Le réflexe naturel d'un malade est de se rendre à l’hôpital pour bénéficier de soins médicaux adéquats. Mais, lorsqu’un patient préfère quitter l’hôpital en catastrophe, alors qu’il était venu se faire soigner, il y a problème. Et, c’est ce qui s’est passé avec ce professeur officiant au lycée de Ngaparou, parti se faire consulter dans une structure hospitalière de la Petite Côte. A l’en croire, il y avait un nombre impressionnant de malades. Certains, bien que mal-en-point, étaient couchés à même le sol attendant désespérément d’être reçus par un toubib. «Je pouvais attendre jusqu’à 23 heures sans voir de médecin tant la cour de l’hôpital grouillait de patients. J’aimerai bien être consulté, mais pas dans ces conditions qui ne respectent nullement la dignité humaine. Je préfère mourir dans la dignité», écrit-il, figé par ce spectacle désolant. A l’en croire, au-delà de la fièvre de la Vallée du Rift (Fvr) qui fait des ravages, les structures sanitaires doivent aussi œuvrer pour la prise en charge d’autres pathologies comme le paludisme et la grippe. «Il faut une gestion globale de cette épidémie, sinon les gens risquent de mourir d’autres pathologies en cette période de forte canicule».
Le cri de détresse d’un professeur figé par le spectacle désolant dans une structure de santé
Le réflexe naturel d'un malade est de se rendre à l’hôpital pour bénéficier de soins médicaux adéquats. Mais, lorsqu’un patient préfère quitter l’hôpital en catastrophe, alors qu’il était venu se faire soigner, il y a problème. Et, c’est ce qui s’est passé avec ce professeur officiant au lycée de Ngaparou, parti se faire consulter dans une structure hospitalière de la Petite Côte. A l’en croire, il y avait un nombre impressionnant de malades. Certains, bien que mal-en-point, étaient couchés à même le sol attendant désespérément d’être reçus par un toubib. «Je pouvais attendre jusqu’à 23 heures sans voir de médecin tant la cour de l’hôpital grouillait de patients. J’aimerai bien être consulté, mais pas dans ces conditions qui ne respectent nullement la dignité humaine. Je préfère mourir dans la dignité», écrit-il, figé par ce spectacle désolant. A l’en croire, au-delà de la fièvre de la Vallée du Rift (Fvr) qui fait des ravages, les structures sanitaires doivent aussi œuvrer pour la prise en charge d’autres pathologies comme le paludisme et la grippe. «Il faut une gestion globale de cette épidémie, sinon les gens risquent de mourir d’autres pathologies en cette période de forte canicule».
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