Dans le cadre du webinaire organisé par l’Institut EDGE sur le thème : Reconversion des Sportifs de Haut Niveau en Afrique, le ministre des Sports, Matar Ba, a confié à l’entame de la réflexion la mise sur pied d’une banque ou une société d’assurances chargée d’aider financièrement les sportifs de haut niveau à trouver des débouchés à la fin de leur carrière.
L’institut EDGE dirigé par le Professeur Abdoulaye Sakho, agrégé des Facultés de Droit a organisé hier un webinaire sur la reconversion des sportifs de haut niveau en Afrique. Soucieux de l’avenir des sportifs africains de haut niveau dont des Sénégalais, Matar Ba a révélé que dans nos pays «il n’y a pas, en vérité, de doctrine en matière de reconversion des sportifs de haut niveau et cela constitue une insuffisance et une faiblesse de nos politiques publiques et auxquelles il urge d’apporter une réponse appropriée». Et de poursuivre : «des sportifs, en fin de carrière, ont investi dans l’agriculture, l’élevage, la pêche, l’immobilier, l’habillement ; ils ont aussi pris des participations dans des sociétés, parfois avec des réussites, mais aussi, parfois, avec des échecs qui les ruinent définitivement. D’autres rejoignent l’enseignement, la formation, les administrations publiques ou privées au sein desquels ils s’épanouissent plus ou moins difficilement». Le sportif de haut niveau doit-il retourner dans son pays d’origine s’il l’avait quitté pour aller monnayer son talent ou doit-il rester dans son pays d’accueil ou d’adoption pour y faire sa reconversion ? L’une des questions que s’est posée le ministre des Sports dans le forum. Ce qui signifie pour lui que «la reconversion devrait être gérée en amont, au tout début de la carrière du sportif de haut niveau». C’est dans cette perspective que le ministre des Sports a confié qu’une réflexion est en cours au sein de ses services visant «la création d’une banque ou d’une société d’assurance des sportifs qui intégrerait, d’une part, la protection de la carrière sportive, et d’autre part, le financement et l’accompagnement vers la reconversion».
Il y’avait aussi dans ce webinaire international comme panélistes, en plus du ministre des Sports Matar Ba, El Hadji Amadou Dia Ba, médaillé olympique, Directeur du Centre africain de développement de l’athlétisme, Rokhaya Pouye «Aya», ancienne internationale de basket, le sélectionneur nationale Aliou Cissé, Amara Traoré président de la Linguère, l’ancien international de football Ousmane Thiongane, Daouda Camara ancien international de basket-ball, Amadou Diop international de basket, Emmanuel Bakongo ancien international de basket au Congo, le Colonel Laurent Blaise Kaboré vice-président de la fédération burkinabé de football.
L’institut EDGE dirigé par le Professeur Abdoulaye Sakho, agrégé des Facultés de Droit a organisé hier un webinaire sur la reconversion des sportifs de haut niveau en Afrique. Soucieux de l’avenir des sportifs africains de haut niveau dont des Sénégalais, Matar Ba a révélé que dans nos pays «il n’y a pas, en vérité, de doctrine en matière de reconversion des sportifs de haut niveau et cela constitue une insuffisance et une faiblesse de nos politiques publiques et auxquelles il urge d’apporter une réponse appropriée». Et de poursuivre : «des sportifs, en fin de carrière, ont investi dans l’agriculture, l’élevage, la pêche, l’immobilier, l’habillement ; ils ont aussi pris des participations dans des sociétés, parfois avec des réussites, mais aussi, parfois, avec des échecs qui les ruinent définitivement. D’autres rejoignent l’enseignement, la formation, les administrations publiques ou privées au sein desquels ils s’épanouissent plus ou moins difficilement». Le sportif de haut niveau doit-il retourner dans son pays d’origine s’il l’avait quitté pour aller monnayer son talent ou doit-il rester dans son pays d’accueil ou d’adoption pour y faire sa reconversion ? L’une des questions que s’est posée le ministre des Sports dans le forum. Ce qui signifie pour lui que «la reconversion devrait être gérée en amont, au tout début de la carrière du sportif de haut niveau». C’est dans cette perspective que le ministre des Sports a confié qu’une réflexion est en cours au sein de ses services visant «la création d’une banque ou d’une société d’assurance des sportifs qui intégrerait, d’une part, la protection de la carrière sportive, et d’autre part, le financement et l’accompagnement vers la reconversion».
Il y’avait aussi dans ce webinaire international comme panélistes, en plus du ministre des Sports Matar Ba, El Hadji Amadou Dia Ba, médaillé olympique, Directeur du Centre africain de développement de l’athlétisme, Rokhaya Pouye «Aya», ancienne internationale de basket, le sélectionneur nationale Aliou Cissé, Amara Traoré président de la Linguère, l’ancien international de football Ousmane Thiongane, Daouda Camara ancien international de basket-ball, Amadou Diop international de basket, Emmanuel Bakongo ancien international de basket au Congo, le Colonel Laurent Blaise Kaboré vice-président de la fédération burkinabé de football.