Pour raison médicale, à Touba, un malade qui devait se faire soigner à la capitale, Dakar, est finalement décédé faute de pouvoir disposer d’une autorisation.
Ses proches parents dénoncent cette situation qu’ils qualifient d’inacceptable, d’autant que, selon eux, « toutes les démarches ont été faites auprès des autorités administratives ».
Fallou Seck, un des proches de la victime, explique : « le défunt s’était rendu à Dakar pour des soins médicaux, mais puisqu’il avait un rendez-vous assez lointain, le 2 avril, il avait décidé de revenir à Touba auprès des siens.
Entre temps, il y a eu l’état d’urgence et l’interdiction de voyager. A l’approche de son rendez-vous, nous nous sommes rendus à la sous-préfecture pour obtenir une autorisation de sortie.
Mais il s’est posé là-bas un problème d’interlocuteur. Nous avions en face de nous des Asp qui ne nous donnaient même pas le temps de leur expliquer la situation, en dépit du fait qu’on avait tous les papiers nécessaire avec nous.
Le préfet est resté injoignable. Et pendant qu’on nous refusait cette autorisation on voyait pourtant certains l’obtenir facilement, sans être comme nous, c’est à dire dans une situation d’urgence ».
A noter qu’à ce jour, deux personnes sont déjà décédées entre Touba et Mbacké, pour avoir raté leur rendez-vous avec les médecins traitants.
Rfm a saisi le gouverneur de la région de Diourbel sur la question mais Gorgui Mbaye semble renvoyer la balle aux familles qui, dit-il, « n’auraient pas fourni les pièces justificatives ».
Rappelons que le Ministre de l’Intérieur avait ces derniers sorti une note pour la « suspension la délivrance des autorisations de circuler », ce après constat des « magouilles qui entouraient la délivrance de ces dites pièces ».
Ses proches parents dénoncent cette situation qu’ils qualifient d’inacceptable, d’autant que, selon eux, « toutes les démarches ont été faites auprès des autorités administratives ».
Fallou Seck, un des proches de la victime, explique : « le défunt s’était rendu à Dakar pour des soins médicaux, mais puisqu’il avait un rendez-vous assez lointain, le 2 avril, il avait décidé de revenir à Touba auprès des siens.
Entre temps, il y a eu l’état d’urgence et l’interdiction de voyager. A l’approche de son rendez-vous, nous nous sommes rendus à la sous-préfecture pour obtenir une autorisation de sortie.
Mais il s’est posé là-bas un problème d’interlocuteur. Nous avions en face de nous des Asp qui ne nous donnaient même pas le temps de leur expliquer la situation, en dépit du fait qu’on avait tous les papiers nécessaire avec nous.
Le préfet est resté injoignable. Et pendant qu’on nous refusait cette autorisation on voyait pourtant certains l’obtenir facilement, sans être comme nous, c’est à dire dans une situation d’urgence ».
A noter qu’à ce jour, deux personnes sont déjà décédées entre Touba et Mbacké, pour avoir raté leur rendez-vous avec les médecins traitants.
Rfm a saisi le gouverneur de la région de Diourbel sur la question mais Gorgui Mbaye semble renvoyer la balle aux familles qui, dit-il, « n’auraient pas fourni les pièces justificatives ».
Rappelons que le Ministre de l’Intérieur avait ces derniers sorti une note pour la « suspension la délivrance des autorisations de circuler », ce après constat des « magouilles qui entouraient la délivrance de ces dites pièces ».