La justice a vraiment décidé d’être clément envers les détenus, précisément ceux qui ont été placés sous mandat de dépôt dans l’affaire des manifestations politiques. Amy Dia a bénéficié de cette magnanimité. La responsable de Pastef à qui l’on a, à plusieurs reprises, refusé la liberté provisoire, vient d’être placée sous contrôle judiciaire. Selon son avocat Me Moussa Sarr, le contrôle judiciaire est assorti de certaines conditions ou obligations. En effet, Amy Dia doit se présenter au cabinet du magistrat instructeur une fois par mois pour émarger, histoire de prouver sa présence au Sénégal ; elle doit avoir une autorisation de sortie de la part du juge chaque fois qu’elle voudra quitter le pays ; et elle doit également informer le juge de tout changement d’adresse. Rappelons que la pastefienne a été inculpée et placée sous mandat de dépôt le 15 juillet 2022, parce que soupçonnée de faire partie des membres du mouvement « Forces Spéciales ». Dernièrement, des proches avaient fait état de son état santé qui ne serait pas bonne. Cela a, peut-être, été aussi déterminant.
Amy Dia hume enfin l’air de la liberté pour avoir bénéficié d’un contrôle judiciaire
La justice a vraiment décidé d’être clément envers les détenus, précisément ceux qui ont été placés sous mandat de dépôt dans l’affaire des manifestations politiques. Amy Dia a bénéficié de cette magnanimité. La responsable de Pastef à qui l’on a, à plusieurs reprises, refusé la liberté provisoire, vient d’être placée sous contrôle judiciaire. Selon son avocat Me Moussa Sarr, le contrôle judiciaire est assorti de certaines conditions ou obligations. En effet, Amy Dia doit se présenter au cabinet du magistrat instructeur une fois par mois pour émarger, histoire de prouver sa présence au Sénégal ; elle doit avoir une autorisation de sortie de la part du juge chaque fois qu’elle voudra quitter le pays ; et elle doit également informer le juge de tout changement d’adresse. Rappelons que la pastefienne a été inculpée et placée sous mandat de dépôt le 15 juillet 2022, parce que soupçonnée de faire partie des membres du mouvement « Forces Spéciales ». Dernièrement, des proches avaient fait état de son état santé qui ne serait pas bonne. Cela a, peut-être, été aussi déterminant.
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