‘’Serigne Ngoundou’’ a dû s’expliquer sur les choix opérés concernant ses intervieweurs. Diomaye Faye, qui a certainement perçu les coups de gueule de certains confrères, a attendu la fin de l’entretien pour faire comprendre que ce n’est pas lui qui a sélectionné les médias représentés. « Quels que soient les médias sélectionnés, j’aurais répondu de la même manière aux différentes questions posées. Le Directeur général de la Rts que je félicite a mis le signal à la disposition de toutes les télévisions. Tout le monde ne pouvant pas être là, il fallait bien qu’une sélection soit faite », a laissé entendre Bassirou Diomaye Faye avant d’ajouter : « je fais entièrement confiance à mon équipe. C’est un exercice qui va se renouveler mais je tiens à lui dire qu’elle n’a aucune pression à subir de qui que ce soit parce que les gens savent que choisir c’est éliminer. On ne doit pas donc en faire une frustration ». Le chef de l’État de regretter certaines sorties de certains journalistes : « j’ai entendu des mots qu’il faut éviter entre confrères. On ne peut pas dire que ceux qui sont là sont des tocards. Nous voulons donner à la presse sénégalaise la primeur et la priorité parce que nous la respectons ».
Diomaye sermonne les « frustrés » de la presse
‘’Serigne Ngoundou’’ a dû s’expliquer sur les choix opérés concernant ses intervieweurs. Diomaye Faye, qui a certainement perçu les coups de gueule de certains confrères, a attendu la fin de l’entretien pour faire comprendre que ce n’est pas lui qui a sélectionné les médias représentés. « Quels que soient les médias sélectionnés, j’aurais répondu de la même manière aux différentes questions posées. Le Directeur général de la Rts que je félicite a mis le signal à la disposition de toutes les télévisions. Tout le monde ne pouvant pas être là, il fallait bien qu’une sélection soit faite », a laissé entendre Bassirou Diomaye Faye avant d’ajouter : « je fais entièrement confiance à mon équipe. C’est un exercice qui va se renouveler mais je tiens à lui dire qu’elle n’a aucune pression à subir de qui que ce soit parce que les gens savent que choisir c’est éliminer. On ne doit pas donc en faire une frustration ». Le chef de l’État de regretter certaines sorties de certains journalistes : « j’ai entendu des mots qu’il faut éviter entre confrères. On ne peut pas dire que ceux qui sont là sont des tocards. Nous voulons donner à la presse sénégalaise la primeur et la priorité parce que nous la respectons ».
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