Abdou Karim Fofana reste sur sa lancée. Le désencombrement des rues et des places publiques reste son principal objectif. Le parking du stade Léopold Sédar Senghor (LSS) a reçu la visite des services du ministère de l’Urbanisme, du Logement et de l’hygiène publique, dans la nuit du jeudi à vendredi. Objectif : redonner à ce parking son lustre d’antan. « Le parking du stade de l’amitié est un symbole de désordre et d’insalubrité et vous l’avez vu avec les images. Ce parking, depuis des années, est arraché à sa destination originelle. Il est devenu un espace pour les épaves de véhicules, les mécaniciens, des gargotes et autres », a regretté Abdou Karim Fofana.
Accompagné des maires de la Patte d’Oie, des Parcelles assainies et du Préfet, le ministre a appelé les populations à un changement de comportement. Selon lui, l’émergence du Sénégal ne pourra se faire que si les mentalités changent. « Le Sénégal n’a pas un problème de croissance ou de dynamique économique. Nous avons un problème de réforme. Mais, avant de réformer des institutions, il faut d’abord réformer les mentalités et les comportements (...) Nous voulons l’aide de la population. Car, nous avons, ici, 4 hectares à désencombrer, mais aussi à nettoyer. Alors chacun doit mettre la main à la pâte, que ce soit les populations ou les entreprises. Car, ce sont des opérations qui coûtent cher financièrement, mais aussi en termes de présence humaine. Et nous devons faire la même chose partout au Sénégal ».
Pour éradiquer complètement et de manière définitive l’insalubrité publique, le ministre de l’Hygiène publique n’exclut pas l’usage de la sanction. « La dynamique est en marche, les instructions du président de la République sont claires. Alors il faut rendre le Sénégal propre. Et nous sommes prêts à sanctionner pour fai
Accompagné des maires de la Patte d’Oie, des Parcelles assainies et du Préfet, le ministre a appelé les populations à un changement de comportement. Selon lui, l’émergence du Sénégal ne pourra se faire que si les mentalités changent. « Le Sénégal n’a pas un problème de croissance ou de dynamique économique. Nous avons un problème de réforme. Mais, avant de réformer des institutions, il faut d’abord réformer les mentalités et les comportements (...) Nous voulons l’aide de la population. Car, nous avons, ici, 4 hectares à désencombrer, mais aussi à nettoyer. Alors chacun doit mettre la main à la pâte, que ce soit les populations ou les entreprises. Car, ce sont des opérations qui coûtent cher financièrement, mais aussi en termes de présence humaine. Et nous devons faire la même chose partout au Sénégal ».
Pour éradiquer complètement et de manière définitive l’insalubrité publique, le ministre de l’Hygiène publique n’exclut pas l’usage de la sanction. « La dynamique est en marche, les instructions du président de la République sont claires. Alors il faut rendre le Sénégal propre. Et nous sommes prêts à sanctionner pour fai