Vulcain a encore tristement dicté sa sinistre loi, au petit matin d’hier, contre une fillette du nom d’Arame Ndiaye, âgée de 2 ans et trois mois, qui a perdu la vie au cours d’un incendie. Le feu s’est déclaré dans la chambre de la mère de la petite, qui était allée vaquer à ses occupations, laissant son enfant toute seule et allongée sur un matelas à même le sol dans la pièce.
Hier, vers 8h, Marième Bigué Sow a quitté sa chambre pour se rendre à son lieu de travail. Ainsi, elle laisse seule sa fillette de 27 mois, Arame Ndiaye, allongée sur un matelas posé à même le sol, dans la pièce dont la porte est laissée entrouverte par la maman de l’enfant. Mais, quelques instants plus tard, un membre de la famille constate une échappée de fumée de la pièce, accourt, ouvre la porte et voit que la chambre est en feu. Il redoute pour la vie de la fillette endormie, pousse des cris de détresse et court alerter les autres membres de la famille. Ces derniers débarquent en catastrophe sur les lieux et s’emparent aussitôt des moyens rudimentaires à portée de main pour tenter de circonscrire le feu, qui résiste encore aux assauts de la famille et continue de se propager dans la chambre en question à une vitesse vertigineuse et prend du coup en otage la petite fille ; une situation qui s’explique par la nature du matelas sur lequel l’enfant dormait à poings fermés.
Une spirale anti-moustique entamée et une allumette seraient à l’origine du sinistre
Alerté par les cris d’au-secours, le voisinage arrive, se démultiplie et parvient à éteindre les flammes ravageuses. Mais, au moment de déblayer la chambre, ils découvrent l’horreur : la fillette Arame Ndiaye morte et littéralement carbonisée. La police locale débarque, effectue les constatations d’usage et découvre une spirale anti-moustique entamée et une brindille d’allumette dans la pièce. Ainsi, les flics enquêteurs soupçonnent que l’incendie provient desdits objets (spirale anti-moustique entamée et une allumette).
Le corps sans vie de l’enfant déposé à Le Dantec pour autopsie
Le corps sans vie de la fillette a été évacué par les sapeurs-pompiers à l’hôpital Aristide Le Dantec pour les besoins d’une autopsie. Tandis que la police locale a ouvert une enquête préliminaire, aux fins de déterminer les circonstances de la tragédie.
Vieux Père NDIAYE
Hier, vers 8h, Marième Bigué Sow a quitté sa chambre pour se rendre à son lieu de travail. Ainsi, elle laisse seule sa fillette de 27 mois, Arame Ndiaye, allongée sur un matelas posé à même le sol, dans la pièce dont la porte est laissée entrouverte par la maman de l’enfant. Mais, quelques instants plus tard, un membre de la famille constate une échappée de fumée de la pièce, accourt, ouvre la porte et voit que la chambre est en feu. Il redoute pour la vie de la fillette endormie, pousse des cris de détresse et court alerter les autres membres de la famille. Ces derniers débarquent en catastrophe sur les lieux et s’emparent aussitôt des moyens rudimentaires à portée de main pour tenter de circonscrire le feu, qui résiste encore aux assauts de la famille et continue de se propager dans la chambre en question à une vitesse vertigineuse et prend du coup en otage la petite fille ; une situation qui s’explique par la nature du matelas sur lequel l’enfant dormait à poings fermés.
Une spirale anti-moustique entamée et une allumette seraient à l’origine du sinistre
Alerté par les cris d’au-secours, le voisinage arrive, se démultiplie et parvient à éteindre les flammes ravageuses. Mais, au moment de déblayer la chambre, ils découvrent l’horreur : la fillette Arame Ndiaye morte et littéralement carbonisée. La police locale débarque, effectue les constatations d’usage et découvre une spirale anti-moustique entamée et une brindille d’allumette dans la pièce. Ainsi, les flics enquêteurs soupçonnent que l’incendie provient desdits objets (spirale anti-moustique entamée et une allumette).
Le corps sans vie de l’enfant déposé à Le Dantec pour autopsie
Le corps sans vie de la fillette a été évacué par les sapeurs-pompiers à l’hôpital Aristide Le Dantec pour les besoins d’une autopsie. Tandis que la police locale a ouvert une enquête préliminaire, aux fins de déterminer les circonstances de la tragédie.
Vieux Père NDIAYE