IIBRAHIMA DIOP DE CADIOR PRODUCTION DÉCROCHE UN DUEL ALLÉCHANT: Ama Baldé vs Gris-Bordeaux ficelé hier



 
Si tout rentre dans l’ordre, l’arène va vers une de ses affiches les plus alléchantes, la saison prochaine. Le jeune promoteur Ibrahima Diop de Cadior Production a ficelé, ce mardi, le combat tant plébiscité par les amateurs de lutte entre Gris Bordeaux et Ama Baldé.
 
 
Récemment battu par le Lion de Guédiawaye, Balla Gaye 2, Gris Bordeaux se retrouve déjà sous contrat pour défier un nouvel adversaire. Le combat entre Gris Bordeaux et Ama Baldé a été ficelé hier mardi par le promoteur Ibrahima Diop de Cadior Production. Le Tigre de Fass fera face, pour la première fois, à un lutteur de la jeune génération. Une occasion pour le Fassois de regagner la sympathie de ses fans et inconditionnels. Pour sa part, Ama Baldé, qui a récemment vu son combat contre Modou Lô tomber à l’eau, suite à une blessure du Roi des arènes, aura la chance de défier le chef de file de Fass.
La date du 5 février 2023 a été retenue pour ce choc tant convoité par les férus de lutte. D’ici là, la récente victime de Balla Gaye 2 a une nouvelle chance de remobiliser ses troupes et regagner la sympathie de ses fans. Que dire d’Ama Baldé, qui devra prouver qu’il est prêt à en découdre avec les ténors de l’arène ?«C’est un combat que le monde de la lutte voulait et nous remercions le promoteur qui a voulu nous accorder sa confiance quelques jours après le combat face à Balla Gaye 2. Pour ce duel, mon lutteur aura plus de temps pour la préparation et donc plus de chance d’obtenir un meilleur résultat. On a 5 à 6 mois pour le préparer donc on a largement le temps…», a laissé entendre Khalifa Dia, le manager de Gris Bordeaux.«Notre combat contre Gris s’imposait depuis des années. Parce que nous avons balayé tous ses lieutenants et il devait être le prochain adversaire d’Ama Baldé dans cette écurie. On voulait être sûr de sa bonne santé avant de le prendre, mais là, il est en forme au regard de son récent combat», a lancé le manager du Pikinois Abdou Bakhoum.
 
 
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