promoged
Mbeubeuss subit une exploitation très traditionnelle. C’est du moins le constat du ministre de l’urbanisme, des collectivités territoriales et de l’aménagement des territoires. Moussa Balla Fofana dénonce ainsi la gestion de la plateforme de la décharge par le projet de promotion de la gestion intégrée et de l’économie des déchets solides au Sénégal (Promoged). Selon M. Fofana, «sur les 206 milliards décaissés, seuls 12 % ont été utilisés dans une période de trois ans par le Promoged ; ce qui est problématique», a soutenu le ministre. Qui effectuait, hier, une visite de travail sur la décharge de Mbeubeuss avec comme superficie 116 hectares et 3000 exploitants. Et de poursuivre, «Mbeubeuss est une bombe écologique». D’où l’urgence de mettre en place des unités techniques, mécaniques, qui vont traiter ces déchets et les valoriser, de manière sécuritaire. Et aussi réduire l’impact sur l’environnement. «Toutes les préoccupations que nous avions sur les papiers, se sont confirmées sur le terrain. Notre objectif consiste à inverser cette tendance et de focaliser notre action sur l’installation d’installation d’unités, qui vont traiter un volume assez important», indique l’autorité. Qui parle d’une nouvelle dynamique en marche avec la création de métiers modernes et des unités de gestion et de transformation de déchets. «Les récupérateurs ne constituent pas un problème car leur travail a un impact sur le volume. Mais, leurs conditions de travail nuisent à leur santé. On ne tolère plus la présence des enfants et des animaux dans la décharge», dixit le ministre.
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