Il y a eu finalement plus de peur que de mal dans l’agression avec usage d’arme à feu suivi de vol d’argent (500.000 F) à hauteur de la mairie de Malika, samedi dernier, à quelques minutes du début du couvre-feu, contre le jeune lutteur Mohamed Nd. par deux jeunes individus à bord d’un scooter. Après l’extraction de la balle, Mohamed est sorti sain et sauf du raid des malfaiteurs.
Mohamed Nd. a survécu à son agression par arme à feu suivi de vol d’argent par deux gangsters non encore identifiés, qui roulaient à vive allure à bord d’un scooter sur la route principale de la commune de Malika située dans le département de Pikine de la banlieue dakaroise.
La balle extraite au service neurochirurgie de Fann ; le lutteur est rentré chez lui
Le jeune lutteur est d’ailleurs rentré chez lui. Il a en effet quitté les locaux du centre hospitalier de Fann, où il était référé par les blouses blanches du district sanitaire de Keur Massar. Qui avaient reçu le lutteur et lui avaient prodigué les premiers soins médicaux lorsque celui-ci, atteint par balle à bout portant par l’un des deux agresseurs, a été conduit en toute urgence dans ledit district sanitaire par un véhicule de patrouille de police de Malika, qui est tombé sur le lutteur ensanglanté et mourant au bord de la route en compagnie d’un ami. La balle qui était coincée encore dans le corps de la victime après son évacuation à l’hôpital samedi dernier a été extraite au service neurochirurgie de Fann.
Aucune arrestation, les gangsters en fuite et toujours pas identifiés, l’enquête semble piétiner
Après les constatations d’usage de l’agression, la police de Malika a ouvert une enquête préliminaire et effectué des auditions sur procès-verbal des gens, aux fins de reconstituer avec eux le film du raid, afin de débusquer les auteurs des faits. Mais, aux dernières nouvelles, l’enquête semble piétiner. Aucune interpellation ou arrestation de suspects n’a encore été faite dans l’affaire. Pis, les malfaiteurs n’ont pas été identifiés, tellement ils ont frappé fort et vite avant d’arracher le sac contenant le fric du jeune lutteur puis disparaitre à toute vitesse dans la nature à bord de leur moto. Ils n’ont cependant pas emporté le téléphone portable de leur victime ; une marque de fabrique digne des professionnels du grand banditisme, qui ont l’habitude d’opérer de la sorte dans le but d’éviter de se faire repérer par un système de géolocalisation par les forces de sécurité et de défense. La victime a même déclaré être incapable de pouvoir identifier ses deux assaillants-détrousseurs, qui courent toujours. Pour rappel, samedi 2 mai dernier, vers 20h, Mohamed Nd. empruntait la route principale traversant devant la mairie de Malika lorsqu’il a été surpris par deux agresseurs à bord d’un scooter. Ces derniers voulaient chiper le sac du jeune lutteur, mais ce dernier leur a opposé une farouche résistance. Furieux, l’un des malfrats a sorti son arme à feu et tiré à bout portant sur le jeune homme, qui n’avait d’autre choix que de lâcher le sac et s’écrouler au sol. Il se rendra ensuite chez un ami, qui l’a aidé ensuite à se faire transporter au district sanitaire de Keur Massar par un véhicule de police qui venait à peine de commencer sa patrouille dans son secteur pour le respect des horaires du couvre-feu.
Vieux Père NDIAYE
Mohamed Nd. a survécu à son agression par arme à feu suivi de vol d’argent par deux gangsters non encore identifiés, qui roulaient à vive allure à bord d’un scooter sur la route principale de la commune de Malika située dans le département de Pikine de la banlieue dakaroise.
La balle extraite au service neurochirurgie de Fann ; le lutteur est rentré chez lui
Le jeune lutteur est d’ailleurs rentré chez lui. Il a en effet quitté les locaux du centre hospitalier de Fann, où il était référé par les blouses blanches du district sanitaire de Keur Massar. Qui avaient reçu le lutteur et lui avaient prodigué les premiers soins médicaux lorsque celui-ci, atteint par balle à bout portant par l’un des deux agresseurs, a été conduit en toute urgence dans ledit district sanitaire par un véhicule de patrouille de police de Malika, qui est tombé sur le lutteur ensanglanté et mourant au bord de la route en compagnie d’un ami. La balle qui était coincée encore dans le corps de la victime après son évacuation à l’hôpital samedi dernier a été extraite au service neurochirurgie de Fann.
Aucune arrestation, les gangsters en fuite et toujours pas identifiés, l’enquête semble piétiner
Après les constatations d’usage de l’agression, la police de Malika a ouvert une enquête préliminaire et effectué des auditions sur procès-verbal des gens, aux fins de reconstituer avec eux le film du raid, afin de débusquer les auteurs des faits. Mais, aux dernières nouvelles, l’enquête semble piétiner. Aucune interpellation ou arrestation de suspects n’a encore été faite dans l’affaire. Pis, les malfaiteurs n’ont pas été identifiés, tellement ils ont frappé fort et vite avant d’arracher le sac contenant le fric du jeune lutteur puis disparaitre à toute vitesse dans la nature à bord de leur moto. Ils n’ont cependant pas emporté le téléphone portable de leur victime ; une marque de fabrique digne des professionnels du grand banditisme, qui ont l’habitude d’opérer de la sorte dans le but d’éviter de se faire repérer par un système de géolocalisation par les forces de sécurité et de défense. La victime a même déclaré être incapable de pouvoir identifier ses deux assaillants-détrousseurs, qui courent toujours. Pour rappel, samedi 2 mai dernier, vers 20h, Mohamed Nd. empruntait la route principale traversant devant la mairie de Malika lorsqu’il a été surpris par deux agresseurs à bord d’un scooter. Ces derniers voulaient chiper le sac du jeune lutteur, mais ce dernier leur a opposé une farouche résistance. Furieux, l’un des malfrats a sorti son arme à feu et tiré à bout portant sur le jeune homme, qui n’avait d’autre choix que de lâcher le sac et s’écrouler au sol. Il se rendra ensuite chez un ami, qui l’a aidé ensuite à se faire transporter au district sanitaire de Keur Massar par un véhicule de police qui venait à peine de commencer sa patrouille dans son secteur pour le respect des horaires du couvre-feu.
Vieux Père NDIAYE