Voilà que ça repart en vrille dans cette sordide affaire d’accusations de viols répétés et de menaces de mort proférées par la masseuse Adji Sarr à l’encontre du député, leader de Pastef/Les patriotes, Ousmane Sonko. L’accusatrice, jusque-là invisible et gardée au secret, sort du bois pour s’adresser aux Sunugaaliens. Mais surtout, elle lance au chef de l’opposition un défi qui donne une autre dimension à l’affaire. En effet, selon Adji, si Sonko jure sur le saint Coran qu’il n’avait jamais couché avec elle, la plainte à l’origine de tout ce charivari serait retirée. Et c’est vraiment à mourir de rire. Car, ladite plainte n’a jamais porté sur de simples rapports sexuels, mais sur un viol répété avec menace de mort. Et la nuance est de taille, car des personnes majeures (l’âge de la victime présumée fluctue au gré des Cni) peuvent fricoter sans coup férir. Ce qu’il fallait demander à Sonko de jurer, c’est qu’il n’a jamais violé Adji. En tout cas, cette affaire dégage toujours le soufre et les quidams qui continuent à manipuler cette pauvre fille doivent être démasqués avant que leurs manœuvres n’embrasent de nouveau Sunugaal. Le Covid-19 a-t-il franchi la barre des 1000 décès ?
Waa Ji
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