A l’évidence, la vérité judiciaire née des décisions de justice rendues en faveur de Monsieur Saïd TARRAF KOUJOCK et sa fille Allia TARRAF KOUJOCK n’a pas suffi pour faire taire les accusations sans fondement relayées par voie de presse.
Malgré le résultat des investigations des officiers de police judiciaire et des juges d’instructions qui ont démontré le manque de sérieux de toutes les allégations articulées dans ces plaintes, « le porter presse » semble avoir été choisi comme ultime voie de recours.
Pour ce faire, certains médias ont été régulièrement mis à contribution, pour servir des contrevérités au détriment de Monsieur SAÏD et sa fille Allia, dans le but de manipuler l’opinion afin de décrédibiliser le système judiciaire et multiplier le buzz autour d’une affaire classée.
Pour cette raison, ces derniers ont décidé de partager les vérités et éclaircissements ci-après en guise de mise au point afin que nul n’en ignore.
Ainsi, pour une information objective, juste et vraie, il est nécessaire voire impérieux de prendre en compte tous les éléments du dossier du Groupe TARRAF avant toute publication pour pouvoir constater que : Contrairement à ce qui a été rapporté, AUCUN CONTROLE JUDICIAIRE N’A ETE ORDONNE par le Juge d’instruction contre Monsieur Saïd TARRAF KOUJOCK et sa fille Allia TARRAF KOUJOCK.
Par conséquent, cette mesure qui n’a jamais existé, n’a pu être violée.
Contrairement à ce qui a été affirmé dans la presse, le contentieux opposant les membres de la famille TARRAF KOUJOCK n’a jamais porté sur des accusations de virements de 50 milliards de francs CFA.
L’unique montant évoqué dans le cadre de l’instruction du dossier consiste en une créance de 20 milliards de francs CFA environ que la SGBS réclamait à l’ensemble des entités du GROUPE TARRAF, personnes physiques et morales comprises.
D’ailleurs, c’est dans le cadre des procédures de recouvrement initiées par la SGBS que des avocats ont été constitués pour accomplir les diligences nécessaires.
Ce ne sont que deux exemples parmi tant d’autres de la distorsion entre les faits constitutifs de cette affaire et la manière dont ils sont relayés par une certaine presse.
Par conséquent, sauf à vouloir perpétuer la calomnie et la désinformation après la décision de non-lieu passée en force de chose jugée rendue sur la plainte déposée contre Monsieur Saïd TARRAF KOUJOCK et sa fille Allia TARRAF KOUJOCK, la démarche de ceux qui auraient pu commanditer les articles de presse, trouve difficilement son explication.
Pourtant, les résultats de l’instruction judiciaire ont fini de mettre à nu le mal fondé de toutes les accusations articulées dans la plainte.
En effet, toutes les allégations articulées dans la plainte se sont révélées fausses et injustifiées ce qui a motivé le non-lieu total décidé par la Chambre d’Accusation de la Cour d’Appel par arrêt n°203 du 19 Juillet 2022.
Cet arrêt a été suivi d’un pourvoi en cassation du frère et des neveux de Mr Saïd TARRAF KOUJOCK, rejeté par la Cour Suprême suivant arrêt n°23 du 04 Mai 2023 et d’une procédure de rabat d’arrêt également rejeté par les Chambres Réunies de la Cour Suprême suivant arrêt n°02 du 25 Mars 2025.
Ces décisions ont fini de trancher définitivement le contentieux objet de la plainte déposée contre Monsieur Saïd TARRAF KOUJOCK et sa fille Allia TARRAF KOUJOCK qui ont été totalement blanchis.
C’est d’ailleurs au vu de la saisine des juges par une plainte qui articulait les mêmes infractions que celle dont il a été saisi que l’OFNAC a décidé de surseoir à l’instruction de son dossier et de classer l’affaire.
Sur ce point, toute personne animée de bonne foi devrait convenir que l’OFNAC ne pouvait transférer à la justice un dossier dont elle était déjà saisie.
Ces précisions étant faites, Monsieur Saïd TARRAF KOUJOCK et sa fille Allia TARRAF KOUJOCK entendent mettre en garde toute personne qui serait tentée de perpétuer les propos mensongers et diffamatoires à leur égard car ils n’hésiteraient pas à saisir l’autorité judiciaire en pareille occurrence afin que ces agissements cessent définitivement.
MAÎTRE SAËR LO THIAM